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chikita19
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Mini-Gif.skayy  380

 

 

princessegorekmanujenny108 amanda1485 MA CHERIE LA MEILLEUR DE TOUTE AMANDAAAAAAAAAAA!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

 

oh my dollz

 

 

 



 

 

 

 

 

la question est pourquoi?

pourquoi quoi?


Si tu aimes ta mère, copie celà dans ton QSJ. Une fille à ignorer celà et sa mère est morte 365 Jours apres

   Si je t'embrasse tu fais koi ?! ♥

 

 
1. Tu continu
2. Tu rigole
3. Tu mais la langue
4. Tu me plaque contre le mur et me fais l'amour
5. Tu me giffle
6. Tu m'engeule, mais tu continu
7. Tu fait styles que ta une meuf et tu te bars
8. Tu me fait un enfant
9. Tu fait rien, et te laisse faire
10. Tu m'enmène chez toi, pour passer la nuit
11. Tu me demande mon numéro
12. On devient ami
13. Tu veux plus jamais me revoir
14.  Tu me repousse
15. Tu m'embrasse mais rien de plus
  

Donne moi ta réponse en MP ou comm'z, et fait Copier/Coller dans ton QSJ et tu sera surpris des réponse !

 

 

JE SUIS UNE fille pas un garçon ok il y en a un qui ma trette de mec pouahhhhhh

   I LOVE DISTILERS ===>

music magnifique frisson garenti

 

 

 

 

 

 

 



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

      REJOINIER MES AMIS EST PLUS DEUX CHAQUE JOUR BON C'EST DU CHANTAGE ALORS +8 BON ENVOYER VOTRE AMITIER EN MP ps : une question sera posser euhhh pour dire je suis bavarde =) je voudrai atteindre les 70 amis a + +2 si lessage de com's en partand

 

 

 

 

 

 

petit petit petit petit petit petit petit petit petit petit petit petit petit petit petit{#nrv}je ne supporte pas que l'on critique les styles ! Si toi c'est pareil met ca sur ton QSJ!Ca met arrivée récement ur OMD un dollz m'a dit " ton style c'est de la merde et tu fais pitier un dirait un merde étaler sur la route hahaha !!! A mais les merdes ça ne fait pas pitier j'avait oublier !!" Voila que quelqu'un m'a dit cette dollz et au fond de moi j'était blesser !!!{#pleur}

 

Un style c'est personnel, ça ne se démode jamais alors ne le critique pas !  : ) 

90% de celles qui lirons ça ne le metterons pas sur leurs QSJ car elles même critique les styles mais 5% le metterons !

 

Quelques trucs à rappeler aux profs:
1) Je ne dors pas en classe: je me repose. 
2) Je ne me distrais pas: j'examine mes stylos.
 3) Je ne parle pas en classe: j'échange mes opignons.
4) Je ne dis pas de cxnneries: je développe mon lexique.
5) J'insulte pas les profs: je leur rapelle ce qu'il sont.
6) Je ne sèches pas les cours: on m'apelle ailleurs.
7) Je ne mache pas de chewing-gum: je me muscle la machoire.
8) Je ne tag pas mon nom sur les murs: je signe des autographes.
 9) Je ne déclenche pas l'alarme: je prépare mes camarades à un éventuel feu.
10) Je ne ranges pas mes affaires avant la fin du cours: je mets de l'ordre sur ma table.
 11) Je ne copie pas sur mon voisin: je vérifie si il a fait juste.
12) Je ne cours pas dans les couloirs: je m'entraîne au marathon.
13) Je ne mange pas de chewing-gums en classe: je goute pour voir si il a un bon gout.

 

14) Je ne détériore pas le matériel: je vérifie si c'est solide


 

 

petit truc pas très sympa a dire si on t'embète:

  

Tu sais ce qu'il y a de bien chez toi ?
- Non !
- Moi non plus ...
 

 
 
- Le fix sonne: Allô ?
- Oh t'es chez toi ?
- Non, je traîne avec le fix en ville.
 


-Tu sais respirer par le nez ?
-Bah ouais ...
-Tu peux fermer ta gueule alors !



 
-T'es comme l'eau en Afrique
- Ah bon je suis rare <3
- Non t'es pas potable !
 


-Driiiiiiiing...-Oui, allo?
-Salut c'est moi :)
-Ah, ça m'aide ça ! --'
__________________________________________
- Je suis ivre de toi !
-Sérieux ?! :D
-Ouai tu me saoules

- Alors on promène sa vache? 
-C'est un chien .
-C'est au chien que je parlais.


-Je suis nul en math , t'étonne pas si j'te calcule pas.

- Ca va ?
-Je te dirais bien NON sauf qu'il va falloir que je t'explique pourquoi, alors OUI.


-Ferme la lumière.
-Ouais c'est ça et j'éteins la porte aussi ?

 

 

 

 

 

Un petit jeu : 


N°1: je dait te dire un secret, regarde au n°5

N°2 : La réponse est au n°11.

N°3 : Ne te mets pas en colère hein ! ... Vas voir le n°15.

N°4 : Calme toi va voir le n°13.

N°5 : Regarde d'abord le n°2.

N°6 : Ne sois pas en colère regarde au n°12.

N°7 : J'ai juste voulu te dire : n'oublie pas mon +2.

N°8 : Ce que j'ai voulu te dire c'est ... la réponse est au n°14.

N°9 : Sois patient regarde au n°4.

N°10 : C'est la dernière fois que je vais te le dire ... Va au n°7.

N°11 : J'espère que tu n'es pas fâché(e) si je te dis ...               lllllllllRegarde le n°6. 

N°12 : Désolé ! Regarde au n°8.

N°13 : Ne devient pas fou ! Va voir au n°10.

N°14 : Je ne sais pas comment te le dire mais vas au n°3.

N°15 : Tu dois être vraiment fâché(e) ! Va voir au n°9.

 

 

PENS£ AU GARCON OU A LA FILL£ QUE TU AIM£!

-Maintenant pence à l'embrasser.

-Stop.

-Si tu mets ce msg ton Qsj.

-Vous serez amoureux très longtemps.

-Sinon il te détesteras a vie.

-Tu as 15 minutes maxi.

 

 

 

 

 

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1. Surligne tout.

2. Press CTRL+ F
3. Appuie sur 9.
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trop belle

ton mois de naissance :

 

Janvier : Je suis parti(e) avec 
Février : J'ai décapité 
Mars : J'ai tué
Avril : J'ai chatouillé 
Mai : J'ai giflé 
Juin : J'ai trompé ma meuf avec
Juillet : J'ai mangé 
Août : Je me suis marié(e) avec 
Septembre : J'ai créé 
Octobre : Je me suis habillé(e) comme 
Novembre : J'ai fait
 Décembre : J'ai embrassé
 Ensuite trouve ta date  ( ex : 5 janvier ... ) de ton anniversaire :

1 : moi-même 
2 : un canard en plastique 
3 : un singe 
4 : mon meilleur ami 
5 : un éléphant 
6 : un caniche 
7 : un mec 

 

8 : une chaise 

 

9 : un chat 

 

10 : une fille de 10 ans

 

 

 

11 : une truie 

 

12 : un gorille 

 

13 : un zombie

 

14 : bush 

 

15 : le vide

 

16 : un idiot 

 

17 : une idiote 

 

18 : un bisousnours 

 

19 : une banane 

 

20 : Bob l'éponge 

 

21 : Dora 

 

22 : Oui-Oui

 

23 : un tebé

 

24 : un mongole

 

25 : un marsupilami

 

26 : mon voisin 

 

27 : mon pied

 

28 : mon telephone

 

29 : Mr Bean

 

30 : un prince

 

31 : une princesse

 


 

Et enfin la première lettre de ton prénom :

 


 

A : pour sauver le futur

 

B : et j'était plié de rire

C : et j'aime ça
D : pour un biscuit
E : car je n'aime pas ça
F : et je me trouve belle
G : pour etre reine
H : et c'est nul
I : pour la popularité
J : et je trouve ça drôle
K : pour aucune raison
L : et je me suis fait gronder par ma mère
M : pour être un héros
N : car j'aime les ringards
O : car j'aime la vie
P : pour l'argent
Q : et ça pue
R : car je suis une tapette
S : pour mon/ma copain/copine
T : et un rhinocéros m'a foncé dessus
U : car je suis folle
V : et je
dis que c'est elle qui a tout gaché
 
W : car je n'ai pas d'amis
X : et je sens une odeur bizarre venant de mes pieds
Y : et ça me soule
Z : pour une patate

P♥ur aimer, c'est facile!

P♥ur ludire c'est difficile.

P♥ur l'♥ublier c'est imp♥ssible..

 

Savais-tu que chaque soir avant que tu ne t'endormes il y avait une personne du s.e.x.e opposé qui pensait à toi ? Cette personne veut t'embrasser, elle veut être avec toi, elle pense toujours à toi. Tout est vrai et pas truqué. Si tu réaffiches ce message dans 5 minutes, la personne qui a depuis longtemps envie d'être avec toi sera proche de toi dans un mois et te demandera de sortir avec ou te saisira ett'embrassera. Mais si tu casses cette chaine, personne ne t'aimera ou ne te demander à nouveau de sortir avec toi.#

Voila j'éspère que mon qui suis je vous a plus et si ca vous a touché mettez le dans votre qui suis je!! Surtout celui avec Sanglante Marie car si vous ne le faite pas, vous savez ce qui vous attend...  


Maintenant, voici une grande série d'histoires qui font peur pour celles qui aiment avoir la chair de poule!! Bisous mes chéries et REbonne lecture!!(ou pas)! lol
Ce soir-là, les parents d'Aurélie allaient au théâtre. Ils avaient insisté pour qu'elle vienne avec eux, mais elle avait refusé : L'envie de pouvoir passer une soirée toute seule à l'appartement la tentait trop. Elle avait maintenant douze ans et ses parents n'avaient pas vu d'objection à la laisser seule pour une soirée.
Ils étaient déjà partis depuis une bonne heure, et Aurélie était tranquillement installée sur le canapé, occupée à regarder la télé. Posée sur ses genoux, une assiette qui était bien remplie il y a encore peu de temps était maintenant presque vide. Repue, ayant fini de manger, elle posa l'assiette par terre pour que son chien, Floppy, vienne la lécher.
Les minutes passaient et Aurélie était toujours hypnotisée par la télé, mais son chien ne venait pas. Finalement, préoccupée par son absence, elle l'appela :
« Floppy ?... Floppy ?... Hé mon toutou ! il en reste encore un peu dans l'assiette ! T'en veux pas ? »
Mais Floppy n'arrivait pas.
Alors Aurélie, un peu inquiète, se leva et regarda autour d'elle : Il n'était pas dans le salon. Elle partit voir dans la cuisine, il n'était pas là non plus :
« Floppy ? ... Allez mon p'ti chien ! Tu t'es caché où ? »
Elle sursauta quand le téléphone à côté d'elle sonna. Elle hésita juste un instant, puis décrocha :
« Allo ?

- ...

- Allo ? C'est qui ?

- Ca va Aurélie ? 

- Heu... vous êtes qui ? Je ne vous connais pas ?

- Mais moi je te connais ! Je connais encore mieux ton chien d'ailleurs... Au fait, tu le cherches ? Tu sais, tu ne risques pas de le trouver, je me suis occupé de lui, puis je l'ai mis dans une cave du sous-sol de l'immeuble. »

- Quoi ! 

- Là je suis à côté de lui, et il est un peu mal en point tu sais.

- Vous avez fait du mal à Floppy ?

- Oh, si peu... Mais maintenant Aurélie, c'est à ton tour : je viens te chercher !»

Submergée par l'effroi, elle raccrocha le téléphone.



Il allait venir ! Il avait pris Floppy !... Ca n'était pas possible ! Ca ne pouvait pas être vrai ! C'était une plaisanterie ! Floppy devait être encore tranquillement quelque part dans l'appartement !

« Floooppyyyyyy ! Alleeezzzz ! Viens ici s'il te plait ! »

Elle commençait à courir vers la chambre de ses parents quand la sonnerie du téléphone reprit et lui glaça le sang : Il rappelait.
Il n'y avait rien dans la chambre, tout était en ordre, Floppy n'y était pas.
Et le téléphone, entêté, continuait de sonner.
Aurélie courut alors vers la salle de bain et ouvrit la porte à toute vitesse espérant voir Floppy à l'intérieur : mais elle était vide.

Apeurée, elle regarda dans la baignoire, craignant de ce qu'elle aurait pu y découvrir, mais il n'y avait rien non plus.

Et le téléphone, obstinément, continuait de sonner.



La sonnerie obsédait et stressait de plus en plus Aurélie, elle finit par craquer : Elle couru jusqu'à la cuisine, et nerveusement prit le combiné.

« Ca n'est pas très poli de raccrocher au nez des gens, Aurélie.

- ...

- Tu sais où je suis ?

- Heu... n... heu... n... non.

- Au rez-de-chaussée, je suis sorti de la cave, et je continue de monter !

- Vous... vous... allez... ! Non, j'... j'ai... j'ai peur !

- Ah oui ? Tu as peur ? C'est bien ça !

- ...

- Et tu sais, si tu bouges de chez toi, je redescends et je tue ton chien !

- Quoi ! ne faites pas de mal à Floppy, il est gentil ! Il fait de mal à personne ! »

Aurélie pleurait, elle tremblait à tel point qu'elle avait du mal à tenir le combiné du téléphone dans sa main.

La voix à l'autre bout du fil reprit :

- Tu sais Aurélie ?

- Nooonnn, arrêêêteeezz, et ne faites pas de mal à Floppy !

- Je suis au premier étage maintenant ! »

Aurélie fut prise d'une énorme montée de pa*** : Elle habitait au deuxième étage ! Elle raccrocha le téléphone : Il était tout proche d'arriver.



Il fallait qu'elle se cache, elle pensa à aller sous le lit, ou encore dans la baignoire, mais elle se dit qu'il la trouverait facilement dans ces endroits-là.

Le téléphone se remit à sonner, le son la fit sursauter.

Aurélie avait douze ans et sa petite taille lui donna soudain une idée : Elle ouvrit la porte des placards sous l'évier, et doucement, elle se glissa dedans en poussant tout au fond les bouteilles de produits ménagés. Elle se recroquevilla, arriva à trouver assez de place pour s'y glisser complètement, puis referma la porte de l'intérieur.



Et le téléphone continuait de sonner...

Et le téléphone n'arrêtait pas de sonner...

Et la sonnerie continuait, entêtée, obstinée...

Et la sonnerie devenait insupportable !



Brusquement, à bout de nerfs, sans réfléchir, elle sortit de sa cachette, et décrocha le combiné. Fauchant ses derniers espoirs d'entendre ses parents au bout du fil, la même voix sinistre reprit :

« Quand même ! Tu as fini par décrocher Aurélie.

- ...

- Tu sais où je suis ? »

Aurélie ne répondit pas, elle était pétrifiée, peut-être était-il juste à côté d'elle, là, dans l'appartement.

« Je suis au troisième étage, et je viens te chercher ! »

La surprise s'empara tout d'abord d'Aurélie : Il ne s'était pas arrêté à son étage ! Il ne s'était pas arrêté au second ! Puis comme un éclair dans sa tête, elle se dit qu'elle avait là une occasion pour pour s'échapper. Sans réfléchir plus longtemps, elle raccrocha le téléphone et se précipita à la porte d'entrée. Doucement et promptement, elle ouvrit la porte et se glissa à l'extérieur : sur le palier il n'y avait personne. Sans prendre plus de temps pour observer les étages, elle descendit l'escalier à toute vitesse. Elle était pieds nus, et l'escalier était froid, mais au moins elle ne faisait pas de bruit.



Elle descendit en trombe jusqu'au rez-de-chaussée. Là elle s'arrêta net : elle entendait les gémissements d'un chien provenir de la cave, elle en reconnu le son : C'était Floppy, il était là, en bas. Elle aurait voulu sortir de l'immeuble, puis courir sans plus s'arrêter, mais son petit chien était dans une des caves du sous-sol de l'immeuble, peut être blessé, peut être en train de souffrir, peut être en train de mourir. Des larmes coulèrent sur les joues roses d'Aurélie. Torturée par les plaintes de son chien, elle ouvrit la porte de la cave, et descendit.



Elle entendait son chien gémir, de temps en temps il émettait un petit aboiement timide. En se guidant au son, elle finit par trouver la cave : La porte était ouverte, Floppy gisait sur le sol, couché sur le côté, les pattes avant et arrière attachées. Quand il vit Aurélie, il aboya un peu plus fort. Le voir comme ça la fit pleurer.

« Bouh ! Floppy... Hmmm... hmmm... hmmmph... je vais te détacher mon petit chien... oh ! mon petit chien... »

Elle s'approcha précipitamment vers lui, il aboyait avec force maintenant. Elle s'accroupit à côté de lui, elle commençait à défaire ses liens tout en réfléchissant : Le téléphone sonnait quand il est passé du premier au troisième étage... Mais alors il aurait dû entendre la sonnerie quand il est passé sur le palier ?... Il aurait dû entendre le téléphone sonner ? vu le bruit qu'il fait !... Alors si... si... s'il avait vraiment été dans... l'escalier, pourquoi il...




JE SUIS DERRIERE TOI !

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C'est l'histoire de deux petites fille Lisa et Kathryn , que leurs parents sont partis travailler ( ils travaillent très tard le soir ) . Les deux petites regardent la télé quand l'une dit à Lisa dit à Kathryn : " Il faut que j'aille au toillette , mais j'ai trop peur d'y aller toute seule " . Kathryn l'accompagne donc au toillettes et lui dit de chanter la chanson balle , balle , rebondi pour s'assurer qu'elle va bien . Alors Lisa rentre dans les toillettes et commence à chanter . Au bout d'un moment , la voix commence à devenir plus grave , comme celle d'un homme . Kathryn , inquiette ouvre la porte de la salle de bain et voit un homme qui fait rebondir la tête de sa soeur sur le plancher ...

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Ce soir là ,les parents d'Aurélie et Marion on décidé d'aller au cinéma sans leurs filles.Ce qui ne gène pas les petites filles.

-Ils sont partit demanda Marion à sa grande soeur Aurélie

-Oui c'est bon

Elles se firent un bon plateau télé quand soudain un flash info débarqua sur le programme sur la télé un médecin en blouse blanche s'écria:

-C'est une catastrophe!!Armande s'est échapper ! Fermez porte et fenêtre vite!!!

Soudain Aurélie se souvint ,Armande oui c'était une psycopathe emputée des 2 jambes complètement ivre de sang!

-Vite Marion refermont toutes les fenêtres .

Seulement les petite avaient une trouille bleu. Elle coururent a l'étage dans la chambre de la grande soeur.

-Marion met toi sous le lit  je me mettrait dessus comme ça au moins je mourrait au pire.

-boum boum shiiiit

-boum boum shiiit

-Au...Aurélie tu as entendu ???

-boum boum shiiit

-boum boum shiiit

-Ce n'est rien c'est rien, bonne nuit

-ou..ou..oui



Le lendemain Aurélie se reivella un coup d'oeil autour d'elle non personne.

-Marion réveille toi aller vite!!!!

-Marion

-Marion tu es la??

Elle regarda sous le lit et vit sa petit soeur éventrée avec marqué à côté avec le sang de Marion : 

Je sais ramper !!!

_____________________________________________________________________________________

Deux jeunes filles, Anna et Julie, sont assises sur les marches d'un escalier à côté d'une maison. Anna dit à Julie:
"-Cette maison est hantée. A la nuit tombée, une dame voilée de noir apparaît et tue les occupants de la maison."
-Pfffff..... des bêtises, ton histoire!
-Tu veux des preuves? Ce soir, nous irons dans la maison hantée.
-D'accord!"
Le soir venu, elles entrèrent dans la maison et passèrent devant un tableau qui les suivait des yeux. Elles s'enfermèrent dans une chambre à clé et s'installèrent. Des bruits étranges leur parvenaient et Julie voulut aller voir. Anna la retint:
"-Non, attends! Je viens avec toi!"
Une dame voilée de noir apparut en effet et les filles coururent s'enfermer dans la chambre.
Soudain les filles se réveillèrent et sur l'écran le message suivant s'afficha:
             CE N’ÉTAIT QU'UN RÊVE!

_____________________________________________________________________________________

C'est l'histoire de 3 enfants qui joués dans les bois avec une balle . La fille , fit tomber
la balle dans un buisson , elle la reprit est decouvrit un passage secret dans les buissons . Les enfant décidèrent d'y aller .A la fin du souterrain , ils découvrirent un ***au abandonné . Ils y rentrèrent et découvrirent des tableau d'une petite maison derrière le ***au . Ils voulurent y aller mais la petite maison était fermée à clé , mais , la porte s'ouvrit toute seule avec un Grincement horrible !!
Ils décidèrent d'y aller pour trouver à manger .
Mais , ils entendirent des pas qui provenant d'en haut , La fille se cacha dans l'horloge et les deux garçons sous un lit .
Ils virent un MONSTRE avec des têtes coupées accrochées a sa ceinture ensanglantées . Le MONSTRE vit les deux garçons , il lança le couteau a leurs cous : Les têtes se coupèrent en deux !!! . Le MONSTRE prit les têtes et les mangea avec ses mains . Puis il remonta en haut . La fille , tériffiée , sorta de la maison et prévena la police !!! Les policiers brulèrent la petite maison .
Depuis chaque soir , on entendait les cris des enfants tuer par le MONSTRE .

_____________________________________________________________________________________

Marine était une jeune fille tout ce qu’il y a de plus charmant. Elle était serviable envers tous ceux qui avaient besoin d’elle. Depuis peu, elle aidait une de ses vieilles voisines qui ne pouvait se déplacer facilement. Elle lui faisait ses courses.
Un soir, le 31 octobre pour être plus précis, elle alla chez cette dame pour lui apporter ses courses. Voyant Marine transie de froid la vieille dame l’invita à boire une tasse de thé. Pour la première fois Marine entrait chez cette dame. D’habitude elle allait directement mettre les courses dans un cagibi attenant à la maison.
L’intérieur de la maison était assez triste. Les meubles, vieux et sombres, étaient couverts de poussière ; des chats étaient couchés un peu partout, Marine eut l’impression qu’ils la fixaient du regard. Une odeur âcre flottait dans chaque pièce, l’air était difficilement respirable.
La vieille dame convia Marine à s’asseoir sur un des rares fauteuils non occupé par un chat. La dame partit dans la cuisine faire chauffer de l’eau pour le thé. Marine en profita pour regarder tout autour d’elle. Sur les murs étaient disposés des tableaux sombres représentants des paysages orageux, des gens miséreux. Mais ce qui attira particulièrement l’attention de Marine, c’était toute une série de portraits de jeunes filles de son âge qui avaient l’air terrifiées ou alors d’une extrême tristesse. De tous ces portraits se dégageaient une incroyable douleur.
La vieille revint au salon en portant une théière bouillante. Marine se leva pour l’aider, elle saisit la théière et la posa sur la petite table. La dame la remercia et s’assit. Elle expliqua à Marine que le thé qu’elle avait préparé était à la cerise, que c’était sa défunte fille qui l’avait fait juste avant de mourir l’été dernier. Le thé coula rouge comme du sang. La vieille dame demanda à Marine de lui raconter ce qu’elle faisait de ses journées à part aider les vieilles personnes. Marine commença à raconter qu’elle faisait de la danse, qu’elle chantait mais elle n’eut pas le temps de finir, la vieille dame se leva et expliqua à Marine qu’elle aimait bien prendre en photo les jeunes filles qui venaient l’aider.

Elle attrapa un petit appareil posé sur la commode derrière elle et le déposa à côté de sa tasse. Elle incita Marine à boire son thé alors qu’elle lui parlait de ses petits-enfants qui ne s’occupaient jamais d’elle. Marine porta à ses lèvres la tasse bouillante tout en écoutant les histoires de la dame. Le thé lui glissa dans la gorge.

Elle se mit alors à crier et à recracher son thé. « Mais…mais c’est…du sang ! »
Elle devint alors livide lorsqu’elle vit le regard cruel de la vieille dame. Celle-ci se leva et saisissant l’appareil photo dit d’une petite voix terrifiante : « Enfin tu es à moi pour toujours ! » Elle prit en photo Marine qui s’écroula aussitôt. La vieille dame développa la photo et la mit avec les autres portraits. Elle lui avait volé son âme et l’avait enfermée dans le portrait. La vieille dame prit le corps, l’emmena dans une pièce fermée à côté de sa chambre et l’assit sur une chaise au milieu de tous les autres, elle dit alors d’une voix nasillarde : « à la prochaine » et disparut comme par enchantement.

_____________________________________________________________________________________

« …Et soyez sages ! » nous dirent mes parents avant de claquer la porte.
« Nous », c’était ma sœur Naura, et moi, Tom, ainsi que nos amis, Ben et Sarah qui passaient la soirée chez nous, pendant que nos parents dînaient chez des amis. 
Quelques secondes après que la porte se soit refermée, après que ce soit fait entendre le son mélodieux de la voiture qui démarre, nous abordâmes des visages radieux, prêts a passer une soirée inoubliable. 
-Ta maison est tellement grande ! s’exclama Ben en faisant quelques pas. Ni lui ni Sarah n’étaient encore jamais venus chez moi, nous ne les connaissions que depuis le début de l’année, mais cette amitié commune nous avait rapproché, ma soeur et moi. 
Sous nos regards amusés, Ben continuait de s’extasiait sur les meubles, le jardin, tout ce qui composait notre maison. Il faut reconnaître qu’elle était vraiment spacieuse.

La soirée commença avec une  baignade semi nocturne dans ma piscine. On se laissait porter doucement par les remous artificiels du bassin, rigolant à propos de n’importe quoi, parlant de tout en sirotant des bières… un samedi soir détendu, entre amis, ou on oubliait tout nos soucis.
Sarah commença à m’arroser, je répliquait avec fougue, Naura vint a son secours et Ben au mien, et c’est ainsi que l’on passa un long moment a s’éclabousser, a se couler, en riant de bon cœur. 
Puis nous nous séchâmes et on emporta les bières au salon, les discutions reprirent et les rires aussi. 
-Eh, les amis, ça vous dirai qu’on se regarde un film la haut ? Demanda Ben.
Je sentait que Sarah en avait aussi envie, mais elle attendais ma réponse ou celle de Naura pour le dire a haute voix.
Mais nous étions tout les deux évidemment d’accord. Il faut dire que mon père a une collection impressionnante de DVD, dont la diversité n’avait d’égale que sa quantité.
Une fois en haut, Ben arpenta les rayons de l’étagère de la chambre de mon père, comme un enfant lâché dans une réserve de bonbons. 
Après quelques minutes, il s’exclama:
-Bon, j’ai fait une petite sélection.
-On t’écoute, lui répondit Naura.
-Alors, il y a Scary Movie..
-Oh non, sérieux je les ai tous vu et puis on a passé l’age, non ? Se plaignit Sarah.
Ben ne semblait pas du tout d’accord, mais il ne dit rien.
-Requiem For a Dream…
-Celui la, je crois qu’on a tous vraiment vu trop de fois, dit-je, et puis on va tous déprimer après, c’est pas la but de la soirée.
Quand Naura s’aperçu que le prochain DVD que Ben allait nous proposer était « Fight Club », elle décida qu’il était temps de prendre les choses en main.
-Les gens, ça vous dirais qu’on se regarde un film d’horreur ? Demanda-t-elle avec un petit sourire. Vous savez, c’est ce même ton que les parents emploient pour demander a leur enfant s’il veut le jouet qu’il admire dans la vitrine depuis 10 minutes. En effet Sarah adorait les films d’horreur, et Ben aimait tout les genre de films.
-Oh ouais, carrément ! S’exclama Sarah. Mais pas un petit film pour ados prépubères comme on en a trop vu, un bon gros film bien effrayant ! 
-Ouais, bonne idée, ça fait longtemps que j’en ai pas vu un ! Ajouta Ben.
Je n’aimais pas trop la tournure que prenait la soirée.
-Ouais, ou sinon un film d’aventures… Suggérai-je timidement, mais personne ne fit attention a moi, ils étaient tous emballés par l’idée de Naura.

-On peut voir REC, proposa Naura.
-Je l’ai vu il n’y a pas longtemps, répondit Sarah. 
On chercha donc, parmi l’imposante collection de DVD de mon père un film de préférence peu connu et effrayant, qu’aucun d’entre nous n’ai déjà vu.
On en trouva un. Le nom du film, l’image sur la jaquette et la de ion au dos semblait tout à fait correspondre a ce que mes amis recherchaient. Honnêtement, je n’avais pas du tout envie de voir un film d’horreur. Mais je voyais que cela leur tenait a cœur, et, ne voulant pas gâcher la soirée, je gardai le silence, allant même jusqu'à simuler un semblant d’enthousiasme.
À contrecœur, j’insérais le DVD dans le lecteur, pendant que ma sœur et nos deux amis s’installaient confortablement, visiblement très excités. 
J’appuyais sur Play.
-J’espère qu’il fait vraiment peur, dit Ben, ça fait une éternité qu’un film ne m’a pas réellement foutu les jetons. 
Après un court silence, Naura s’exclama : 
-Non, ça ne va pas, met en pause, Tom ! 
Je m’exécutais en soupirant.
-On peut savoir ce qu’il y a ?
-Ben a raison, on veut vraiment avoir peur, il faut qu’on se mette en condition.
Je ne savais pas trop ce que « en condition » signifiait exactement, mais la perspective de retarder le moment on regarderai le film, donc d’entamer encore plus la soirée ne me disais rien. J’espérais que Sarah se rangerai de mon coté, mais en voyant les lueurs d’excitation briller dans ses yeux, je su que je ne devait pas compter la dessus.
-Déjà, on va éteindre toutes les lumières. Proposa Naura.
-C’est la base, acquieça Sarah, et on pourrait aussi allumer des bougies !
-Je sens que cette soirée va être mémorable, s’exclama Ben avec un grand sourire.
Ils s’exécutèrent donc.
-Bon, est ce qu’on peut commencer ? Demandai-je avec une pointe d’agacement.
Je devait reconnaître que le rendu était plutôt bon, étant donné l’objectif de mes amis : les lueurs des bougies donnaient un charme mystérieux a tout les objets se trouvant dans la pièce, rendant l’atmosphère plus secrète, plus intime, et finalement légèrement inquiétante. Mais manifestement pour Naura ça n’était pas encore assez.
-Non, ça ne suffit pas, répondit-elle. Il faut que l’immersion soit totale, il faut qu’on ait peur avant même qu’on lance le film. Aucun de nous n’est terrifié, la, il faut qu’on trouve autre chose.
Ben, qui était en médecine, était toujours ravis de pouvoir apporter des connaissances que seul un étudiant en médecine pourrait apporter. Ainsi, il lança :
-C’est scientifiquement prouvé qu’une basse température augmente la capacité de réception à la peur, d’où le phénomène de « Chair de poule » qui nous permet de constater que le corp peut avoir la même réaction a la peur qu’au froid.
-Et ? Lui demandai-je, tu veut qu’on regarde le film à poil ?
-Non, mais on pourrait ouvrir les fenêtres en bas, ça ferait un doux courant d’air qui nous ferai juste frissonner assez, sans avoir complètement froid. Et puis avec un peu de chance le vent éteindra une a une les bougies pendant le film, et ça ce serait vraiment angoissant.
Ce dernier argument acheva de convaincre les filles, qui approuvèrent très fortement. Je soupsonnait la bière d’influencer quelque peut leur décision.

-Super, s’exclama Naura, on va en bas et on ouvre tout ! On prend chacun une partie de la maison pour aller plus vite, et on se retrouve dans 10 minutes en bas de l’escalier.

Peu de temps après, nous remontions, accompagné de la légère brise qu’avait entrainé l’ouverture des fenêtres. 
-On peut commencer ? Demandai-je, dissimulant de plus en plus mal mon exaspération. 
-Ouais, répondit Naura en appuyant sur play, toute exitée.
Dehors, il commença a pleuvoir.
-Maintenant c’est parfait ! S’exclama Ben, ravi.
Comme pour lui répondre, la pluie s’intensifia.
Le menu du DVD s’afficha, la toile de fond était une chambre vide ou les rideaux voletaient doucement, et ou des cris étouffés venaient ponctuer ce spectacle. Mais le son était beaucoup trop fort.
-C’est pas un peu fort ? Demandai-je a Naura, en haussant la voix pour me faire entendre.
-Tu veux être vraiment immergé dans le film oui ou non ? Me répondit-elle.
Au moment ou j’allait répondre, Ben s’exclama :
-Non, c’est parfait comme ça, lance le film ! 
Je ne dis plus rien, mais je ne me sentais plus aussi enjoué qu’au début de la soirée. Je ne comprenais pas ce désir si fort d’avoir peur que ressentaient mes amis, la lueur étrange des bougies que la brise faisait vaciller, le volume anormalement élevé, tout commençait a me mettre mal a l’aise.
-J’espère que le film va être a la hauteur ! S’exclama Sarah.

Et il le fut. 
Le film fut terrifiant. 
Plusieurs minutes après la fin du générique s’écoulèrent avant que l’un de nous ne dise quelque chose.
-Waou… quel trip ! S’exclama Ben. T’en as pensé quoi, Tom ?
-J’avoue que c’était intense, chuchotai-je, pas tout a fait remis de mes émotions. 
-Je me demande si c’était une si bonne idée que ça, dit Sarah. Peut-être que ça a trop bien marché.
Elle n’avait pas tord, nous nous sentions a présent mal à l’aise et peu confortables. Ben tenta de faire une blague, mais personne ne réagit. La pluie continuai de tomber, et les gouttes d’eaux s’éclatant sur les tuiles faisaient un bruit peu rassurant. Le grondement d’un orage se fit entendre.
-Je…je vais allumer la lumière, dit Ben, pendant que Naura se dirigeait vers le lecteur de DVD pour en extraire le film.
-Tom, je ne trouve pas l’interrupteur ! S’exclama-t-il.
Les lueurs de la nuit étaient pour le moment notre seule source de lumière, car le vent avait éteint toutes les bougies, et la pluie avait rendu l’atmosphère humide. Je me levais pour aider Ben . L’interrupteur était visible malgré la semi obscurité, je ne comprenais pas comment il pouvait ne pas le voir. « Le film a du vraiment le secouer », songeai-je. 
J’allumait donc la lumière, et l’ambiance devint soudainement beaucoup plus rassurante.
Quelques minutes plus tard, l’atmosphère, a la différence de l’air ambiant, commençait a se réchauffer.
-N’empêche, on est des génies, dit Sarah avec malice.
-J’avoue, dit Ben, c’était grandiose. On a poussé la peur dans ses derniers retranchements ! J’était vraiment mal juste a la fin du film.
-Moi aussi ! On s’en souviendra de cette soirée !

Et tout aurait pu s’arrêter là. Ca aurait pu être un samedi soir sympa, avec une baignade dans ma piscine, de la bière et un film d’horreur légèrement trop effrayant, une soirée mémorable ou on aurait inventé une nouvelle manière de regarder les films, un super moment.
Mais ce ne fut pas le cas. Rien ne s’arrêta la.

Le téléphone sonna. Naura répondit, et au fur et a mesure qu’elle écoutait son interlocuteur, l’expression de son visage se trans a : elle affichait un grand sourire qui s’élargissait secondes après secondes.
-C’était Maman, dit-elle en raccrochant : ils restent dormir chez leurs amis, et Ben et Sarah restent ici pour la nuit ! 
Nous poussâmes un cri de joie, ravis.
Elle s’agenouilla devant le lecteur de DVD, et du appuyer sur Stop, car le générique du film laissa la place au visage du présentateur des infos.
-Ah, le lecteur a basculé sur la télé normale, constata Ben.
-Oui, il fait ça a chaque fois quand on appuie sur stop, précisais-je, ça doit être les infos nocturnes. 
D’une oreille distraite, j’écoutais ce que disait le journaliste. Il abordait les sujets habituels, quand tout a coup son ton devint plus grave.
« …et un flash spécial a l’attention de tout les habitants de Aix-Les-Bains, on nous signale un cas de disparition… »
Nous écoutions tous a présent.
« … Il s’agirait d’un dément qui se serait échappé hier soir de l’asile des Pavés Bleus, il est dangereux et incontrolable. Il est recherché activement par tout les services de gendarmerie présents sur le territoire. Fermez vos volets, verrouillez vos portes et si vous habitez une grande maison munissez-vous d’une alarme. Evitez de rester seuls. Le point a présent sur la situation en… »

Aucun de nous ne dit rien. 
Le silence emplit lourdement la pièce, et un nouveau grondement indiqua que l’orage se rapprochait. 
-Toutes les fenêtres en bas sont ouvertes… Chuchota péniblement Ben. Le volume était presque au maximum… Il aurait pu se passer quelque chose, on aurait rien entendu…
-Écoutes, di-je, essayant tant bien que mal de contrôler le tremblement de ma voix, comme l’a dit le présentateur, avec un système d’alarme on ne risque rien. Mes parents ont la sécurité la plus perfectionnée qui soit, fenêtres ouvertes ou pas, si quelqu’un avait essayé de pénétrer dans la maison, on l’aurait su immédiatement, l’alarme sonne super fort. Il…il n’y a aucune raison de pa***r.
Ben ne répondit rien, mais je constatais que ses épaules se décontractèrent légèrement.
-Viens Naura, poursuivi-je, on va voir le tableau de commandes de l’alarme.
Naura quieça sans rien dire.
Le ventre serré, la respiration haletante, nous marchions lentement.
Heureusement que la chambre de nos parents se trouvait a notre étage.
Arrivé dans la chambre, un cri de surprise m’échappa en voyant le tableau de commandes.
-Ok, maintenant tu peut partir.
Le tableau était noir et traversé d’importantes traces de brulures, certains éléments avaient fondus : il avait du se prendre un éclair et disjoncter. 
-je n’y comprends rien, di-je, c’est pas le premier gros orage auquel on a a faire face, notre paratonnerre est au top ! Comment un simple éclair a-t-il pu le faire disjoncter ?
Naura semblait trop effrayée pour même considérer ma question.

On expliqua la situation aux autres du mieux qu’on pu. Un autre grondement retentit, plus proche encore que le précédent, et les lumières s’éteignirent. Les plombs avaient sauté. J’allumai une bougie.

-Il faut qu’on descende, di-je. Il faut qu’on aille fermer les fenêtres.
-Non ! hurla Sarah qui n’avait pas prononcé un mot jusqu’alors. Je ne peut pas, pas dans le noir, comme ça, imagines qu’il soit la, qu’il rode dans ta maison, si ça se trouve il n’attend que ça !
Je la pris par les épaules.
-Sarah, je suis sur qu’il n’y a absolument personne dans la maison ! On est tout seuls et on est en train de se faire un mauvais film !
-Et…imagine qu’il soit la ? Dit Ben d’une petite voix. Juste imagine…qu’il soit la.
-Mon frère a raison, dit Naura, il faut qu’on descende, on a pas la choix, on doit fermer ces fenêtres, plus on attend plus ça devient dangereux. Après tout Ben c’était ton idée d’ouvrir les fenêtres.

A contre cœur, Ben nous suivit, Sarah fit de même, ne voulant pas rester toute seule.
Pendant la descente, un grondement terrible se fit entendre, suivit du flash d’un éclair.
Chaque ombre sur le mur tremblotait à l’image de la bougie que j’avait dans la main. Tout prenais soudain une allure effrayante, oppressante. On descendait, préférant ne pas imaginer ce que le pire pourrait nous réserver une fois en bas.
Arrivés a la dernière marche de l’escalier, Naura pris la parole.
-Ca fait très cliché de mauvais film d’horreur, mais on doit se séparer. 
Avant que quiconque n’ai pu dire quoique ce soit, elle ajouta :
-Il y a au moins une vingtaine de fenêtres, rappelez vous : rien que pour les ouvrir, en se séparant ça nous a pris environ 10 minutes, si on reste ensemble ça nous prendra 4 fois plus de temps.
Nous nous répartîmes donc les rôles, décidant de qui devait fermer les fenêtres se situant dans tel ou tel endroit de la maison. J’étais admiratif du calme et du sang froid dont ma sœur faisait preuve.
En refermant la fenêtre du petit salon, j’entendais Sarah murmurer dans la pièce d’a coté :
-Imagines qu’il soit là… qu’il nous épie, qu’il soit en train de sourire dans le noir… 
Elle était en train de sangloter. 
Ses litanies, le bruit de la pluie cognant sur notre maison et les grondements de l’orage , tout cela faisait un bruit considérable. Et malgré ça, la maison semblait atrocement silencieuse.
Je me hatais de fermer les fenêtres qui m’avaient été attribuées, mais mes mains tremblaient et mon corp bougeait bien trop lentement. La maison étant plongée dans l’obscurité, on ne voyait rien dans les couloirs, je devais tatonner, aveugle, me repérant au toucher jusqu'à la prochaine fenêtre, priant pour que rien ne surgisse de l’ombre, et pour que mes doigts ne rencontrent pas une peau chaude et vivante mais reste bien au contact de ces murs froids et rassurants. A chaque pas il me semblait que le danger augmentait, jusqu'à ce que j’aperçoive la fenêtre, rassuré.

Au moment ou je refermais la dernière fenêtre, j’entendi un cri strident provenant du garage. Terrifié, je rejoignit avec crainte le garage, et vit Sarah, a genoux, en larmes, fixant le mur, horrifiée. 
Sur le mur était écrit avec ce que j’espérais être de la peinture rouge :

« JE SUIS LA »

Le battement de mon cœur s’accéléra dangereusement, et ne se calma pas. Les autres nous rejoignirent, ils hurlèrent aussi.
-…Il faut qu’on retourne dans la chambre de Tom… dit Sarah d’une voix sourde.
-Non ! Non ! Cria Sarah, il faut qu’on se tire d’ici ! 
-Regarde dehors ! Cria également Naura ! On ne ferait pas 10 mètres avec cette pluie !
Sarah commençait a devenir hystérique. 
-Et s’il est dehors ? S’exclama Ben. Et s’il est dehors a attendre qu’on sorte ?
Naura pris une voix plus calme, et dit :
-Il y a un téléphone d’urgence dans chacune de nos chambres, alors on remonte la haut, dans la chambre de Tom, on appelle la police et on attend. Aussi longtemps qu’on restera ensemble il ne nous arrivera rien.
Nous remontâmes, toujours dans le noir, mais cette fois en courant, et a peine arrivés dans ma chambre, je me précipitait sur la ligne d’urgence cachée sous mon lit, et composait a taton le numero de la police locale pré enregistré.
Aucune tonalité.
La ligne était morte. Quelqu’un l’avait forcément coupée, ça ne pouvait pas être l’orage, car la ligne d’urgence était sur un autre secteur. Il était venu dans ma chambre.
-Alors ? Demanda Naura.
J’essayait d’expliquer la situation le plus calmement possible, mais avant même que j’ai finit de parler Sarah se remit a pleurer. 
Le visage de mes amis, en moins d’une heure, s’était littéralement trans é : la peur avait enlaidis chacun de le leurs traits. J’essayait de ne pas penser a quoi devait ressembler mon propre visage.
-Il sait. Dit Sarah d’une voie tremblante. Il sais qu’on est la, il sait ou on est.
-Il faut qu’on se tire d’ici, cria Ben.
-Non, dit Naura, je t’ai dit qu’on ne pouvait pas a cause de la pluie !
-Je préfère ça a rester coincé ici avec un psychopathe !
-Imaginez qu’il soit derrière la porte, chuchota Sarah, qu’il écoute tout ce qu’on dit depuis le début, qu’il  nous épie, attendant de voir comment on va réagir…
-On doit sortir d’ici ! hurla Ben
-On ne peut pas ! Cria Naura encore plus fort. 

Alors nous attendîmes. Les minutes étaient longues et douloureuses, aucun de nous n’arrivait regarder les yeux des autres. Je ne saurai dire combien de temps nous sommes resté comme ça, collé les uns aux autres, tremblants de tout les membres de notre corp.
Puis on entendit un bruit sourd. 
Il venait de l’escalier.
Puis un deuxième.
Puis plus rien.
L’atmosphère devint plus oppressante que jamais, instinctivement nous nous reculâmes tous, en nous agglutinant dans le coin de la chambre le plus éloigné qui soit de la porte, juste a coté de la télé.
Et l’attente, longue, insupportable, et terrifiante repris, guettant le moindre bruit, dans l’obscurité, fixant la porte comme des déments.


A ce moment précis, un détail attira mon attention : sur le lecteur de DVD branché sur la batterie externe, se trouvait un DVD dont la face était retournée. Je me penchais pour le prendre, et constatais qu’il s’agissait du film d’horreur que nous avions regardé. Or, pour arrêter le film Naura avait appuyé sur stop, c’est ainsi que nous étions tombés sur les infos, je ne comprenais pas comment, dans un moment pareil Naura avait eu la présence d’esprit d’extraire le DVD. Plus surprenant encore, la petite lumière rouge du cadran du lecteur était allumée, ce qui signifiait qu’il y avait encore un DVD a l’intérieur. Je n’y comprenais plus rien. Si je tenais le film que nous avions regardé dans la main, comment pouvait-il y avoir encore un DVD a l’intérieur ?
J’appuyait sur Eject, mais le second DVD qui se trouvait a l’interieur était vierge. Je le replaçais dans l’appareil, pris la télécommande et appuyais sur play.

En voyant ce que contenais le DVD mysterieux, mon cœur fit un tel bond que je du m’appuyer sur quelque chose pour ne pas m’afaler sur le sol, et malgrès le froid ambiant, de petites gouttes perlèrent sur mon front. Ce n’était pas des gouttes de sueurs, c’était la pa*** qui se matérialisait sur mon front.

C’était le flash spécial qui se déroulait a l’écran. Celui qui avait lancé ce cauchemar, exactement le même. Le flash spécial était un DVD. 
En voyant cela, le visage de mes amis changea littéralement de couleur, et leurs bouches et leurs yeux s’agrandirent comme jamais je ne les avait vu s’agrandir, ils devinrent blêmes.
-Oh mon dieu… Chuchota Sarah. Est ce que tout ça est réellement en train d’arriver ?
-Je… je crois bien… Dit Ben.
- Alors il n’y a pas de flash spécial, articulai-je, pas de fou, tout ça n’était qu’une horrible farce ! 
-Je me sens si soulagée ! Cria Naura.
-Je ne me sens absolument pas soulagé, dit Ben d’une voix très grave. Au contraire, c’est pire qu’avant. 
Je ressentais la même chose que lui.
-C’est vrai, di-je. Vous vous rendez compte de ce que ça veut dire ? Quelqu’un a mis ce DVD dans le lecteur, quelqu’un a cherché a nous faire peur toute la nuit, quelqu’un a sectionné la ligne d’urgence, et a écrit sur le mur de mon garage…
-Et ce quelqu’un ça ne peut être que l’un de nous quatre, compléta Ben.

À peine sorti d’un choc, cette nuit cauchemardesque me replongeai dans un autre. Qui avait fait ça ? Qui avait fait cette horrible farce ?
-C’est Naura qui a proposé qu’on regarde un film d’horreur, dit Sarah avec agressivité.
-Et c’est Ben qui a voulu qu’on ouvre les fenêtres ! Dit Naura.
- C’est Tom qui est passé le plus près du garage avant les autres ! Cria Ben.
-Je ne peut pas croire que vous me soupsonniez ! m’écriai-je .
Nous nous regardions salement, et un autre de ces silences pesants et oppressant s’installa.
Le silence perdura jusqu'à ce qu’un autre éclair vienne déchirer le ciel, suivant un terrible grondement. Il illumina la pièce pendant moins d’une seconde, mais ce fut suffisant pour observer l’expression que Naura affichait : elle souriait. 
-Naura…Haletai-je, pourquoi tu souris ?
-À ton avis frérot ?
-C’était toi ? Hurlai-je, paralysé par le choc et la terreur.
-Eh ouais !
-Mais…À aucun moment je ne t’ai vu échanger les DVD !
-Ca c’est parce que je t’ai distrait en te demandant ou était l’interrupteur, dit Ben, souriant lui aussi. Tu as vraiment cru que je ne l’avais pas vu ?
Une sorte de vertige s’empara de moi, mon estomac se tordit d’une horrible manière.
-Mais…que… ?
-J’espère que la peinture rouge part a la machine, dit Sarah d’une voie ennuyée. Je m’en suis mise partout en écrivant sur le mur de ton garage.
-C’est vous trois ? Vous avez tout mis en scène ? Tout ça, vous jouiez la comédie ! Bon sang mais vous êtes cinglés ! Vous êtes complètement fous tous les trois ! Naura comment t’as pu me faire ça ?
-C’est pour la Fender de Papa. C’est a moi qu'il aurait du la donner. Maintenant on est quittes.
-Moi c’est parce que je ne t’aime pas, dit Ben.
-Moi je voulais juste m’amuser, dit Sarah en haussant les épaules, en souriant et en plissant les yeux.
-Et on s’est bien éclatés ! Dit Ben. 
-Mais tu sais ce qui est marrant ? Me demanda Naura. C’est qu’on avait tout planifié, absolument tout, même l’orage avait été annoncé par la météo. Cet après midi je suis monté sur le toit et j’ai déglingué le paratonnerre, pour être sur qu’on se prenne du jus. Après j’ai cisaillé la ligne d’urgence. Je voulais vraiment que tu flippes. En fait il n’y avait qu’une seule chose qu’on ne pouvait pas prévoir, c’était si les parents allaient rentrer ou non. S’ils étaient rentrés a l’heure dite, rien ne serait arrivé. Mais tu vois, parfois dans la vie un petit détail peut tout faire basculer !
-Vous êtes complètement malades… Chuchotai-je.

Le vertige se fit plus violent, et je commençais a me sentir mal, très mal. Un profond dégoût envahit alors tout mon être, et la terreur se mélangea a la répulsion. 
Puis une seconde réalisation m’emplit d’une frayeur encore plus atroce que celle que m’avait causé de fait de savoir que ma sœur venait de me faire vivre la pire soirée de ma vie.

-Alors ce flash spécial, c’était quoi ? Demandai-je avec hargne.
-Je l’ai enregistré au journal télé, c’était mon idée au départ, dit Naura, visiblement très fière.
-Le JT de quand ?
-Je ne sais pas, il y a quelques jours !
-Donc, il y a quelques jours, au JT ils ont annoncés qu’un fou c’était échappé. Comment tu sais que ce n’est pas réellement arrivé ? Comment tu sais qu’il n’est pas entré dans notre maison pendant qu’on regardait le film ?
Ils étaient interloqués. Aucun des trois ne semblait avoir envisagé cet aspect la des choses. 
- Rappelle toi les deux bruits sourds qu’on a entendu tout a l’heure, ajoutai-je.
-Haha, t’est tombé dans le piège ! Dit Ben. C’est juste un enregistreur que j’avais sur moi. Quand on est remonté après avoir fermé les fenêtres, je l’ai déposé discrètement sur une des marches et Sarah, qui était la dernière, a lancé la lecture : Sur la cassette on avait enregistré 10 minutes de silence, puis deux coups sourds. C’est ça que tu as entendu !
-Euh, en fait je n’ai pas fait ça, dit lentement Sarah. J’ai pas appuyé sur play, c’était a Naura de le faire. 
-Quoi ? Pas du tout, moi je devais juste m’occuper du DVD ! Et puis les deux coups sourds sont survenus bien plus tard que 10 minutes après qu’on soit remontés.
-Mais alors qui a appuyé sur play ?

Terrifié, je vis le visage de Ben, Sarah et Naura se décomposer lentement. 
Soudain le bruit reprit. Il allait de plus en plus vite et était de plus en plus fort.

Soudain Sarah se mit à hurler et à pleurer. Naura essaya de la consoler mais elle était aussi terrifiée qu'elle. Quand à Ben, il était assis les grands yeux ouverts qui fixant droit devant lui, des gouttes de sueur roulaient sur ses joues. Il tremblait de tous ses membres.                                     

-Pfff... Vous êtes encore en train de me faire marcher ! Allez ce n'est plus drôle ! Maintenant je ne vous crois plus je suis tombée une fois dans le piège ça m'a bien suffit. -Llà... On est paas en train dde te ffaire marcher... dit Naura collée contre Sarah et Ben... -C'est vrai ? Vous êtes sérieux ? Vous euh il est ici ? Dans la maison ? Il nous surveille ? -Je crois que là c'est la fin ! Il faut se tirer d'ici on peut pas rester avec un psychopate ! Hurla Ben.

Je ralluma la bougie, on se leva et on marcha tout doucement vers la porte de ma chambre. Puis je l'ouvre le coeur battant à 100km/h. J'éclaira tout autour de moi avec la bougie. Rien. Il n'y a personne autour de nous. Aucun bruit. c'était trop stressant .Sarah était cramponée à ma soeur Naura et Ben lui tenait la main. Il était un peu en retrait derrière moi et je me sentait seul et le stress monta d'un coup. Je descendis les marches de l'escalier une à une, sans faire aucun bruit, les autres sur les talons. Puis, à la 6e marche, je m'arrêtta net. Je n'étais pas sur mais on aurait dit que quelqu'un mangeait... -C'est quoi ce bruit ? Je demande doucement. L'un d'entre vous est en train de manger ? -Ben non, me répondit Naura. Mais qu'est-ce que tu racontes il n'y a aucun bruit Tom. -Si, si je suis sûr que quelqu'un est en train de manger ! Soudain, je remarque que la lumière de la cuisine est allumée. Je fis un bond en arrière. Puis quelqu'un pris la fuite. -Et ça !? Vous ne l'avez pas entendu peut-être ? Il y a quequ'un d'autre dans la maison ! -Tu as raison dit Sarah je viens d'entendre le bruit on aurait dit que quelqu'un s'enfuyait de la cuisine en trombe... Il faut qu'on aille voir ça on a pas le choix !

On acquiesa tous d'un signe de tête.

Une femme voilée de noir se retourna vers nous nous emes pas le temps d'ouvrir la bouche que déja nous nagions dans une mare de sang.

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C'est l'histoire d'une jeune fille, qui comme tous les soirs rentrer chez elle tranquillement, mais sa maison était a 10 minutes de l'arret de bus, et ses parents n'avait pas de voiture (c'est d'ailleurs pour ca qu'elle prennait le bus) donc comme tous les soirs elle rentrer chez elle et un jour, elle vit quelqu'un qui construisait une cabane, a quelques pas de son arret de bus, quelques jours plus tard, la cabane fut fini, la jeune fille voulait vraiment savoir ce qui s'y trouvait, alors elle s'approcha doucement, mais quelqu'un arriva en courant et lui hurla : NONNNN N'Y VAS PAS!!!!! C'EST TROP RISQUé!!
Et le personne fit demi tour et parti, 
La jeune fille rentra donc chez elle en se demandant ce qu'il pouvait y avoir dedans, 
Le lendemain, elle regarda que personnes ne pouvait l'empecher d'y aller, et elle s'avanca, et la une autre personne arriva en courant, pour lui crier : NON N'Y VA PAS !!!

Elle fit donc demi tour et rentra chez elle, cela a duré une semaine, mais au bout d'une semaine, quelqu'un arriva en marchant cette fois ci, et lui dit calmement : Vas y rentre si tu veux, mais on t'aura prévenu...
La jeune fille rentra donc, le lendemain la jeune fut déclaré disparu, ses parents la cherchant partout, décide d'ouvrir la porte de la cabane pour savoir si quelqu'un l'avait vu, et il vit la tête de leur fille, par terre, avec écrit sur le mur, avec le sang de la jeune fille : On l'avait prévenu, elle a était trop curieuse...

 

TES FANTA OU TU LES PAS!

 

 

JE SUIS FANTA-STIQUE!

       

      ET TOI TES QUOI?

 

 

DONNE TA REPONCE EN COM'S

ça

Portugais : Amo-te .

Allemand : Ich Liebe Dich .

Anglais : I love you .

Chinois : Moi oiy neya .

ie

Espagnol : Te quiero .

 

Suédois : Jag a "Iskardig .

 

Tahitien :Ua there vau ia oe .

:

 

:

Néerlandais : Ik hou van.

 

attender ne parter pas

 

Une fille de 15 ans, donne la main à son fils; les gens la traite de p***, sans savoir qu'elle a été violée à 13 ans. Les gens traitent de gros un Monsieur sans savoir qu'il a une maladie qui lui cause de l'obésité. Les gens fuient un Monsieur avec le visage défiguré, sans savoir qu'il a risqué sa vie en étant pompier.
Ecris ceci sur ton qsj si tu es contre la discrimination et les stéréotypes.
Je parie que 95% d'entre vous ne le feront pas !

faites le!!! et si vous l'avez fait,envoiyer moi un message pour me le dire!!!

 

 

check ma poule si t'as le swag du lapin.

 

 



Age Genre Ville Pays
28 ans Femme ta mère sale tchoin France
Célébrité préférée Musique préférée Film préféré Plat préféré
green day nos étoiles contraires LES PATES
Couleur préférée Le job de mes rêves Emission préférée Loisir préféré
avocate skins game over


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