L'héritage familial des Blain.

Amusant, une ratée qui vit dans un palais d'or, 

C'est mon petit coin de paradis, l'ancienne maison de vacances. Mon père m'y emmenait chaque juillet, nous y restions presque les deux mois. Rien que d'y retourner j'en ai les larmes aux yeux, dans le salon j'entend encore les cris de mes cousins lorsque quelqu'un trichait au monopoly, les pions s'écrouler au sol lorsque le plateau de jeu s'envolait dans un excès de colère. Dans la cuisine je sens encore l'odeur des pancakes que ma mère préparait tout en papotant avec ma tante pour nos goûter dans ce grand jardin ou je vois encore la balançoire rouillée de mon enfance. J'aurais beau dire que je suis une mauvaise fille, je sais que mon enfance est quelque chose d'extraordinaire que personne d'autre que ma famille aura eu la chance de connaître. Et c'est après la mort de mon père que j'hérite de la maison de vacances, pour rien au monde je la vendrais, c'est mon paradis.

Pour y entrer ; La maison de vacances de Fiona est très isolée donc pour y entrer il faut ou être un invité, ou être perdu en pleine forêt, ou être un fou psychopathe m'observant depuis plusieurs semaine et m'ayant suivie jusque dans un endroit paumé pour m'agresser (muhaha) vous ne pouvez pas être des voisins etc s'il vous plait ne faites pas ça. 

Il y a quoi dedans ; c'est une grande maison. A l'entrée on doit longer un corridor avec un dressing pour déposer tous les manteau et chaussures qui donne ensuite sur une salle de vie, c'est à dire un grand salon fait de bois et une salle à manger. La cuisine elle est toujours ouverte mais dans une salle à part d'une taille assez grande elle aussi faite de bois. Une grande buanderie qui à l'époque était toujours empli de vêtements d'enfant tâchés, aujourd'hui vide trône derrière la salle à vivre salle toujours fermé. Les escaliers se trouvent dans le salon ils sont en colimaçon et donnent sur un long couloir plein de portes. Et oui des chambres, et encore des chambres. Celle de Fiona est au fond elle est immense et à un petit étage ou une fenêtre à l'époque condamnée donne sur un coin de paradis aménagée par celle-ci adorant observer l'au dela. (image 2)

 

 

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