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1direction-1dream2
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62
Infirmière
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LAMBDA

 

 

 

13 décembre, 1:19 : J’ai mal, j’ai si mal. Il s’agit ici d’une douleur indes.criptible, celle du cœur, celle qui nous détruit la tête. Il s’agit bien là de la souffrance de la folie, comme j’aime l’appeler. C’est celle qui nous rend folle, qui réussit à prendre le dessus et ainsi contrôler nos moindres faits et gestes, nos émotions et réactions. Mais tout ceci... réside dans notre tête aussi. La souffrance existe seulement parce que nous la considérons, parce que nous l’acceptons et lui donnons raison d’exister. On se casse donc la tête, encore et toujours. Celle ci rentre dans nos entrailles et infecte chacune de nos cellules jusqu’à leur destruction. Le processus peut parfois être long, dépendant de notre degré de tolérance et de patience, et s’accompagne de pics. Ces pics, je les appelle les crises. En période de crise, la folie accumulée et refoulée les jours qui la précèdent finit par aller au dessus de nos limites, et ceci jusqu’à l’explosion. Le gros boom. Et lors de ce boom, le peu de conscience qui nous reste s’évapore pour laisser place à nos démons. La peine et la tristesse qui sont ressenties à ce moment précis sont bien trop fortes pour pouvoir être filtrées ou même ignorées. Ce flot négatif ne frappe pas à la porte, il la détruit sans prévenir. Nous sommes alors pris au piège et il nous est impossible de s’enfuir. La dernière pensée rationnelle et consciente qui pourrait traverser mon esprit serait l’espoir de pouvoir m’en sortir à nouveau cette fois ci. Mais l’espoir s’efface rapidement lui aussi car mon pessimisme m’empêche d’y croire, comme toujours. La lutte contre les démons devient alors acharnée. Je pleure, les larmes coulent à flot tendis que mes hurlements s’étouffent contre mes oreillers. J’ai toujours haïs pleurer. Les démons sont beaucoup trop forts, ils connaissent tous nos points faibles et s’expriment avec notre propre voix. Ils pointent tous nos défauts, sans en oublier ne serait-ce qu’un minuscule et ridicule détail. Ensuite ils nous rappellent toutes les épreuves que nous avons enduré et celles qui continuent encore de nous détruire de l’intérieur. Notre cœur, meurtrit par les événements et l’incapacité de réagir tout en restant rationnel, se casse toujours un peu plus, même lorsque nous sommes persuadés qu’il serait impossible d’aller plus bas. On se rend compte du fait que nous tombons, coulons, dans un puit sans fond. Le temps où nous pouvions apercevoir et apprécier la lumière du jour est révolu, et cela, depuis bien longtemps. Qu’est-ce que la lumière? Les souvenirs joyeux et gais deviennent flous et soudainement, une réalisation nous frappe à nouveau. Ces souvenirs ont ils vraiment existé de toute manière? Et ensuite vient cette forte envie de soigner le mal par le mal car on a fini par se laisser tenter. Nous finissons par croire dur comme fer que cette souffrance, nous la méritons. Cette punition est méritée. Mais plus le temps passe, plus il devient difficile de supporter ces douleurs incessantes. Pourquoi suis je punie déjà? On songe donc à la mort car c’est ce que nous répète de faire la voix, celle de notre subconscient, le moi fou, le vrai malade de l’histoire. Elle nous a tant de fois rabâchés à quel point nous ne sommes que des nuisances inutiles, n’ayant aucun mérite d’exister. La crise augmente de niveau, il s’agit là de l’étape cruciale car l’envie de se débarrasser de notre misérable vie est bien plus puissante que tout. Allons nous enfin abréger nos souffrances? Abandonnerons nous la vie comme on s’est nous mêmes abandonnés? Allons nous donner raison aux voix, aux démons, à notre moi fou, ceux qui nous traitent de lâches sans arrêt? Je me fais du mal pour étouffer le mal. Plus il y en a mieux c’est. J’absorbe le mal des autres pour en faire mien et les épargner. J’ai envie qu’ils souffrent, qu’ils sachent ce que ça fait d’avoir mal et puis, je ne veux plus. Je ne veux pas qu’ils sachent tout compte fait. J’espère qu’ils maintiendront cette balance et qu’ils trouveront la paix, eux, ces êtres non damnés. Et alors j’imagine des fins, des mondes fantastiques, des rêves crédules et dévergondés, ainsi que des vies alternatives à la mienne. Je me laisse bercer dans ma propre mélancolie, elle qui est si douce. Ma conscience revient petit à petit et je recommence à ignorer la réalité, à tout remettre au lendemain. Ressentir des émotions devient impossible grâce aux murs en béton armé que j’ai construit autour de moi. Ainsi j’attends la fin à nouveau un peu plus calmement, tout en restant continuellement triste. Je meurs, ma vie.

 

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but if I OD, I want you to OD right beside me
I want you to follow right behind me
I want you to hold me while I'm smiling, while I'm dying
and if you know me
when I go missing, you know where to find me

 

 

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WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST
I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE
WHEN I'M COMING DOWN IS THE MOST I FEEL ALONE

 

 

 

 

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-Un regard, un mytho, un sourire; et le cœur qui ne veut plus se nourrir. J’aime voir le ciel, j’aime ce silence alors ferme ta gueuule. :)

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