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hé hé, moi aussi j'ai du mal à y croire même si certaines des histoires sont plausibles.
pour imane20047 par exemple, l'oppression ressentie dans certains lieux est, parait'il, réel. chez les personnes les plus sensibles surtout. ça proviendrait de pôle magnétique que dégage un lieu. mais là ou je bloque c'est le visage dans le miroir et la main sur l'épaule.
pour vegvisir (grand kalif à la place du kalif? hi hi, oups...) les traces de mains restent souvent bien longtemps même si elle sont invisibles sans buée, donc je crois à l'empreinte. après les bruits dans une maison c'est partout, après ça dépend de l'interprétation qu'on en fait.
les autres histoires je n'y crois pas mais j'adore vous lire. hé hé hé mes escaliers.......
édit: oui imane, soda amélioré
Dernière modification par abyssen (10-10-2015 21:58:56)
imane20047 a écrit:
Dommage perle et pourtant.... :))
J aime bien ta 2eme histoire abyssen...Euh vous étiez tous au soda mdr?
Je suis trop terre à terre là-dessus, il y a de mon point de vue toujours une explication plausible derrière ce qui voudrait dire que c'est la façon d'écrire qui induirait les joueurs lisant les histoires en erreur, en omettant de dire quelque chose etc ^^
Celle d imane20047 me parrait vrai :ok:
Ca fait peur :pleur:
Bon, cette fois j'ai pris le temps de lire toutes vos histoires.
Abyssen : ta 1ere histoire est flippante !! Mon dieu !! :hypn:
Imane : J'ai vécu un peu la même expérience, dans mon ancienne maison. Du coup, je crois ton histoire :norm:
Dernière modification par vegvisir (10-10-2015 22:01:07)
Les filles : Vengvisir et Imane , comment vous avez fait :quoi:
Dernière modification par amelie-2 (10-10-2015 21:46:31)
comment on a fait quoi amelie-2? pas compris la question. (Stéphanie de Monaco).
edit: oups! pas fais exprès. modifié.
Dernière modification par abyssen (10-10-2015 21:49:41)
Vengirse je voulait dire :ouf:
Hé ne dites pas si vos histoires sont vraies ou non, c'est les personnes de la Gazette qui doivent essayer de le deviner ><
Ah perle :ouf:
perle-de-corail a écrit:
Hé ne dites pas si vos histoires sont vraies ou non, c'est les personnes de la Gazette qui doivent essayer de le deviner ><
Voila, j'ai édité mon message.
On fait comme si je n'avais rien dit :p
Dernière modification par vegvisir (10-10-2015 21:50:11)
vegvisir a écrit:
perle-de-corail a écrit:
Hé ne dites pas si vos histoires sont vraies ou non, c'est les personnes de la Gazette qui doivent essayer de le deviner ><
Voila, j'ai édité mon message.
On fait comme si je n'avais rien dit :p
oui moi aussi, il nous reste des messages à modifier toutes les 2. j'y go et je n'ai toujours pas compris la question d'amélie. mes neurones sont en grève ce soir^^.
abyssen a écrit:
comment on a fait quoi amelie-2? pas compris la question. (Stéphanie de Monaco).
:lol: :lol: :lol:
Bravo pour vos histoires. Certains d'entre vous ont une imagination débordante ! :D
Et pour les autres, comme je pense que c'est vrai donc ... :)
Dernière modification par katoushka (10-10-2015 22:22:43)
J ai édité aussi mon message en page 1.Je cherche déjà une deuxième histoire...:ok:
assez motivée et pleine d'idée! voici l'histoire que j'ai décidé de poster ;)
C’était à Paris, une froide journée de novembre 1952. Alors que je colorais lentement un portrait que j’avais réalisé le matin même sur la grande place, une grande soif me prit. Je décidais alors de m’accorder une petite pause dans mon travail, étant donné que la future propriétaire m’avait assurée avoir le temps avant de pouvoir le récupérer. Tout en allant me préparer un thé, je ne pouvais m’arrêter de penser à la jeune femme qui avait sollicité mes services. Elle faisait sans aucun doute partie de la grande noblesse, à la vue de sa chevelure noire gracieusement relevée, et de sa longue tunique décorée de rubans en soie. Ses longs yeux bleus irisés de jaune enflammaient mon esprit, et je ne pus alors m’empêcher, tout en dégustant à petites gorgées ma collation, d’aller jeter un coup d’œil au tableau qui trônait dans mon atelier, afin de mieux encore me souvenir de toute la beauté de la demoiselle. Mais, lorsque j’abaissai la poignée, une surprise m’attendais de l’autre côté de la porte.
Alors qu’une forte odeur de brûlé se faisait ressentir, je découvris avec horreur que mon bureau avait été ravagé par le sang et la misère. Çà et là, des rats fouinaient et couinaient, tout en se passant des morceaux de bois gisants sur le sol. La peinture s’était étalée sur le bureau, et le tableau avait était déchiré en son centre, griffé par une entité qui m’était inconnue. En l’espace de quelques minutes, la pièce avait été dévastée, et plus rien ne subsistait.
Accablé par le dégoût et le chagrin, je me mis à ranger chaque recoin de la salle. Aucune explication logique ne s’étant présentée à mon esprit, je ne cherchais même pas à tenter de m’expliquer ce qui avait pu se passer. Toute la soirée, je l’avais passée les mains dans la poussière, à ramasser des fragments de chair en décomposition, à gratter le sang noirâtre qui tachait le papier peint, et à pousser les rongeurs hors de la pièce. Alors que l’heure de diner s’approchait, il ne me restait plus que la cheminée à frotter. J’entrepris alors la besogne avec grande envie d’en terminer au plus vite. Agrippant un linge humide, je commençai à éponger les pierres. En passant ma main sur l’âtre, je perçu une goutte me tomber dessus. Machinalement, je l’enlevai sans même regarder. Et, alors que je reprenais mon nettoyage, des doigts saisirent mon bras. De longs ongles s’étaient plantés dans ma peau, et je sentais une atroce douleur s’emparer de tout mon corps. Lâchant alors tout ce que j’avais en main, je m’agenouillai au sol, et hurla un cri de désolation des plus stridents possible, en laissant, impuissant, échapper quelques sanglots. Je me sentis alors trainé dans l’obscurité et la froideur des cendres de la hotte, et mon corps n’était plus en contact avec le sol. Je perdis la notion d’espace et de vie. Puis, dans un dernier souffle, sentant ma peau éraflée au contact des parois et se déchirer sous la pression, je risquai un coup d’œil au-dessus de ma tête, là où mon bras pendait, inerte, et dégoulinant de sang et de lambeaux déchirés. Alors que mes yeux se fermaient pour de bon, j’aperçus un scintillement au bout du long tunnel.
Dans l’immensité de l’obscurité qui s’étendait autour de mon âme, alors que s’éteignait la flamme de mon esprit, résonnait la vision de deux éclairs jaunâtres striant un océan d’azur.
voilou, même si la question d'authenticité ne se pose pas, j'avais grande envie de participer ^^ j'espères tout de même avoir réussi à vous faire frissonner d'effroi ;)
Dernière modification par khidaa (11-10-2015 00:47:24)
Voilà, ma participation :)
(Je suis tweetybee66 de la version Allemande)
Der Dachboden
Marina versuchte, das rostige Schloss von der Luke zu lösen. Es klemmte. Das kleine alte Haus, in welchem sie nun schon seit zwei Monaten wohnte, war schon seit Jahren baufällig, wie der Vermieter sagte. Doch als junge Studentin sollte sie glücklich sein, das sie das Haus so günstig mieten durfte.
Seit letzter Woche machte sich Marina es zur Aufgabe, die alten Räume gründlich durch zu putzen. Wie auch der Dachboden, bei dem sie verzweifelt versuchte, das Alte Schloss zu öffnen. Irgendwie hatte Marina das Gefühl, es wehre sich mit all seiner Kraft, um ja nicht geöffnet werden zu müssen. Als es schliesslich mit einem ächzen nachgab, rasselte sofort eine alte Leiter hinunter, bei der drei Holmen fehlten. Ein verwesender Rattenkopf fiel ihr direkt ins Gesicht. Voller Ekel wischte sie sich das Zeug vom Gesicht und sah nach oben. Es schlug ihr einen schwall modriger, kalter Luft entgegen, die seltsam metallen roch. Zögernd und vorsichtig stieg sie die Leiter hoch und bereute sogleich die Entscheidung, den Dachboden putzen zu wollen. Der Zustand des Dachbodens war katastrophal marode. Trotz ihrer Überraschung, dass sich nur wenige Dinge auf dem Dachboden befanden, war ihr die Lust nach putzen gründlich vergangen. Zwischen toten Käfern, Fliegen und einer verwesenden Ratte befanden sich zwei Kartonkisten. Dunkle Flecken zeichneten sich an den Wänden und Kisten ab wie Schatten. In der rechten hinteren Ecke stand ein zersplitterter, mit Staub bedeckter Spiegel. Im Staub konnte Marina die Worte „ you are lost“ erkennen. Sie fröstelte. Marina beschloss, erst die zwei Kisten runterzubringen und die dann zu sortieren. Sie hob eine der Kisten hoch und wollte sie zur Luke bringen, als sie vor Schreck feststellte, dass die Luke wieder zu war. Panisch schaute sie sich um. Wer hatte sie geschlossen? Sie rüttelte an der Falltür, doch sie bewegte sich keinen Millimeter. Marina hatte keine Lust, die Nacht auf dem Dachboden verbringen zu müssen. Sie registrierte, dass die Luft gleich um einige Grad kälter wurde. Sie hätte auch schwören können, dass der metallene Geruch intensiver wurde. Hinter ihr knarzten plötzlich die alten Holzbretter. Glas splitterte. Marina geriet in Panik, und rüttelte fester an der Luke. Sie hätte alles gegeben, um endlich dem alptraumhaften Dachboden entfliehen zu können. Als sie die Unmöglichkeit einsah, die Luke öffnen zu wollen, drehte sie sich panisch um und fiel sogleich vor Schreck zu Boden. Blut tropfte von ihrem Ellbogen. Was Marina vor sich sah, hätte sie nicht in ihrem kühnsten Alptraum beschreiben können. Die riesige Kreatur stank bestialisch nach verwestem Fleisch, grüne Hautfetzen hingen von den Knochen. Seine Augen waren dunkle, leere Höhlen. Blut tropfte aus seinem Mund, welches mit spitzen Nägeln versehen war. Dann griff es nach ihr und schleuderte sie zum Spiegel. Blut spritzte. Spitze Kanten bohrten sich in ihr Gesicht und schlitzten es auf. Mit letzter Kraft stützte sich sich hoch und öffnete ihre Augen. Die Kreatur stürzte sich mit rasender Geschwindigkeit auf sie und grub seine Zähne in ihr Fleisch. Dann wurde es dunkel.
Der alte Tommy Jones lachte. Er übergab den Hausschlüssel einem jungen Mann, der anfangs zwanzig sein musste. Immer dieselben Leute interessierten sich für das alte Haus. Meist Studenten, die eine günstige Unterkunft suchten. Er wünschte dem jungen Mann Glückwunsch, dass er das alte Haus gemietet hatte. „Eine gute Entscheidung“, rief er ihm nach, als der junge Mann sich entfernte.
Er wird sein Wunder noch erleben.
@miamiau, Lesen Sie mit Google Translate, brrrrrr, nie in einem alten Dachboden, die nicht wollen, um zu öffnen.
lu avec google translate, brrrrrrr, ne jamais entrer dans un vieux grenier qui ne veux pas s'ouvrir.
@khidaa, du coup pas de toile exposée alors. j'aime bien vos histoires, elles ont une fin qui justement n'en est pas une. ça laisse supposer que les monstres peuvent revenir nous hanter. va falloir qu'on se méfie ici;
c'est comme les séances de spiritisme: à force de titiller qui sait ce qui peut arriver. :hypn:
@abyssen: non en effet, la toile n'a pas été vendue ;)
va falloir que j'aille sur translate aussi pour lire ce texte *.*
@khidaa : carrément flippante ton histoire !!
J'aime beaucoup celle d'imane aussi.
Je file lire celle de miamiau avec mon copain Google translate
khidaa : Superbe histoire. Très bien écrite ! J'aime bcp :)
Tout cela c'est passer il y a 1 ans , c’était ma dernière heurs le dernière Mardi des cours avant les vacance d'automne . A 16h30 nous sommes aller au CDI , quand je suis rentrée dans la pièce ; j'ai sentie un courant d'air froide puis je me suis pétrifiée de peur car une choses venais de me traversé le corps ; je me suis tout de suite sentie très mal et je suis tomber par terre a moitié inconsciente très épuiser . Mes copine son vite venue a mon aide pour savoir ce qui venais de ce passer . Le prof qui venais de voir ce qui venais de ce passer ma demander si ça aller ; e me suis relevée puis j'ai dit que oui et demander si je pouvais aller au toilette .. il ma dit que oui . Je voulais vite partir de la pièce je mis santé très mal , quand je suis arriver au toilette j’étais devenue très pale et j'avais très mal au cœur ; e me suis mis un peu d'eau sur le visage puis quand j'ai lever la tête , j'ai vue une ombre grisâtre derrière moi .. Je me suis de suite retournée mais il n'y avais rien je me suis dit que j'avais du halluciner . Quand je suis retournée au CDI j'avais très peur dit retournée , je me suis vite assis a coté de mes amie , elles mont tout demander ce qui c'étaient passer , e leur est juste dit que ce n'etais rien et qu'il fallait pas inquiéter .
J'avais très hâte de sortir de la salle , des que la sonnerie de 17h30 retentis je sortie la 1er et je suis partie sens dire au revoir a personnes , en rentrant chez moi j'avais la tête qui tournée et des envies de vomir c'est comme si j’étais super épuiser , j’étais tout embrouiller, quand je suis arrivée chez moi , ma mère ma vue puis a accourue me voyant pale comme un casher d'aspirine .
Sur le coups j'ai hésité a lui en parler mais une somme une famille assez croyante a tout ce qui est esprits … ( mes tentes font du pendule et sont très réceptif au ondes , comme mon grand père et ma mère ) …
Après avoir tout raconté elle me dit qu'un esprits m'avais sûrement traversé le corps . Je me suis dit alors que ça aller passer … Du moins c'est ce que je croyez ...
Le lendemain , je me suis réveiller a 6h pile les yeux grand ouvert et très fatiguer mais le truc le plus bizarre c'est que j'avais une musique en tête que je n'avais jamais entendue , c'etais bizarre je connaissait les paroles et tout alors que je la connaissait vraiment pas cette musique …
Je me suis préparé puis je suis aller en cours pour la mâtiné ; Le problème ? C'est que je ne me souviens pas ce cette journée , je m'en suis rendu compte que le lendemain car mes amies mon, demander ce que j'avais eu hier , je leur est demander plus de préposition et mon dit que je les est même pas calculer et que je suis partie sens rien dire , le seul truc que je faisais d’étais de marmonné une musique . je me suis vient de rien , de tout ça et je me santé très lourde comme si j'avais une grosse pierre sur le dos mais cette fois je ne les dit a personne .
Arrivée vendredi , le soire je partais chez mon père ( mes parent sont divorcé ) pendant une semaine , j'étais toujours en mauvais points et toujours avec cette musique en tête , quand je suis arrivée j'ai vue mon chat , quant elle ma vue elle est partie en courent ce cacher comme si elle avais peur de qu'elle que choses puis ma belle-mère ma dit que j’étais pas la même … Je n'y comprenez rien … Au final j'ai vécu comme ça pendant tout les vacance , je le supporté de moins en moins puis j'ai revue cette ombre gris dernière moi a plusieurs reprise sens l'expliqué et cette musique , je pouvais plus la supporté …
Arriver le soire d'Halloween , j’étais tout seul puis j'ai desidé de faire un oui-ja car j'avais compris qu'un esprits c'était coller a moi et qu'il me bouffé ma vie .. Je ne penser pas que ça aller marcher , j'étais tout seul chez moi , au final je commence a poser des questions sens réponse .. Au moment ou je me suis dit que j'allais arrêter car ça de fonctionner pas et bien le verre a bouger tout seul devant mes yeux donc je lui demande ce qui me veux :
- V - I – V – R – E
- Je lui demande comment ?
- G R A C E A T O I
- A moi , mes comment ? je ne veux pas et je te demande de partir car tu me fait du mal , je veux que tu parte !
Puis j'ai sentie la douleur partir , je me suis évanoui puis je me suis réveiller le matin , je n'avais plus la musique ne tête comme si je l'avais oublier sens pouvoir sorti un mots de la musique alors je le l'avais eu en tête pendant des semaine.
kro55 et vegvisir, merci beaucoup ^^
Bonjour, j'espère que mon histoire va vous plaire même si je ne suis pas très forte en histoire "d'horreur". :dollchat:
Une jeune fille économisant pour aller à l'université se mit à surveiller la demeure de l'un de ses voisins en échange d'argent. Son voisin était docteur et il lui demande d'arriver vers 19 heures.
Une heure après être arrivée chez elle, elle reçoit un coup de téléphone. La personne qui l'appelle lui dit que si elle ne sort pas tout de suite de sa maison, il la tuera. Après, avoir raccroché, elle regarda sur l'afficheur et voit que l'homme qui l'a appelé est sur une ligne privée.
30 minutes plus tard, elle entend à nouveau son téléphone sonné. L'homme lui redit la même chose avec sa voix rauque.
La fille appelle alors sa téléphoniste. Cette dernière lui conseille de garder cette personne en ligne environ une minute afin qu'elle puisse retracer l'appel.
Encore une fois, il rappelle après 30 minutes, la gardienne le tient en ligne. Bien sûr, il lui répète exactement la même chose. La téléphoniste la rappelle et lui demande de sortir immédiatement!
L'appel provient en effet de la deuxième ligne de la maison, au deuxième étage. L'assassin est en effet chez elle...
Voilà se sera tout...
Cerise630
Voici mon histoire, j'espère qu'elle vous plaira !! :bisous:
Soudain, je me réveille. Quelqu'un est en train de frapper à la porte. Je regarde l'heure il 23h45. Je me demande qui cela peut-il bien être à cette heure ci. De plus, je suis seule chez moi mes parents sont au restaurant pour la soirée. J'ai peur, je ne sais pas quoi faire. Dois-je aller ouvrir ? ou alors appeler quelqu'un ? Je ne sais pas. Je vais finalement pour prendre mon téléphone quand les coups contre la porte cessèrent. Je me sens soulagée, je décide de me recoucher tout en gardant mon téléphone près de moi. Peu de temps après, vers 00h15, j'entends quelque chose cogner contre ma fenêtre qui se trouve au premier étage. La peur me gagne de nouveau, cette fois pas d'hésitation, je prends immédiatement mon téléphone. Je vais pour taper le numéro de mes parents quand soudain mon téléphone s’éteint; il n'y a plus de batterie. Prise de panique je me cache sous la couette. Je tente de réfléchir mais j'ai tellement peur que cela m'est presque impossible. Je commence à sangloter sans pouvoir m’arrêter. Le bruit s’arrête, je sors la tête de sous ma couette mais à ce moment j'entends un bruit provenant du couloir. Il se rapproche encore et encore. Ma porte qui n'était pas fermée mais juste poussée, se mit à s'ouvrir avec un grincement effrayant. Je décide de faire semblant de dormir par réflexe. Une fois que le grincement s’arrêta, j'en conclue que la porte était ouverte complètement. Je décide d'ouvrir discrètement un œil pour voir si quelqu'un est là. J’aperçois alors mon chat, ce qui est pour moi un énorme soulagement. Je me sens presque bête d'avoir eu aussi peur de mon chat. Donc je me recouche pour la seconde fois, sans avoir le courage d'aller fermer ma porte. Je m'endors en serrant mon chat contre moi pour ne plus avoir peur.
Le lendemain je suis réveillée par mes parents qui ont finalement passé la nuit chez des amis. Tout les deux sont en pleur. Je me demande se qu'il se passe pour qu'ils soient dans cette état alors qu'ils viennent surement juste de rentrer. Je me redresse afin de pouvoir me rapprocher d'eux, quand soudain je vois du sang sur mes mains et le long de mes bras mais je ne sais pas d'où il provient. Je pousse mon chat qui me gêne pour rejoindre mes parents. Et je vois sans pouvoir détourner mon regard, mon chat sans vie et plein de sang au niveau du ventre. Une boule se forme dans ma gorge, les larmes commencent à me monter aux yeux. Je ne comprend pas ce qui a bien put se passer pour qu'il sans dans cette état. Puis comme un flash, je repense aux événements de la veille. Je demande alors à ma mère pourquoi elle pleur afin de pouvoir vérifier mon hypothèse qui me semble complètement irréaliste. Elle m'explique que cette nuit nous avons été cambriolé. Après ces mots je fonds en larmes. Mon hypothèse est donc possible. Je mets longtemps avant de pouvoir expliquer la raison de ces larmes. Une fois que je suis revenue à la raison j'explique à mes parents tous ce qu'il c'est passé la veille. Et je me rends bien compte à travers leurs regards qu'ils sont arrivés à la même conclusion que moi : hier soir un cambrioleur s'est infiltré chez nous et afin de ne pas avoir de problèmes, ni de témoins, il a tenté de me tuer en me poignardant mais sans le savoir se n'est pas moi qu'il a touché mais mon chat. Je me rends compte petit à petit que si mon chat n'avais pas été là je serais en ce moment morte.
Quelques jours après ce qu'il s'est passé nous avons déménagé et pris toutes les mesures de sécurité afin de protéger au mieux la maison mais aussi pour que ce cauchemar ne recommence jamais. Depuis je ne reste plus seule le soir chez moi, il m'arrive parfois de rester seule l'après-midi mais à chaque fois cette histoire me revient en mémoire et la peur surgis de nouveau. C'est un cauchemar qui me poursuit et me poursuivra encore longtemps.
Bonjour à toutes et à tous... à mon tour de vous raconter une petite histoire enfouie depuis longtemps dans les méandres de mon esprit et de mes souvenirs...
C'est un souvenir un peu flou que je vais essayer de vous restituer au mieux..cela remonte à quelques années maintenant lorsque je vivais avec mes parents dans la maison familiale, bien avant qu'ils ne partent vivre à l'étranger, bien avant que j'ai ma propre vie... il fut un temps où nous vivions ensemble, je devais avoir une douzaine d'années à l'époque... C'est à ce moment là que j'ai connu la douleur de la perte d'un être cher, oh il y en a eu d'autres avant mais j'étais trop jeune je n'en ai que peu de souvenirs.. Vous allez peut-être sourire, peut-être trouver cela un exagéré mais c'est mon chien que j'ai perdu. Un petit bichon blanc de dix ans du nom de Pounky. Dix ans comparés à mes douze autant vous dire que j'avais grandit avec lui, fille unique il était mon seul compagnon...Son départ a été très difficile, il était vieux et malade, je suis rentrée du collège, il était partit. Pas d'aurevoir, c''est arrivé comme ça, un soir il n'était plus là, je n'ai pas forcément compris mais je n'avais pas le choix...Et pourtant j'aurai pu l'oublier enfin faire le deuil comme on dit mais je crois que moi...comme lui...n'étions pas d'accord.
C'est là que des choses ont commencé à arriver. Des petites choses au début, les premières nuits lorsque je commençait à m'endormir, je sentait comme une présence sur mon lit, Pounky avait l'habitude de me rejoindre dans la nuit de se blottir sur ma couette, et si au début le lit était froid il devenait chaud comme si quelque chose était resté dessus, la couette était enfoncée mais dès que je mettais la main cette sensation de présence disparaissait. Le manque m'ont dit mes parents, mouais pas convaincue.. puis je l'ai entendu, enfin j'ai entendu son jouet, comme tous les petits chiens Pounky avait un de ces jouets en plastique qui couine, et bien j'ai commencé à l'entendre, et pas forcément au milieu de la nuit, non en pleine journée, parfaitement éveillée, et pourtant le jouet était rangé dans le meuble. C'était juste impossible. Jusqu'au jour ou j'ai retrouvé le jouet par terre et c'est arrivé plusieurs fois, mes parents m'ont même accusée me reprochant de vouloir leur faire une mauvaise blague. Et puis plus tard je l'ai vu, pas clairement comme je vous voit mais comme ça furtivement du coin de l'œil, je voyais passer une forme blanche fugace, plusieurs fois...Comprenez bien j'aimais mon chien plus que tout mais admettre qu'il pouvait être encore là, c'était admettre que d'autres choses pouvaient aussi l'être. Alors si au début j'étais contente de cette présence j'ai fini par prendre peur et j'ai souhaité lui dire au revoir, il était temps. Alors je me suis assise, j'ai pris son jouet, je l'ai appelé, je ne l'ai pas vu mais j'ai eu très froid et très mal au ventre d'un coup comme une sensation de trac assez violent, et je suis restée là à murmurer son nom comme s'il était là...je lui ai demandé de partir, de me laisser qu'il était temps pour nous de nous dire aurevoir... Je ne sais pas si le destin à joué ou si mes parents ont senti le vide en moi depuis le décès de Pounky, mais ce soir là ils sont revenus à la Maison avec un bébé bichon blanc, le sosie de Pounky, il s'appelait Junior et c'était le petit fils de Pounky, la dame qui avait récupéré un bébé de Pounky à l'époque lui avait fait faire des petits. Et voilà qu'une nouvelle génération est arrivée, Junior a pris ses habitudes et plus jamais je n'ai senti la présence de mon premier chien... Voilà j'espère que mon histoire vous a convaincues et au pire que vous avez pris du plaisir à la lire..moi j'ai pris du plaisir à me la remémorer.... Un très bon Halloween à venir à toutes et tous :dollgifsorciere: