Salut,

je suis Alqualonde, je possède un avatar(hommage au film)dans votre monde, j'y partage le corp d'une fille qui s'appelle Chloé. Le problème c'est que quand je la quitte elle ne fait que lire, nager, regarder Fairy tail qui, soit dit en passant, est un anime manga qu'elle suis et concocterdes recette à base de bonbon, je suis sûr qu'elle s'est mit au défit de nous faire vomir, la dernière en date est du chamallow fondu mélanger à des fraise tagada le tout napé de chocolat. Imaginez ces pauvre petit bonbon entrain de trembler dans leur boîte se demandant ce qu'elle leurs réserve, ils sont à plaindre. Mais réssament j'ai trouvé le moyen d'entré dans votre monde, SEULE, et il étai

.t temps, j'allais faire une overdose de chamallow fondu. Je suis désolé pour vous, jeune fille ou jeune homme, mais ça c'est moins probable, ayant lu ce loooooooong paragraphe, on n'a jamais envie de lire un truc si long,je vous fais un gros bisous!!

                                   Je ne suis pas une pin-up!!(et je ne suis surtout pas sûr de l'orthographe)

P-S de Chloé: Je veux pas faire la manche mais si l'envie vous viens je ne suis pas contre un +2 et je vous le rendrais...dès que j'aurais appris à le faire *gène*. < src="http://jtmtroptoi.vip-blog.com/medias/1206/jtmtroptoi-vip-blog-com-944796182560_62NV3X8J47QJU4ZXFB227N36QP5GRB_93d28e571bfcb00_H210531_L.jpg" alt="" />

J'ai appris!< href="java :EmotionsDialog.insert('aomd_smile.gif','aomd_'smile);">< src="http://www.ohmydollz.com/tinymce3/javas/tiny_mce/plugins/emotions/images/aomd_smile.gif" border="0" alt="" />

Euuuuuuh, désoler de ne mettre aucune photo une de présentation biz(z)are mais ch'ui nul pour les bonnes idées( en vérité j' ai la flemme de le faire) donc je croisent les doigt pour que vous me lisiez jusqu'aux bout : )

Et maintenant un début d'histoire que j'ai écris, n'hésitez pas à donner votre avis, qu'il soit bon ou mauvais:

Arrivât une nuit où l’atmosphère était lourde, les animaux s’énervait pour un rien les enfants pleuraient et les adultes, eux,  attendaient, les lune étaient pleines…

 Dans la forêt la plus sombre de tous les monde surgie d’entre les arbres une jeune femme d’environ une vingtaine d’année elle était vêtu de grands voiles blancs et apparut, tel un fantôme. Elle semblait désorientée et son beau visage était crispé de douleur, mais malgré cela son regard était empli de joie, ses mains reposaient et soutenaient son ventre bien ou même très bien rebondie. Avec soulagement elle trouva une clairière dans laquelle il y avait une source, tellement pure que son eau en était transparente. Elle s’y agenouilla, la douleur se faisait maintenant vraiment sentir et le petit être reposant en elle commençait à être impatient. Une contraction plus forte que les autres la fie ployer et lui révulsa les yeux elle sentit la vie, si fragile et minuscule, se débattre pour voir la lumière de ces lunes dont sa mère lui avait tant parlé, cette vie là était en train de lui pompé la sienne ! Une vieille femme surgit alors des hautes herbes, comme par magie. Mais la jeune femme n’y réfléchit même pas car la vieille lui proposait son aide et qu’elle en avait absolument besoin, cette nuit là fut tachée de ses cries.   

 Au matin, le soleil illumina l’eau désormais rougeoyante et une femme vêtue d’un blanc autrefois immaculé rayonnait, car dans ses bras reposait un joli bébé, il avait les yeux grands ouverts, on aurait dit deux grands saphirs d’un prix conséquent car ils étaient d’une couleur des plus purs. Il n’avait émit ni pleurs ni cris, ce bébé regardait avec placidité ce qui l’entourait, cet enfant, semblait-il, connaissait déjà le monde.

 Lorsque la jeune mère s’arracha à la contemplation de son enfant elle découvrit autour d’elle des visages, vraiment beaucoup de visages, des noirs, des blancs, des violets des jaunes, des rouges et même des bleus, tous souriaient. Elle se sentait en sécurité, elle arrivait, parmi tous ces visages inconnus elle arrivait à se sentir en sécurité ! Elle qui n’avait jamais connue ce sentiment. Elle s’amusa à les détaillés et se rendit bientôt compte qu’ils étaient tous censés ne pas existés !  Des fées, des elfes, des lutins et tous le monde sois disant inexistant était rassemblé autour d’elle ! Bien entendu il fallait s’y prendre à deux fois pour se rendre compte qu’ils étaient magique, ils étaient habillés tout à fais normalement. Leurs cheveux cachaient leurs longues oreilles, de longs voiles cachaient leur peau bleue et tous rivalisaient d’astuces pour dissimuler ce qu’il y avait de magique en eux. Malgré les apparentes différences ils avaient tous un air de noblesse, de grandeur. Parmi ces groupes assemblés selon leur race un seul se démarquait, premièrement parce qu’il était mixte, mais aussi parce qu’il dégageaient une aura de danger confirmé par leurs arcs et leurs épées qu’ils portaient dans le dos ou à leur ceinturon. Leurs pieds étaient chaussés de solides bottes de cuirs sous lesquelles se ait la bosse d’un poignard dissimulé, malgré l’expérience qui se lisait dans leur ils avaient tous à peine la vingtaine, il n’y avait qu’une seule femme dans ce groupe et lorsque leurs regard se croisèrent la jeune femme frémit, cette jeune fille avait un regard qui vous examinait, qui fouillait jusqu’à pouvoir lire dans votre âme comme dans un livre ouvert, son regard était celui dans loyale tueur, loyale peut-être mais tueur quand même, c’était des Cavaliers. On les reconnaissait grâce à une petite boucle d’oreilles en e de flamme, elles étaient chacune taillées dans un matériaux différent, du diamant, du rubis, de l’émeraude, de l’opale, du cristal, de l’ambre et de l’argent, ils étaient sept.

  La jeune femme se retourna et tapota l’épaule d’un grand blond et lui glissa quelque mots à l’oreille, à son tour il se retourna et me fixa, être passé deux fois au rayon X en deux minutes ça commence à faire beaucoup ! Il s’approcha, sa boucle de rubis brillant de mille feux, il passa au poignet mon enfant un petit bracelet auquel pendait une flamme de saphir, il se permit même de lui murmuré à l’oreille : « En attendant que tu sois en âge de la portée.», en disant ça il à employé le ton que l’on emploierais avec l’amour de sa vie, mon bébé viens d’être agressé par un pervers !

  La vieille femme qui l’avait aidé la veille s’approcha entouré d’un groupe  composé de personnes d’un âge tout aussi vénérable qui avait quittées peu à peu les groupes qui s’étaient és. Elle eu un sourire attendri pour la mère et se pencha sur l’enfant, elle lui effleura le front du bout des doigts, il se mit alors à avoir de plus en plus de poils, son nez s’allongea, ses oreilles devinrent pointu deux queues lui poussèrent et bientôt se tint un renardeau tout jeune. Dans les mains de la vieille femme apparut une magnifique couronne et la posa sur la tête du bébé qui redevint normale : 

- Cette enfant à de destin, un, si lumineux, qu’il vous éblouirait et l’autre si sombre que la nuit serait le jour, dans l’une elle acceptera ses pouvoir mais vous ne pourrez la voir, dans l’autre elle sera un oiseau dans une cage dorée, elle sera princesse, bien entendu vous pourrez la voir mais pas l’approcher, choisissez. Le mot résonna dans un silence si parfait que même les bébzzz n’osaient plus voler. Mais Séléna, puisque c’est son nom, n’avait pas l’air d’accord, ses yeux étincelaient de colère, sa voix s’éleva alors, chargée de menace et d’un calme effrayant : Dans un sens ou dans l’autre vous me demandez de l’abandonner, d’y renoncer, de laisser ce bébé seul.  Au fur et à mesure de sa phrase sa voix monta de plus en plus dans les aigu, jusqu’à se briser et éclater en sanglot, le bébé était quasiment étouffé tellement elle le serait fort. Enfin elle se calma et leva un visage encore ruisselant de larmes, elle s’adressa alors à son enfant : Je suis égoïste n’est ce pas ?  Le bambin lui souri on aurait pu dire qu’il la pardonnait s’il avait été en mesure de réfléchir. Elle s’adressa à la vieille femme : Je souhaite que mon enfant soit élevé loin de moi. La vieille sourit et dit : Bon choix jeune fille, je m’appelle Aiwel et je me chargerais d’elle. Maintenant que tous cela est éclaircit je propose que vous nous fassiez par du *** de cette enfant. La foule qui, depuis le choix de la jeune mère, était en liesse se tut instantanément. La jeune femme sourit alors, malgré son visage encore mouillé, et annonça : Cette enfant est… Elle fut arrêtée par l’arrivé d’un étrange visiteur, un esprit. Il s’avançait tenant dans ses mains jointe un petit être endormi, l’ectoplasme était un homme de haute taille portant une barbe foisonnante et une tu*** drapé à la grec, le nom d’ectoplasme était pour lui un peu exagéré car il avait beau flotter et être translucide il n’en était pas moins consistant, la preuve fut lorsque un bâton avec lequel jouait des enfant, ayant échappés à la surveillance de leurs parents, le frappa de plein fouet, il les foudroya du regard  et ce fut tout juste que je n’emploi pas du sens propre car deux éclairs vinrent, proprement, carbonisés l’herbe où reposait leurs pieds un instant plus tôt. Malgré cette démonstration de pouvoir la scène perdit un peu de sa majesté, il en parut d’ailleurs vexé. Tout ce remut ménage avait réveillé le petit être, il ressemblait à un oeuf  beige affublé de deux longues oreilles tombantes et deux grand yeux bleus, il avait un saphir enchâssé au milieu du front. Dès qu’il vit le bébé il sembla que la joie l’envahissait, il sauta alors auprès de l’enfant, qui gazouilla de bonheur, se blotti dans son coup et tous deux s’endormir, l’homme se volatilisa immédiatement laissant derrière lui des résidus de sa puissance, personne n’avait bougé, la surprise n’était toujours pas passé, car s’était bien Zeus qui était venu pourtant la scène avait duré moins d’une minute.

La mère se penchât sur les deux dormeurs et murmura au bébé : Déciment, tu attire des gens très intéressant… ma fille.