ce texte est une histoire non réel juste de l'imagination et une certaine envie d'écriture car  c'est la plus belle chose qui m'ai été donné de voir dans ce monde.... 

 Salu je m'appelle Edouard Johns 

je suis Journaliste a la rédaction du " New York time" je n'ai pas encore un grand rôle car je suis un petit rédacteur dans la catégorie enquête ,un jour je serai au sommet de cette entreprise ...

Ce matin je errais dans l'avenue Broadway et lorsque je dit errer c'est le terme le plus approprié a cette situation...Donc comme je le disais, j'étais en quête de scoop surprenant,un scoop assez extraordinaire pour que mon patron Mr.Roman n'en revienne pas et me laisse directement les clés de son bureau. Malheureusement,cela faisait plusieurs jours  que mes trouvailles rester vagues et simples pareils à un ptit café du matin que l'on prend tous les jours dans le même café du coin ...Et bien moi qui rêvait d'une vie pleine d'aventures,je m'étais trompé,car se petit café dont je parler et bien c'est le petit café que je prends tous les matins dans le même bar ...Cependant je garde toujours espoir de trouver la nouvelle fructueuse du moment. Soudain,une personne qui me semblais familière rentra dans le café et je me sentis en un rien de temps ...sans émotion comme si mon regard n'avait plus lieu d'être .

Lorsque je me réveilla,j'avais complétement oublier la nuit passée mais tout ce que je savais c'est qu'il était plus de 8h30 et que j'étais en retard ;(                     Arrivé dans l'ascenceur des bureaux du New York Time, le starsbucks dans la main je traversa l'allée des locaux. David m'apporta mon courrier :"à jeter...à jeter...appelle Miranda pour 20h et met le RDV avec Jake pour mardi ..."  J'entra dans la salle et là je surpris une femme à quatre pattes sous mon bureau,mon bureau !, qui d'ailleurs ma fait penser tout d'abord à un chien,je m'empressa de la sermonner comme je le fais habituellement ^^

*La personne qui lira ceci pensera certainement que je suis un monstre mais en vérité elle n'a pas totalement faux... Ce n'est pas que je suis violent ou quelque chose dans le genre, mais depuis mon adolescence j'ai adopté une certaine méprise pour toutes les femmes ( suite à un choc familiale, lorsque j'ai vu ma mère dire tout haut à mon père qu'elle le quitter et qu'elle ne voulait plus le revoir, car celui-ci avait joué avec une secrétaire...)  Tous sa pour dire que je joue avec elles et le pire c'est que ca ne me dérange en aucuns cas. Ma psy ( dernière conquête )c'est pour cela que je ne vais plus en voir, m'a dit clairement que j'étais trop sensible c'est pourquoi je le caché en jetant les jeunes femmes une à une, un peu comme le syndrôme d'oedipe si vous voulez. Je n'ai vraiment aucuns charmes, peut-être est-ce mon caractère bien porté ou quelque chose dans le genre.*

Lorsqu'elle ce retourna, ses cheveux tous ébouriffés tournoyèrent (sorte de medley des feux de l'amours), et je reconnus avec ma plus grande déception la jeune femme du café !Sans doute le destin était cruel car cette fille en question était une affreuse torture pour moi.

*Oui vous allez sans doute penser qu'il y a une incohérence entre ma de ion physiologique et ce mot précis "torture", en réalité c'est une journaliste qui travaille à la rubrique culturelle, pour ma part c'est une artiste.Je pensais l'empocher comme toutes les autres mais elle ne succomba point, on se voyait de temps à autre mais pour la première fois de ma vie, cette histoire avait finis dans un endroit autre que mon lit...

2 semaines plus tôt:

*A. était une parfaite conaissance et depuis un certains nombres de jours, nous avions la facheuse habitude de nous considérer comme amis, seulement nous voulions plus et nous le savions...tout les deux^^ Pourtant A. ( je le sentais ) semblait innacessible, d'ailleurs elle me disait sans cesse : "je n'aime pas les habitudes, les couples me répugnent !"*

* Je voulais juste que ce soit différent, A. serait une amie, la meilleure qu'il puice existait, sans relation ^^*

Tout les matins, elle venait en tenant deux bon starbucks café, pour me réveiller, puis nous traversions central park, pour rejoindre les locaux du New York Time. Nous discutions de la vie, mais surtout ce que j'aimais chez elle ( et encore actuellement je dois dire ), c'est ses questions existentielles improbables, mais qui au fond nous font réfléchir, par exemple, au lieu de me parler du dernier sac versace, elle me demandait avec son petit aire étonné qui veut tout savoir:"Pourquoi la presse ne parle-t-elle jamais de l'Australie ?" Evidemment je n'avais jamais la réponse.

[ lorsque nos deux regards se croisèrent,elle m'évita et fit juste un " Salu !". Je la rattrapa, et lui répondit à mon tour: "Que voulasi-tu ?", :"Et bien je chercher juste un dossier qu'Eric à échangé avec le tien..."

Ils nous est arrivé quelques choses entre elle et moi, comme le disait une ami, à force de tricher vous vous ferrez piéger... Car notre amitié était basé sur un jeu, nous nous lancions des épreuves mutuellement, pour la plupart nous trichions sans arrêt...Et c'est ce qui nous à détruit^^]

* A. est une jeune femme très cultivé, et surtout réveuse. C'était une simple blonde avec des yeux extraordinairement bleu, un bleu qui vous glace le sang... Assez grande et toujours fringué en bleu. Facile à reconnaître n'est-ce pas ?*

Dans le quartier de Mahnattan, j'avais rdv avec Stan et Beth deux ami(e)s très riches et très côtés de New York, et il y avait avec eux A., leur colocataire que je venais juste de connaître puice-que pendant 3 mois j'avais été absent pour un stage en europe . Elle avait l'air timide à première vue mais après avoir longuement discuté lors d'une petite fête, je commencé à m'amuser avec elle. J'avais envie de passer mon temps libre à lui montrer toutes mes envies, et tous mes endroits préférés dans cette ville. J'avais envie de la surprendre ! Et puis c'est là qu'a commencé notre premier jeu... *

Elle ne sortait pas beaucoup et n'avais jamais vraiment eut d'expérience avec les hommes, quelqu'une, mais rien de particulier... Je lui ai donc lancé le défit de s'éclater avec un inconnu et de lui prendre un seul ***, et de lui dire à la fin qu'elle était un homme. Elle le fit, evidemment il n'a pas fallu 5 minutes pour qu'elle devienne rouge de honte, mais le pire dans tous sa c'est que sa devait être à mon tour de payer, mais comme rien n'arrive avec de la chance, et que A. avait le don pour trouver les épreuves les plus subtiles elle me demanda une chose tellement improbable que j'hésitai quelque minute avant d'accepter son parie.

_"Tu vas aller dans un grands restaurants de luxe, pas un fast-food, de luxe... Puis tu vas inviter un ami, n'importe lequel evidemment, et tu lui donnera un ***.

_Quelque chose me dis qu'il n'y a pas que sa ?

_" Je vois qu'on a les même penser, tant mieux, j'aimerai bien savoir se que tu te dira quand tu l'embrassera devant une de tes ex" avec un petit air sournois .

Comme je le dis souvent, et surtout ne le prenais pas mal, mais j'étais dans la m****,car qui dit ex dit qu'elle préviendra toutes les autres et je serais considéré comme définitivement plus hétéro

Le lendemain, le boss me convoqua dans son bureau :

"Edouard je peux savoir quesqu'il vous est prit par la tête !"

J'ai cru qu'il me parlait de...

"Je ne comprends pas, vous mélangez souvent vos chemises gucci avec les diesels je ne crois pas alors pourquoi avoir publié cette article tout à fait loufoque sur le président du conseil !!"

Je n'en pouvais déjà plus il fallait que je l'a vois, je voulais juste m'éclater...

Un jour je devais descendre de l'upper eats side en calecon sur la tête, l'autre elle devait marcher sur les mains en plein centre commerciale. Et puis pour son anniversaire, je voulais la choquer, lui faire la trouille de sa vie. Elle adorait l'apesanteur

"Tu vois E.si je devais mourir ce serait dans le ciel, tout semble si beau de la haut, sans contrainte"

"Je comprends si tu veux je pourrais m'engager personnelement à te pousser du haut d'un immeuble ? " J'adorais se sourire en coin, ironque sans doute mais des plus agréables...

Le jour J au soir du 16 octobre, elle portait d'ailleurs une robe de flanelle noir et avec un ruban de la même couleur que sa peau.

"Tu aimes ? faite par moi même ici présente"

"Je ne sais pas, je pourrai dire que tu es absolument splendide ce qui te ferrais beaucoup trop plaisir, donc je vais rester sur le relévement de la bouche et du petit "mouai" "

Elle rit et me pinca le menton. Je la fit monter dans l'ascenseur de l'UES, puis lui mit son foulard bleu marine autour des yeux. Nous montâmes au 15ièm, 16ièm, 18ièm...etc. La porte s'ouvrit et un léger coup de frais lui prit. *Non je n'allais pas lui passer ma veste pour qu'elle soit dans le confort cela ferait trop roman américain* Je lui retira son foulard, c'était difficile pour moi car son odeur était désirable à point. Elle ouvrit ses yeux et...

A suivre

la suite prochainement

créer par A.