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FictionD’ambre.

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 RPG : http://rpg---world.skyrock.com/

 


Bonjour, je fait déjà une chroni.que [Fictive] sur facebook, et comme je suis beaucoup sur OMD, j'ai décider d'en faire une ici. Le nom de ma ficion sur facebook est Chon.ique  de Julia : Coeur partagé. 

La photo c'est deux jeunes qui s'embrassent.

Cette histoire n'est pas réelle.

Donc la fiction parlera d'une fille, qui est très fétarde. Elle a perdu son père car il est partit en mission millitaire sans prévenir personne. Elle prend de gros risques chaque jours, et elle n'a peur de rien. A cause de l'a perte de son père, Ambre  se laisse aller et elle risque sa vie a chaque seconde... Jusqu'au jours ou tout à basculer...

 

Chapitre 1 :

 

Je m'apelle Ambre. J'ai 16 ans et je suis très discipée.  Je suis chatain avec les yeux gris, très très clairs. Je fait, disons, 1m64/65... Je suis hyper active et j'ai un fort caractère. Je ne me laisse pas marcher sur les pieds.. J'ai beaucoup de fierté et jamais un garçon, pour l'instant, n'a réussi a la brisé. J'suis un peu fofolle dans ma tête quand j'explique les trucs au gens, genre j'fait des monologues incompréhensibles...

 

Nous sommes en vacances d'été, il fait beau et chaud.  Je n'ai pas présciser que j'avais un meilleur amis. Il s'apelle Thomas. Il est très gentil et compréhensif. On se prend la tête des fois, mais sa s'arrange toujours. Je n'ai que lui comme amis, et je m'en sors très bien car on peu vraiment compter dessus..  Je n'ai pas de petit copain, je dirait même qu'aucun garçon ne me correspond dans ce monde. Enfin bref.

 

Nous sommes le Samedi matin 10h30. Je me reveille, la tête dans le c*** c'est le cas de le dire. J'allume mon portable et je recois directement un appel de Thomas. 

 

« Thomas : Coucou la miss.  Bien ?

Moi : Tranquil et toi ?

Thomas : Aussi. Tu fait quelque chose se soir ?

Moi : Nan, rien, pourquoi ?

Thomas : Beh parce que j'voulais t'inviter en boite se soir, boire un verre, j'ai fait des fausses  cartes d'identitées, t'a 20 ans et moi 22. 

Moi : Yeeeeeeeeeah, bravo thomy-chou (surnom que je lui donne), t'a fait comment ?

Thomas : J'ai un pote qui m'les fait gratos.

Moi : Ah d'acc. Bon moi j'suis OK pour ce soir.

Thomas : Jvien te chercher a qu'elle heure ?

Moi : Bah 20h30. 

 

 Je souris même si il ne peux pas le voir.

 

Thomas : Ca marche, aller thuss.

Moi : Bisous.

 

Ma journée se passe normalement, j'ai rien fait en gros. Comme la plus part du temps quand je suis en vacanses.. Arrivé 19h, je me prépare (parce que j'met Plus d'une heure)

 

Je prend ma douche, mon moment préféré, la ou tes au chaud, à poil. Moi j'suis trop bien a poil, t'a pas les trucs qui te serrent, et tout et tout, moi si j'serais présidente, j'instaurerais l'autorisation de vivre a poil MDRRRRRRRR. Bref, non mais c'est trop good.

 

Je sors, je me sèche les cheveux, je me coiffe en même temps. Je met un débardeur marron, un jean slim moulant, une veste en jean, des van's léopard. (Mes van's c'est ma plus grande fiertée *w*)

 

Je me lisse les cheuveux (mes cheveux aussi c'est une fierté incondiscionnelle) Ils m'arrivent a la taille. Je me met un coup de crayon noir sur les paupières, du mascara et voilà. Il est déjà 20h 15. J'descend et comme ma mère est habituée et elle ne dit plus rien quand elle me vois sortir, je suis tranquille. 

 

J'mange un truc, avant de partir, j'prend mon sac et je sors. J'attend 2/3 minutes et il est là. Je monte dans la voiture (celle de son père parce que il a pas le permis, normal il a que 16 ans.) Son père dit plus rien, il est comme ma mère, habitué. On arrive a l'entrée de la boite de night, les videurs ni voient que du feu et ils nous laissent entrer. Là y'a la musique, le dj, les gens qui dansent, le bar. Bref une boite quoi. C'est pas la première fois que j'y vais..  On s'assois,  et il commande 2 vodkas.

 

Je sais, vous allez me dire « HEIN ELLE BOIT A SON AGE ? ELLE VA DANS DES BOITES DE NUIT ? "  Mais je suis une enfant rebelle, émancipée, je sais que je tourne mal... Mais je m'en fiche.. Depuis la mort de mon père, je fait n'importe quoi.. Et j'en suis consciente.. C'est sa le pire.

On danse, on boit, j'suis pétée. J'rencontre des gas, j'les embrasse.. Les soirées habituelles quoi.. 

 

Thomas me dit qu'il va se prendre un verre et qu'il va essayer de chauffer les meufs du bars. Quand à moi, je vais dehors demander une clope. Et oui, je fume aussi.

 

Je vois un troupeau de gars devant la boite, collés à un mur. Y'en a un qui fume, y'en a plusieur, mais vu que j'suis complétement a la ramasse, c'est lui que j'vois en premier.

« Moi : Eh ! Toi ! File moi une clope steuplé.

Mec : S'pas bien d'fumer a ton age.

 

Il me fait un clin d'oeil, mais j'menfou de son charabia, j'veux fumer moi. J'menfou de son débat de s'qui est bien ou pas.

 

Moi : Vasy saoule pas,  j'te demande juste une cigarette, pas d'être ma mère. 

Lui : La miss elle réclame en plus ! Tu m'roule une pelle et j'te la donne bb.

 

Tout ses potes s'tappent une barre. 


Moi : J'suis une *** pour fait ça ? Oh mec, j'te demande de m'passer une clope, y'en a au moin 5 dans ton paquet alors fait pas l'radin, tu m'la passe et on en parle plus. 

 

Il me la donne, et me passe le briquet.  J'allume et je tire une taffe. Je recrache la fumée.

 

Moi : Merci. Bon aller, bye.

Mec : Ta cru que t'allais partir comme sa, elle est ou ma galoche là ?

 

Il m'attrape  de force et me colle au mur. Il me roule une pelle dégeulasse, je ne peux pas me déffendre.. 

 

Ses potes sont autour.. Ils ne  font rien pour m'aider a part rigoler.. Je crame sont bras avec la cigarette. Mais je regrette aussitot mon geste...

 

Il me fou une baffe énorme. Je ne suis aps faible ainsi normalement. Je glisse le long du mur, et je m'assois. je commence a pleurer pendant que lui se tape le bras pour étouffer la douleur.

 

Lui : TA VU SE QUE TU M'A FAIT LA ? TES SERIEUSE ? TU TE PREND POUR UNE PRINCESSE OU QUOI ? PRINCESSE DES P*TES OUAIS ! TU VA REGRETTER SALO*** !

 

Il m'attrape par les cheveux et me tire dans une ruelle sombre et deserte. Il me frappe. Encore et encore.. Il m'attrape par le cou, mes pieds touchent a peine le sol.. Je me sent partir... Je .. Je.. M'endors...

Fin du chapitre.

chapitre 2 a venir !

 

Chapitre 2 :

 

Je me réveille dans une piece sombre et délabrée. Ce n'est pas chez moi. J'ai un mal de crâne atroce et des courbatures sur tout le corps. Mes vêtements son déchirés par endroits et j'ai des plaies un peu partout. Je me rappelle à peu près ce qu'il c'est passé hier mais je reconnaitrais entre 1000 celui qui m'a fait ça. Impossible de l'oublier. Je me rend compte maintenant que ses choses là peuvent arrivé a n'importe qui. Qu'on peut se mettre en danger avec quelque chose de bête, et sa se passe très vite. 

 

Je suis allongée par terre, sur le sol dur. J'entend des pas qui viennent vers moi. Je me cache dans un coin, recrequevillée dans mes  genoux.

Mon aggresseur aparaît. Celui qui me séquestre ici, dans se lieu morbide. Celui d'hier soir.. Je m'atend au pire.. Que va t'il me faire ?

 

Il m'attrape le bras et me tire violament. j'atteri sur le sol en béton froid et sâle. Je me cache les yeux de la lumière  forte, laquelle je ne suis plus habituée. 

 

Lui : Tu va comprendre que t'aurais pas du faire ça.

 

Il m'attrape par les cheuveux et je revois la scène d'hier dans ma mèmoire. Je suis impuissante face à lui. Je doit encaisser les coups..

 

 Il me bat. Fort, très fort. Il ne doit pas comprendre qu'il tient une fille entre ses mains. Il agit avec une telle violence qu'on dirait qu'il s'attaque à un ours. Il me gette part terre, et me rue de coups de pied. Mon cerveau commence a défailler, à se mettre en veille... J'èspere pas voir se monde pour la dernière fois..  Mes yeux se ferment, je ne sent plus les coups même si je sais qu'il s'acharne encore. C'est sa la mort ? Est ce que je suis en train de mourrir ? 

 

J'entend une voix crier, mais je ne peux bouger..  Je suis imobile les yeux fermés... La voix m'est inconnue, ce n'est pas celle de mon aggresseur..

 

Inconnu : PUTAIN TA FAIT QUOI  LA ! MEC C'EST UNE MEUF QUE T'A FRAPPER ! TU T'EN REND COMPTE ? MAIS PUTAIN Y'A QUOI DANS TA TETE ! TU VEUX AVOIR SA MORT SUR  LA CONSCIENCE TOUTE TA VIE ? ELLE A PAS MERITER SA ! J'ESPERE POUR TOI QU'ELLE SE REVEILLERA. 

 

J'entend la porte claquer. Je ne peux toujours pas bouger. Mais je repart dans ma démence.. Le trou noir. Un someil vide, sans rêve.. 

 

Je me réveille, mes membres sont engourdis mais je peux les bougés, enfin ! Mes yeux son collés, je ne sais pas combien de temps je suis restée comme sa, mais un bon bout de temps je présume..

 

J'essaye de me lever.. Après quelques tentatives j'y arrive. Je suis toujours dans cette pièce sinistre, mais ce qui change de la dernière fois, c'est que une fenêtre est ouverte, et il y a des fleurs dans un coin.  Le fenêtre est toute petite avec des barreau, je ne peux pas m'échapper par là.  

 

La porte s'ouvre. J'ai le refle.x*  de m'assoir la tête dans les genous, et a affronter ce qu'il va suivre.. Mais ce n'est pas le même homme. C'est un garcon très beau et très rassurant.

 

" Garçon : Ne t'inquiète pas, je ne vais pas te faire de mal..

Il s'accroupis et tend une main vers moi. 

 

Je me vois dans le reflet de ses lunettes, qui sont accrochées a son col. J'ai l'air d'un petit monstre, mes cheveux sont ébourifés, mes joue sont creuses, je suis sale, mes lèvres sont creuvassées.. Pas jolis a voir. 

 

Voyant que je ne répond pas a son appel, il reesaye.

Garcon : Tu sais, tu n'a rien à craindre de moi. J'ai fait se qu'il fallait pour l'autre enf*oiré. C'est fini, tu n'a plus a avoir peur..  Je suis venu ici chaque jours, pour voir comment tu allait dans l'espoir que tu te réveille, et quand j'ai entendu des pas, j'ai compris !

 

Je reconnais la voix de l'inconnu qui m'a defendu pendant que j'étai dans le coma.

 

Il vient vers moi et me prend dans ses bras.

Moi : Je.. Je..

Cela fait je ne sais combient de temps que je n'ai pas rononcer un mot.. Ma voix es enrouée et roque.

Je m'éclaircis la gorge.

Moi : Combient de je suis restée ici ?

Lui : 6 mois et 2 jours. 

 

Dans ma tête sa a fait BOUUUUUUUUUUUUM. Cela fait 6 mois que je suis restée ici !

Fin du chapitre.

 

Chapitre 3 :

 

Je suis restée la moitié d’une année ici.  J’ai bousillé la moitié d’une année ici a végéter  comme un légume.   

Garçon : Je sais, ça fait beaucoup de temps.. Moi c’est Alex, et toi ?

J’ai réfléchit pour retrouver mon prénom, c’est quand même dingue !

Moi : A.. Ambre.

Alex : C’est jolis. Tu as quel âge ?

Au bout de 2 secondes de réflexion, j’ai fini par m’en rappeler.

Moi : 16 ans et demi. Et toi ?

Alex : Moi j’ai 21 ans. Je te ramène chez toi.

Moi : D’accord.

 

Il m’aide à me relever. On sort de la maison. C’est  une maison normale,  mais plus un petit chalet de campagne. 

Moi : C’est chez toi ?

Alex : Oui, l’héritage que mon laissés mes Grands-parents.

 

Je vois que ce sujet l’affecte beaucoup. Il n’aime pas trop repenser à eux.  

 

Je monte derrière sa belle moto flambant neuve, et je mets le casque. J’ai dit moto, mais elle a plus l’air d’un monstre hyper puissant. Les roues sont épaisses, le pot d’échappement ronronne quand il accélère.  Nous partons à toute vitesse et je me cramponne a son blouson en cuir.

 

Après quelques  heures de route, nous sommes revenus devant chez moi. Mon petit pavillon tranquille dans un cartier ou il ne se passe pas grand-chose.

Je suis bien contente de pouvoir rentrer chez moi, revoir ma mère et ma maison.

Moi : Est-ce que je dois inv*enter une excuse ou bien avouer la vérité ?

Alex : Tu fais comme tu veux, mais je trouve que tu endurera beaucoup plus mal les choses quand les psy et tout le reste te poserons des tonnes de questions…

Je comprends ce qu’il veut dire. Et j’approuve.  Je ne veux rien dire a personne, je ne veux pas que ma mère me materne comme une petite fille. Et même, qu’elle s’inquiète ou qu’elle me crie dessus parce que je suis imprudente.

 

Je lui dit au revoir de la main, et je rentre chez moi. Je mets mes mains devant moi et je monte directement dans la salle de bain pour ne pas qu’elle voit mon état. Je ferme la porte et elle monte les escaliers :

 

Ma mère : AMBRE C’EST TOI ?

Moi : Ouais, vas-y m’geule pas dessus sérieux.  

Ma mère : MAIS T’ETAIT OU LA ! JE ME SUIS INQUIETEE !

Moi : Chez Thomas, y’a pas de quoi en faire un drame.

Ma mère : MAIS T’AURAIS PU ME PREVENIR !

Moi : Papa il nous a prévenus quand il a quitté la maison ? Nan, il est partit comme ça. Pour notre bien. Alors viens pas m’faire la morale.

Ma mère : Mélange pas tout. Ta loupé des cours.

Moi : J’y vais presque jamais, ça va pas changer.

Ma mère *se parlant a  elle-même en descendant les escaliers * : Infernale s’te gosse.

Je glisse le long de la paroi de la douche en pleurant en silence..

Mes mains sur mes yeux, j’ai le reste du mascara de la soirée qui est étendu sur tout mon visage..  Les yeux sombres et remplis  de haine envers celui qui m’a fait ça.  

 

Je me douche difficilement car j’ai très mal aux plaies ouvertes sur tout mon corps. J’espère juste,  mais vraiment, qu’il ne m’a pas voler m’a virginité..

 

Je sors et met une serviette autour de moi.  Je me regarde dans la glace, je ne vois qu’une fille sans défense, qui ne sais même pas se défendre quand il le faut.

 

Je regarde mon portable : 58 messages non lus.

La plus part son de ma mère, et 4  d’entre eux sont  de Thomas :

[22h38]Thomas  : Vas-y t’es où là, j’suis sorti 4 fois dehors, t’y est pas.

[23h04] Thomas : Tu t’fait pécho par un mec c’est ça ? Tu m’dégoutes, vraiment. Aller avec le premier venu pour ta première fois, c’est n’importe quoi.

 

[00H23] Thomas : Bon j’rentre chez moi, ton mec te ramènera. Tu saoule.

 

[14h54] Thomas : Ambre, j’suis désolé d’avoir pensé ça,  je sais pas où t’es, j’ai peur pour toi, quand tu liras se message, appelle moi je t’en supplie..

 

 

Thomas est-il jaloux ?

 

Je l’appelle pour le rassurer. 

 

Fin du chapitre.

Chapitre 4 : 

 «  Thomas : Allo ?

Moi : C’est mooooooooooooi  !

Thomas : AMBREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE !!!

 

Il se met a geuler comme un fou dans  le téléphone.

Thomas : Il s’est passé quoi ?

Moi : Si j’te l’dit, tu me promet de pas le répéter ?

Thomas : Je suis une tombe.

Moi : L’autre soir, j’ai été dehors demandé des clopes a un groupe de mecs… Il voulait que je le galoche et j’ai refusé, alors  il m’a attrapé de force et me l’a fait. Je ne pouvais pas me défendre mais j’ai réussi à lui cramé le bras avec ma cigarette. Il m’a trainée par les cheveux dans une ruelle pomée et il m’a ruée de coups pour enfin m’étouffer  en me prenant par le cou. Je me suis évanouie.  A mon réveil j’étais dans une espèce de cave, délabrée, sale et froide.  J’étais prisonnière..  Puis il est arrivé et ma rué de coups encore…

Je lui raconte tout mon périple sans oublier aucun détail, de ma séquestration à ma libération par Alex. Je lui dois beaucoup à celui-là.

Thomas : Oh putain. Putain je me suis fait du souci, et j’avais raison !  Mais faut l’tuer s’mec ! Le trucider avec un couteau après tu l’attache a ta voiture et tu pars a 200 a l’heure, après tu l’écartèle  en lui arrachant les pieds et les mains, tu le crucifie avec des clou dans les bras, et enfin après des jours comme ça, tu lui coupe la tête.

 

Bon, ok, il est un peu gore. Juste un peu hein..

 

Moi : Ouais, t’a raison.

Thomas : J’entends des bruits bizarres, tu pleures ?

Je ne réponds pas.

 Thomas : J’arrive tout de suite.

 

Je lâche le portable. Et je m’agrippe au lavabo la tête baissée, en larmes.  Des larmes fortes, que tu ne peux pas retenir à l’intérieur de toi.

 

Je retrouve m’a tête de folle échappée de l’asile. Je ne supporte plus de me voir dans cet état-là. De me voir aussi faible.

 

Je repars dans ma chambre, pas habillée, la serviette qui pendouille. Mais je m’en fou, c’est pas se qui m’apporte. Je m’assois dans un coin de ma chambre et je pleure. Les larmes dévalent sur mes joues comme des scies acérées.  Mon visage est tellement sensible à cause des bleus, des coups et tout…

 

J’entends Thomas arriver.   

 

« Thomas : AMBRE T’ES OU !

 

J’ai la voix enrouée, comme une fille normale qui pleure beaucoup…

Je suis en sanglot a moitié nue dans ma chambre quand il arrive… Il ne regarde même pas a des endroits déplacés, il vient juste me serrer dans ses bras pour me consoler.  Il me remet la serviette pour pas que je n’attrape froid. 

 

(Ce chapitre est court, mais je ne pouvais pas faire autrement) 

 

Fin du chapitre.

 

Chapitre 5 :

 

J’ai la tête sur ses genoux, les jambes pliée et il me caresse le dos. Je fixe un point pour essayer de me calmer.

 

 

« Thomas : Je regrette de ne pas avoir été là, de t’avoir laissée seule, de ne pas t’avoir protégé…  Tu sais pas à quel point ça me fait mal d’avoir  pu t’aider…

 

J’avale ma salive, et je prends la parole.

Moi : Tu savais pas, sinon tu l’aurait fait. Je me suis mise là-dedans toute seule. J’aurais pas dû sortir dehors la nuit, et encore moins parler a des mecs inconnus…

 

Thomas : C’est fini maintenant, n’y repense plus… »

 

Il me fait un bisou sur le front et pose sa tête sur la mienne. Je m’endors.

 

En me réveillant, j’aperçois que je suis toujours sur les genoux de Thomas, dans la même position.

Il n’a pas bougé pour ne pas me réveiller.  Le soleil se couche, j’ai dormis toute la journée.

 

Thomas chuchote :

«Thomas : T’a la bouille d’un bébé quand tu dors …

Il me sourit.

Moi : T’es chou de pas m’avoir réveillée ! »

Je lui fais un bisou sur la joue. Je me lève, je suis encore humide car je ne me suis pas changée depuis ma sortie de douche.

« Thomas : Tu sais, je peux rester dormir avec toi se soir..

Il bafouille :

Thomas : Heu, Non, pas avec toi ! Sur un matelas part terre... Tu vois..

Il a une moue gênée. C’est mignon.

 

Moi : Merci, ça m’aiderais vraiment, et puis ma mère est pas là ce soir, elle rencontre quelqu’un… »

 

Je le laisse dans ma chambre, pendant que je me mets en pyjama dans la salle de bain. Je reviens dans la chambre et je le vois sur mon lit à regarder le plafond. Je lui saute dessus, il me prend dans ses bras.

 

« Thomas : T’es toujours jolie, même en  pyj’ !

Il me regarde intensément… Ce qui me trouble et me gêne…

Moi : Arête de me fixer comme ça…

Je souris et tourne la tête pour ne pas croiser son regard. Il prend mon menton de ses mains et me tourne la tête.

Thomas : Je suis obligé de fixer une telle beauté. »

Il m’embrasse langoureusement… Un b.aiser qui s’étend longtemps…  Je ferme les yeux et me  laisse guider par lui…

« Thomas : Tu sais, depuis de nombreuses années, j’ai des sentiments pour toi que je refoulais sans arrêt car je me disais qu’entre nous deux sa serais pas possible…  Mais maintenant, je ne peux plus. Je te veux  Ambre, je t’ai toujours voulut… »

Il me ré embrasse,  et me couche sur mon lit. Il me caresse les cuisses…

 

Une bouffée de chaleur et des frissons s’emparent de moi.

« Moi : Thomas, je ne veux pas maintenant… Donnes moi du temps, s’il te plait…

Thomas : Je te donnerais tout le temps qu’il faudra. Je t’aime…

 

Mon téléphone sonne, je me lève et répond :

+336… : Ambre ! C’est moi, Alex.

Moi : Alex !

Alex : Tu vas bien depuis ce matin ?

Moi : J’ai beaucoup pleuré, à chaque fois que j’y repense, on dirait que mon cœur se noue…

Alex : Oui, je sais… Tu peux m’appeler quand tu veux pour que je t’aide à surmonter cette épreuve… Demain, si tu veux, on se voie au café « Paul » en ville à 14h, sa te vas ?

Moi : Pas de problème Alex. Je dois te laisser, à demain !

Alex : Bye.

Fin du chapitre.

Chapitre 6 :

 

On dit que l’amitié peut finir en amour, mais rarement l’amour en amitié. C’est pour ça que j’ai peur que sa ruine notre si belle amitié.. J’ai toujours vu en Thomas un meilleur ami génial. Mais je n’ai jamais imaginé pouvoir sortir avec lui, non jamais.

 

Il est 20h28, je descends le rejoindre dans la cuisine.

Il est en train de préparer à manger.

C’est le type parfait, il est pas mal, il fait la cuisine, il est compréhensif, il connait tout de moi, mais je ne suis pas attirée par lui. Je ne sais pas pourquoi mais ses phéromones ne m’attirent pas.

 

Pour ceux ou celles qui ne savent pas ce qu’est des phéromones, je vais essayer d’expliquer :

Les phéromones, c’est une sorte d’odeur que seul votre cerveau sent. Et tu es attiré par eux ou tu ne l’est pas. C’est comme ça.

 

Bref.

« Moi : Ça a l’air bon !

Thomas : Je l’ai fait pour toi.

 

Je lui souris et met la table. A la fin du repas, il vient à côté de moi :

Il ouvre une boite et il me tend un magnifique petit collier qui met à mon cou.

 

« Moi : Il est trop beau ! T’aurais pas dû…

Je ne veux pas lui être redevable de quoi que ce soit… Peut-être qu’il se dit : « Si je fais tout ça, elle est obligée de m’accepter, par politesse » Vous comprenez ? Je dois mettre les choses au clair : Il ne m’intéresse pas, j’aimais bien notre vie d’avant.

Thomas : Si, tu le mérite.

Moi : Thomas, je dois te dire quelque chose.  Tu ne m’attire pas, j’ai réfléchit, et je ne veux pas sortir avec toi… Je suis désolée, je veux que tu redeviennes mon meilleur ami d’avant…

Thomas *s’énervant* : Celui qui ne sert à rien pour toi ?! Celui que j’étais avant est mort Ambre. Avant j’étais effacé, j’étais là mais je ne servais a rien. Tu me fais mal en me disant ça. Très mal.

Moi : Je sais, et je suis désolée ! Mais je ne peux pas inven.ter des sentiments qui n’existent pas !

Il se lève et claque la porte.

Je me retrouve seule, encore une fois, dans le moment où j’ai le plus besoin d’être aidée…

 

J’appelle Alex :

Alex : Allô ?

Moi : C’est Ambre..

Il comprend à ma voix que je vais mal..

Alex : Qu’est ce qui  va pas ?

Moi : Je suis toute seule, j’en ai marre. Je ne savais pas que j’étais aussi sensible…

Je recommence à pleurer.

 

Alex : J’arrive.

 

Chapitre 7 :

J’essaye de cacher ma morosité en essuyant mes larmes et en essayant de mettre de l’ordre dans mes cheveux ébouriffés, sans succès.

 

Il sonne à la porte, je lui ouvre. Il a un gros sac d’affaires a la main, il a tout prévu.  Je souris pour paraître moins mal, mais rien n’y fait je suis une mauvaise actrice.

 

Alex : Il faut pas que tu repense à ça. Je sais, c’est difficile, même très, mais il faut que tu comble le vide par autre chose. Ce que tu veux, mais qui te préoccupes assez pour ne plus que tu penses a ces affreux mois. Sa peux être l’amitié, les vêtements, le sport, les études, la fête, et même l’amour…

 

Il allonge ce mot pour que je le comprenne bien, il sait que c’est la seule chose qui me fera réellement oublier.  

 

Je le fait entrer.

 

Moi : Tu veux quelque chose à boire ?

Lui : Aller, faisons-nous plaisir ! Tu prends un verre de vodka avec moi ?

Moi : Oui.

 

Ca nous changera les idées.

Je sers les deux verres, et je lui tends. Il boit une gorgée et se met à rigoler. Voyant la tête que je fais, il m’explique.

 

Lui : Ça fait longtemps que je n’ai pas discuté autour d’un verre avec une personne. Encore moins une fille. Je suis un peu seul dans ma vie, et je préfère ça, je n’irais pas jusqu’à dire que je suis agoraphobe, mais j’aime être seul ou avec une personne que j’apprécie.

 

Je hoche la tête et finis mon verre. Plus tard dans la soirée, au bout de 4/5 verres je commence à tourner de l’œil (à être vraiment bourrée et à presque tomber dans les pommes.)

Je m’endors sur le canapé.

Le lendemain vers 12h34, je me réveille.

Mais j’aperçois que je ne suis pas seule. Alex est à côté de moi, il dort. Il m’a mis une couverture dessus et comme il était aussi mal que moi hier soir, il s’est couché là où il a pu. Il est couché sur le ventre avec son bras autour de ma taille la tête tournée vers moi. Il a un visage fin et des mâchoires d’homme. Ses abdos et muscles se laissent apparaitre à travers son tee-shirt moulant. Il a des cheveux mi- longs châtains clair, et une bouche sensuelle. Je me rappelle qu’il a des yeux verts émeraude. Des yeux magnifiques, enfin tout est magnifique chez lui. 

J’essaye de me lever sans le réveiller. Je vais dans la douche et me lave. Je me coiffe, me prépare et tout le tralala. Pour une fois depuis mon enlèvement, je suis Jolie. Maquillée, coiffée.

 

Alex a beaucoup, mais alors beaucoup  de charme.  Pas seulement par son physique sans imperfection, mais par son caractère protecteur et mauvais garçon qui le rend irrésistible.

 

Je sors de la salle de bain et je le vois torse nu et qui fouille dans son sac d’affaires.

Alex : Désolé m’exposé comme ça, mais je cherche un tee-shirt…

Par ironie, je réponds :

Moi : Oh, t’inquiète pas, ça fait plus de bien à mes yeux que du mal. 

 

Il rit. Je m’assois sur le canapé et je le regarde s’habiller.

 

Après il s’assois a côté de moi et me fait un bisous sur la joue pour me dire bonjour.

Il reçoit un sms : HeY BBeiii ! CaVAa ? MWa Oueiii. J’PAssEuuw CeeE SouAAr ChEzZ TwaA PoUrR Te VoiiR Et PPoUr FaiREe T’SaiiS QwAa ! BisOus Bbeii <3

 

(Traduction : Hey bébé ! Ca va ? Moi oui.  J’passe ce soir chez toi pour te voir et pour faire t’sais quoi ! Bisous bébé <3)

 

Je ne ressens pas de la  jalousie, mais comme si on me trahissait. Même si Alex ne m’appartient pas, ça m’énerve. Enfin oui, je suis un peu jalouse, un tout petit peu… Voilà... C’est un secret… Chut…

 

Bref. Voyant que j’ai vu son texto, il veux se justifier.

Alex : Tu sais, les meufs comme ça, c’est juste pour le cul. Pour me défouler un peu. Mais y’a rien de sérieux avec elles tu vois.

 

Moi : Ouais.

Je tourne la tête pour lui faire comprendre que je m’en fiche et qu’il fait ce qu’il veut. Mais il a bien compris que ça m’affectais plus que je ne le laisse paraître.

Alex : J’vais plus dans ses histoires de couples, sa me casse les c*** plus qu’autre chose. Je m’amuse c’est tout. Et même si je voulais être en couple, y’a que des p.utes dans ce monde.

 

Je comprends tout à fait ce qu’il dit. Y’en a certaines, OUAAAAA jupe a ras la moule, décolleté jusqu’au nombril, talons de 13 cm, oh on n’est pas dans le 421 ici.

 

Alex : Ne prend pas sa pour toi bien sûr.

 

Il me souris.

 

Ses dents sont alignés et blanches

 

 

Il me fait un bisou sur le front et je ressens des frissons à ce contact-là. Comme si plein d’émotions ressortaient de mon cœur. Je suis heureuse quand je sens sa présence…

 

Fin du chapitre.

 

Chapitre 8 :

On passe l’après-midi à regarder des films d’horreur. Il est 19h.

 

Alex se lève et s’étire. 

Alex : Bon beh moi j’vais partir hein, pour t’sais quoi.. Et puis bh tu m’tel si ta besoin..

 

Moi : Ouais, va retrouver ta p*te qu’a l’sida et tous les microbes comme ça. Les MST (maladie s*xuellement transmissible) sa arrive a n’importe qui, et encore plus au gens qui vont butiner par tout !

 

Alex : Bon ta fini ton truc préventif ? J’peux y aller ?

Moi : Bh vas-y  qu’estu veut que j’te dise !

Il me fait un câlin mais je fais toujours la gueule, puis il part.

A ce moment-là, je comprends qu’il a une place importante dans mon cœur. 

 

Très très court mais j'pas trop d'inspiration la :d

 

 

Chapitre 9 :

 

J'décide de prendre des nouvelles de Thomas, je ne lui ai pas parler depuis hier, là où il a pété les plombs..

 

Je l'appelle :

 

Une fille à la voix défoncée me répond :

 

Fille *Tout en rigolant* : Hihi arrête, hihi me chatouille pas j'aime pas ça !

Salut, c'est qui ? 

 

Moi : Heu, est-ce que Thomas est là ?

 

J'entend un bruit de bisous et de caresses, je comprend donc.

 

Fille *Toujours avec la même voix* : Hihi Ouais mais il est occupé avec moi, hihi arrête j'te dit ! Bon bye.

 

Elle raccroche. Il est si bête ? Il noie sont chagrin en b*isant une fille qui traine sur tout les trottoirs ? Si faut c'est sa première fois et il la gache avec cette fille qui n'en vaux pas la peine.

 

Les deux garçons qui comptent le plus dans ma vie sont avec des trainées sans cerveaux en ce moment-là. 

 

Tout va mal. Ma mère sors tout les soirsavec des mecs inconnus et n'en à f*utre de moi, mon meilleur amis m'avoue ses sentiments puis claque la porte et va avec une autre parce que je n'ai pas répondu a ses avances, je ressent des sentiments innexpliquables pour un garçon que je connais à peine, juste au moment ou je commence à aller mieux. 

 

Je décide de sortir, ce qui n'est vraiment pas une bonne idée. 

 

Je me prépare. Je prend mon sac et sors. Arrivé au terrain-vague de ma ville, je tchek quelques gars de mon lycée qui me proposent de tirer une latte. J'accepte, puis je me fait mon propre joint après. Je vois un peu flou mais j'apperçois Thomas qui se prend une bierre dans la glacière à l'autre bout du terrain, je décide de lui parler.

 

Moi : Oh ! THOMAS !

 

Je geule tellement fort que tout le monde se retourne. Je fait un petit coucou de la main au gens pour leur dire que tout va bien.

 

Thomas : Putain arrête de gueuler, j'ai mal a la tête.

 

Moi : En plus de b*iser avec l'autre, t'es bourré !

 

Thomas : J'ai rien fait avec l'autre, j'ai bu, on a fumé, on c'est embrassé, quelques trucs un peu coquin, même beaucoup, mais on en est pas venu a l'acte même.

 

Moi : J'men fiche tu sais ? J'suis ton amie, j'veux pas qu tu tourne mal t'a compris ?

 

Thomas : D'où tu fait ta jalouse protectrice là ? T'a pas voulu de moi maintenant j'fait ma life. 

 

Il est borné et il ne comprendra pas même si je lui explique pendant 1H.

 

Je fait demi-tour et je revient avec les gars du début. Je veux qu'il redevienne comme avant avec moi, quitte a me mettre en danger.

 

Thomas est de l'autre côté et je suis en plein dans ça vue. Je vais jouer la-dessus. 

 

Je demande au gars de me filer un join que je fume.Je m'alonge sur la poutre en bois soutenue par deux bidons en guise de banc. Je regarde les étoiles et je demande un autre pétard, histoire que Thomas vois bien que je suis au plus mal. Je commence à halluciner, à rêver mais en restant éveiller. A rigoler toute seule, je vois que le sol bouge alors que je suis immobile, je vois ma vision qui se reflette par tout, je vois les choses en double et j'entend comme des échos... La démence qui fait tellement de bien, qui décompresse au maximum. Le nirvana. Thomas reste immobile, il veux voir jusqu'où je peux aller pour lui. Je ne baisse pas les  bras, je vais toujours plus loin. Je prend un autre bédo et je demande un vere de vodka, puis un deuxieme, et là je suis comme un déchet. Je suis plus sur la poutre, mais sur le sol boueux et puant. 

 

Je me réveille avec un mal de tête atroce, la bouche pateuse, et le ventre qui gargouille, bref une typique geule de bois. Je suis chez Thomas, dans sa chambre, dans son lit. Mais lui n'y est pas, et sa place n'est pas défaite. Quand nous étions proche, il dormais toujours avec moi, mais sa a changer depuis  qu'il m'a avouer ses sentiments. 

 

Je me lève avec la tête qui tourne, et je vais dans la cusine.

 

Le père de Thomas n'est pas là, lui aussi dors chez une femme differente tout les soirs et n'est jamais chez lui. 

 

Je le vois avec une fille sur le canapé et ils s'embrassent comme des porcs.

 

Moi *criant* : OH CEST BON LA ? VOUS AVEZ FINI DE VOUS ECHANGER VOS SALIVES ?

 

La meuf : C'est qui cette fille ? Baaaaah qu'elle est m*che  ! Sa mère doit lui ressembler, les chiens font pas des chats ! 

 

C'est de trop, tu touche a ma mère, tu va mordre la poussière. 

 

Je l'attrape par les cheveux et la colle au mur, je la prend pas le cou et l'étouffe de mes mains jusqu'a ce qu'elle tombe à terre. Elle est consciente mais térrorisée. Je la rue de coups de pied et ça me fait repenser à mon enlevement. Je perd mes moyens. La fille est en sang par terre, elle pleure, elle crie pour que Thomas l'aide, mais il ne fait rien. Il est immobile en la fixant. 

 

Je sors en claquant la porte. Thomas essaye de me rattrapé mais je suis partie.

 

Pour commètre l'innevitable...

 

Fin du chapitre.

 

Chapitre 10:

 

Dans mon village, il  a un pont. Un ancien pont avec des pièrres massives abimées par le temps.Il est très très haut et dessous ce e un lac ou les bateaux passent pour aller au port. Oui c’est un village en bord de mer.  Sur le pont il y a une route et deux trottoirs  de chaque côté. Les rampes sont colossales et épaisses. Je monte sur l’une d’elle. Il n’y a personne sur la route, il est très tôt et cette petite ville n’abrite pas grand monde. Je prends une bouffée d’air fait qui emplit mes narines, je ferme les yeux. Je fais le vide dans mon esprit, les sentiments, le stress, la douleur.. Tout est mis de côté.  Je lève mes bras de chaque côté de mon corps. Je m’apprête à bannir  la majeure cause de ma souffrance : ma vie.

 

J’entends soudain Alex crier.

Je tourne la tête et en une fraction de seconde il se jette sur moi et ***, trou noir.

 

Je me réveille à l’hôpital, branchée a des trucs qui gonflent et se dégonflent chaque seconde. Ma mère n’est pas là, même si je pensais qu’elle aurait pu au moins annuler son rdv pour venir voir sa fille à l’hôpital.

Alex entre dans la chambre.

 

« Alex : Enfin t’es réveillée.

Il esquisse un sourire en coin.

Alex : Et ne t’inquiète pas, tu n’as dormis que 1 jour !

Je passe ma main sur mon front. Une bande blanche la recouvre de toute sa circonférence. Et quand je touche, j’ai mal.

 

Alex : Ah ça, c’est pour cacher la petite blessure que tu as sur le front, que tu t’es faite quand tu es tombée..

Il ne voulait pas me faire peur, mais je savais à son regard que la blessure n’était pas petite.

 

Moi : Ecoute, je ne suis pas suicidaire… Je voulais juste arrêter de souffrir, de penser, d’avoir mal, simplement de vivre… Alex, je ne veux pas être enfermée dans un asile ! Je ne veux pas ! Ca ne ferais qu’empirer. C’est pas de ma faute, Alex.. Mais j’ai mal, et j’ai pris la solution la plus efficace et irréversible. C’était sur un coup de tête !

Je mêle les gestes à la parole, tout en versant un torrent de larmes, duquel je suis habitué.

Alex : Hey, hey… Calmes toi..

D’une voix douce  et apaisante, il vient s’assoir à côté de moi et me serrer contre lui. Je ferme les yeux et me tait.

Alex : Personne n’a rien vu à part moi et personne ne saura rien. Tu es juste tombée d’une échelle, compris ?

 

Rassurée par sa voix, je dis  « oui » de la tête.

 

Plusieurs jours passèrent et au bout du 5ème je peux sortir et rentrer chez moi, raccompagnée par Alex. Thomas est devant la porte, assis me scrutant.

 

Thomas : Pas besoin de me raconter vos mythos, je sais pourquoi tu as ce bandage sur la tête, et c’est en parti ma faute. Je m’excuse…

 

J’arrive doucement vers lui, et met une main sur son épaule.

Moi : Ne t’excuse pas, je n’ai pas fait preuve de tact quand j’ai décliné ta demande…

Thomas me prend dans ses bras, ça me manquait..

Thomas : Comme avant, on change rien, t’es d’accord ?

Je dis oui de la tête et souris. 

 

Fin du chapitre.

 

Chapitre 11 :

 

J’arrive devant la porte, un post-it y est collé. Dessus, il est écrit : « Ma chérie, je suis partie 15 jours au Maldives avec Robert. Il y a tout ce qu’il faut dans le frigo et la voisine passera de temps en temps voir si tout se passe bien. Je t’aime.

Maman »

 

Robert, c’est le type qui me vole ma mère depuis quelques temps. Celui qu’elle voie tous les soirs. On dirait qu’il m’a remplacé et qu’il compte plus que moi. C’est quand même dingue, d’aimer plus un type (qu’on connaît depuis genre 2 semaines) que sa propre fille.

 

Ma mère part comme ça, sans prévenir, sans me demander mon avis. Non mais des fois j’ai envie de la secouer et de lui dire : « EH OH ! J’EXISTE ! » Mais en même temps ça m’arrange bien qu’elle s’en foute.  Comme ça je peux faire mes trucs de jeune tranquille sans qu’elle soit sur mon dos H24.

 

J’entre  et je m’assois dans le grand canapé d’angle en cuir blanc qui est dans le salon. Et j’expire une gosse bouffée d’air.

 

Alex et Thomas son debout, l’un à côté de l’autre.

 

« Thomas *faisant un regard noir* : T’es qui toi en fait ? »

Alex : Un amis, pourquoi, j’te dérange ? Bah sa m’est égal.

Thomas : Oh nan mais tu t’prends pour qui mec ?

Alex : Tu fais l’bonhomme avec moi, j’te répond.

Thomas *se mettant face à lui * : Nan mais tu t’es cru chez mémé là mec. J’te prend j’te niqu.e moi.

Alex : T’as 13 ans et tu parles avec moi ? Retournes au bac à sable et quand t’auras perdu toute tes dents de lait tu m’appelle.

Alex est décontracté tandis que Thomas est tendu comme un arc.

Thomas : Quoi ? Qu’esta dit là ? J’ai 13 ans moi ? J’vais te montrer si j’ai 13 ans !

Il le pousse avec beaucoup de force, mais Alex ne bouge pas d’un millimètre.

Alex : Stop, tu vas te faire mal. J’suis désolé mais je frappe pas les enfants.

Thomas essaye un coup de poing, mais Alex attrape son poignet avec une vitesse hallucinante. Même moi je suis choquée.

Alex serre le poignet de Thomas si fort qu’on entend les craquements d’os.  

Thomas : PUTAIN LACHE MOI,  SALE BATARD !

Alex le lâche et Thomas se tourne vers moi.

Thomas : Lui il me regarde même pas quand on se croise, sinon j’vire direct.

Je pousse un soupir et vais dans la cuisine pour préparer des hamburgers maison.

 

Je les appelle pour qu’ils viennent manger. Je suis en bout de table et mes deux gardes du corps son face à face ne voulant même pas se regarder.

 

 

La cohabitation va être épic je pense.

Chapitre 12 :

 

Ca fais deux jours que je suis en coloc’ (chez moi) avec Alex et Thomas qui sont là pour me protéger. Deux jours où ils ne se regardent même pas et ne s’adressent pas la parole.

 

Ce soir, je décide d’aller en boîte pour décompresser, bien sûr accompagnée de mes deux gardes. Je me prépare et les vois tous les deux devant la porte toujours haineux l’un envers l’autre.             

Ils étaient vraiment beau.

 

Alex étais dans ce style là (très classe) : < href="http://www.google.fr/imgres?um=1&hl=fr&biw=1024&bih=499&tbm=isch&tbnid=SqeIN1cyMC-kjM:&imgrefurl=http://www.hellocot >http://www.google.fr/imgres?um=1&hl=fr&biw=1024&bih=499&tbm=isch&tbnid=SqeIN1cyMC-kjM:&imgrefurl=http://www.hellocot >

 

Et Thomas, plutôt dans ce style là (un peu racailou swagg) : < href="http://www.google.fr/imgres?um=1&hl=fr&biw=1024&bih=499&tbm=isch&tbnid=1Jr3qwuO4_zKQM:&imgrefurl=http://www.forumdesados.net/swagg-t74304-15.html&docid=WK24cagOVAUd1M&imgurl=http://photos.be.com/look/305220305/hippie-chic/tns1/boys-swag-0-1409765b16.jpg&w=365&h=500&ei=WGMGUuSbCMH40gWUroDgDA&zoom=1&iact=rc&dur=416&page=1&tbnh=132&tbnw=103&start=0&ndsp=15&ved=1t:429,r:1,s:0,i:83&tx=41&ty=37">http://www.google.fr/imgres?um=1&hl=fr&biw=1024&bih=499&tbm=isch&tbnid=1Jr3qwuO4_zKQM:&imgrefurl=http://www.forumdesados.net/swagg-t74304-15.html&docid=WK24cagOVAUd1M&imgurl=http://photos.be.com/look/305220305/hippie-chic/tns1/boys-swag-0-1409765b16.jpg&w=365&h=500&ei=WGMGUuSbCMH40gWUroDgDA&zoom=1&iact=rc&dur=416&page=1&tbnh=132&tbnw=103&start=0&ndsp=15&ved=1t:429,r:1,s:0,i:83&tx=41&ty=37

 

Je me surprend avoir des étoiles dans les yeux (façon de parler) quand je vois Alex. Ce sourire parfait aux dents si blanches, ces vêtements qui épousent son corps finement sculpté d’abdos et de pecs, ses cheveux en bataille qui lui donne un air de mauvais garçon, et la touche finale, un bonnet parfaitement positionné pour faire ressortir ses magnifiques cheveux de devant.

 

Je passe le bras aux deux, puis je me dirige vers la voiture là ou Thomas m’ouvre la porte avec un petit sourire mignon.

Thomas conduit, et je ne vois pas le temps passer que nous sommes déjà arrivés à l’entrée de la boite.  (On a changé depuis l’autre fois)

 

C’étais le même style de boite, façon toutes les boites se ressemblent.

 

J’entre et me pose sur un canapé en bordure de piste. Ils me rejoignent. Durant la soirée, je suis en train de danser seule, quand un type vient se coller à moi d’une façon gênante.  Je n’y prête pas attention jusqu’à ce qu’il glisse une main sur mes fesses. Je me retourne et lui met une claque énorme. Alex arrive, Thomas pendant ce temps, parle a une fille surement pour la pécho ce soir. Il perd pas le nord celui-là.  Alex prend le mec par le bras, et le jette dehors. Puis il le prend par le col et l’encastre dans le mur. Le type saigne, je dis à Alex d’arrêter, mais on dirais qu’il ne m’entend pas, son regard est rempli de haine. Quand soudain je crie : «  ALEX ! !!! » Il s’arrête, et me regarde. Son regard est plein d’excuses..

Puis d’un coup il s’en va en courant, j’essaye de le rattraper, mais je ne suis pas assez rapide et mes larmes me flouent la vue.  Je vois Thomas sortir de la boite avec deux filles a ses bras. Quans il m’aperçois, il vient le plus rapidement possible et me prend dans ses bras..

 

Thomas : « Qu’est ce qui s’est passé ? !

Moi : Y’a un mec qui m’a touché, et Alex est arrivé, il l’a frapper , comme si il ne pouvait plus s’arrêter, le type étais en sang, je pleurais je lui disais d’arrêter, j’ai crié son nom et il s’est retourné, m’a regarder puis il est parti en courant…

Thomas : ESPECE D’EN.CU.LER JE VAIS LE NI.QUER SE FILS DE P.UTE IL A OSER TE LAISSER SEULE, J’TE JURE JE VAIS L’AVOIR !

Moi : PU.TAIN THOMAS ARRETE DE VOULOIR TOUT LE TEMPS LE MAL POUR LUI, IL MA DEFFENDUE, JE SAIS PAS OU JE SERAIS A CETTE HEURE CI SI IL AVAIT PAS ETER LA OK ? TOI TETAIS OU ? TETAIS CHEZ TES P.UTES LA !

Il ne répond pas  et me met dans la voiture. Je regarde par la fenêtre maculée de buée et je me dis : « Où est tu… »

 

Fin du chapitre.

Chapitre 13.

 

« Je rêve de ton corps, je rêve de ta bouche, je te veux près de moi, je veux que tu me touches.. »

 

La semaine qui a suivi je l’ai passée dans ma chambre. Alex étais toujours disparut. Il s’en voulais d’avoir agi de la sorte. De ne pas m’avoir écouté. Il voulait  me défendre… Je veux juste qu’il revienne auprès de moi, qu’il soit proche, que je sente son odeur, sa main sur ma joue, ses yeux se plongeant dans les miens… Je l’ai cherché de nombreuses fois, mais pas très loin car j’évitais la présence de Thomas qui lui ne voulais pas me laisser seule dehors. Avec lui c’est… Compliqué. Je lui en veux d’avoir mal parlé d’Alex et de ne pas être là au bon moment. La seule chose que je veux là, maintenant, c’est savoir si Alex vas bien… J’ai peur, peur de ce qu’il pourrait lui arriver.

 

Ce matin (lundi) je décide d’aller au Lycée. J’imite la signature de ma mère (je le fais tout le temps) pour faire le mot d’absence de ses 6 derniers mois. Pour ne plus penser à l’absence d’Alex.

 

J’arrive, donne le mot, et vais dans ma classe. Quand j’entre, tout le monde pousse un cris de stupeur sous l’effet de ma présence. Je viens si rarement  ici ? Je me mets à côté du 1 er de la classe, et copie ce qu’il à marquer. Oui je cherche pas la difficulté, copier me vas bien. Pendant la pause de midi pleins de gens viennent me raconter ce qu’il c’est passer pendant mon absence. J’ai appris que :

-          Une fille de ma classe avait eu un enfant. Et franchement sa me dégoute, pardonnez-moi de dire ça mais pauvre gosse. Connaissant la fille elle va pas s’en occuper, elle lui a peut-être refiler le sida, on sait pas. On dirait que c’est une mode d’avoir un enfant à cet âge-là. Non, les enfants ne sont pas des objets.

-          Une fille (une bitch comme elle en peut plus, le style qui se tape tout ce qui bouge, qui se la pète, qui prend tout le monde de haut..) avait balancé une rumeur comme quoi j’avais une relation avec mon frère or je n’ai pas de frère, donc celle-là elle va se prendre une patate mémorable dans sa geule de voiture volée. 

Et puis des trucs pas intéressants. La présence d’Alex me manque…

 

Je me fait faire mes devoirs par l’intello a côté de moi contre parler de lui a une meuf de ma classe (il est en chien sur elle) chose que je ne fais pas donc le petit premier se fais ***uer jusqu’aux os.

 

La vie devenais monotone, je ne parlais toujours pas à Thomas même s’il faisait tout pour me faire plaisir…  Puis aujourd’hui (Dimanche, 12h34, 1 mois plus tard le jour où j’ai repris les cours.) J’avais la tête dans ma couette,  les cheveux emmêlés, je n’étais pas sortie de cette chambre depuis 1 semaine et demis au moins (oui j’avais re-arrêter les cours) je sens quelque chose, ou plutôt quelqu’un s’assoir sur mon lit. Je sors la tête de dessous de mon immense couette, et là le sourire se dresse immédiatement sur mon visage. Ses yeux verts,  sa bouche, ses mâchoires, ses cheveux apparaissent devant moi. Il est là juste là, enfin. Je saute dans ses bras, il m’avait tellement manqué. Son odeur empli mes narines de plaisir… Ses lèvres se posant sur mon front me rappellent nos moments de bonheur à deux. Ses mains protectrices sur ma joue me manquaient, tout me manquaient. Plus jamais je ne veux qu’il disparaisse, vivre sans lui c’est comme vivre sans oxygène, impossible. Alex.

 

Fin du chapitre.

 

Chapitre  14.

 

Je n'en crois pas mes yeux. Il est la. Juste devant moi, ses yeux vert émeraude se plongeant dans les miens. Je n'ai pas de mots pour dire comment il m'as manqué. Il reste un mystère pour moi, je ne connais presque rien de lui, mais j'ai totalement confiance en lui. Une confiance aveugle.

Alex me regarde, avec une intensité immense.. Je crois qu'il est heureux de me voir en bonne santé mis à part que son absence m'aie été très douloureuse. Maintenant qu'il est ici, avec moi, tout va bien. Sa ne peux pas être mieux.

Alex : Ambre, je suis là maitenant. J'te prendrais par la peau du cu.l s'il le faut mais tu tournera plus mal c'est moi qui te le dis.

Il se met a rire. Ce rire qui ne peux que te mettre le sourir au lèvres. Je suis tellement heureuse que je ne peux le contre dire. Mais il ne sais pas que mon caractère n'a pas changer. Je suis toujours aussi irresponsable et imprudente. Je n'arrêterais pas de vivre a 100 a l'heure parce qu'un mec m'a frappé dans une cave. Je suis une épave, comme j'ai dis au début de cette histoire, depuis que mon père est mort.

Je ne peux m'empecher de prendre Alex dans mes bras et de le serrer très fort. Sa présence réchauffe mon coeur qui a été très  froid depuis sont absence. Il me sert fort aussi, je ne veux plus le lacher..

 

Alex prend mes joues dans ses mains et me regarde dans les yeux.

 

Alex : Le premier batard de fils de chienne qui te touche je le crame. Tant que jserais en vie ma priorité c'est toi. N'aie plus jamais peur princesse..

Je souri et quelques larmes de joie roulent sur mes joues.

Il me reprend dans ses bras.. Ses bras musclés qui me font me sentir puissante quand il est près de moi.

Alex me prend la main, me fais me lever de mon lit et m'emmène devant le mirroir.

 

 Alex : Tu vois ça, c'est pas toi. C'est pas la Ambre que t'était avant.

 

Il me prend les cheveux, me les met sur le côté, essuie le reste de mascara qui a coulé, et le sourire me viens directement  aux lèvres.

Alex : Tu sais le sourir, c'est la  base. Et la je te trouve parfaite.

 

Il me retourne face a lui et me fais un bisou sur le front.

 

Moi : Merci pour tout, Alex, je ne pourrais pas sans toi..

Thomas entre dans la chambre.

 

Thomas: Sa y est t'as retrouver ton bouffon t'es contente? Maitenant j'existe plus ?

Alex : Calme toi ou jte jure tu va ramasser.

 

Moi : THOMAS J'AI JAMAIS DIS TALLAIS PLUS EXISTER ALORS COMMENCE PAS S'IL TE PLAIT JAI PAS L'HUMMEUR A VOS CREPAGE DE CHIGNON!

 

Thomas descend les escaliers sans dire un mot.

 

Moi : Sérieux fait pas attention il est juste jaloux..

Alex : J'avais compris.

Il passe sa main dans ses cheveux en bataille. My god j'adore quand il fait ça. *w*

Alex : J'tinvite se soir a la bien, au restaud.

Il me fait un petit clin d'oeil qui me fais fondre.

Moi : Oh trop bien, c'est un rendez vous ?

Je fais un grand sourire.

Alex : Non ahah justre pour se remttre de nos émotions et discuter un peu.

Il sourit.

Moi qui croyais avoir mon premier rendez-vous avec lui, pfou.

 

 

Depuis le temps, j'ai pas dis mais quand Alex étais absent j'ai fais une couleur, je suis brune maintenant. Si vous vous rapellez pas comment je suis : Brune/Yeux gris clair clair/ 1m64. Voilou.

 

Je m'habille, avec une petite robe moulante noir, longue derrière et courte devant, avec des chaussures à talon noires. Je me lisse les cheveux, me maquille et tout.

Je descend, et vois Thomas tirer la gue.ule dans le canapé a se gaver de chips en jouant a la ps4.

Je vais vers lui.

Moi : Thomy arrêtes de faire cette bouille, t'es plus mignon quand tu souris.

Je m'assois sur lui.

 

Thomas : Oh mais casse toi j'vois rien.

Je rigole et lui fais un bisous sur la joue.

 

Thomas : Eh mais t'es infernale, tu va payer sale gosse.

Il me fait des chatouilles, je déteste çaaaa !

 

Moi : ARRETEEEEEEE STOPPPPP JSUIS DECOIFEEEEEEEEEE!!!!!!!!

Je pleure de rire.

Il s'arrête et rigole a son tour.

Thomas : On dirais une folle avec tes cheveux.

Moi : Au moin tu tire plus cette gueule de détérré.

Jlui fais un clin d'oeil.

Je vais en vitesse dans la salle de bain et me recoiffe en deuspi. (vite)

Alex : Sa fais un certain style t'es ch'veux.

Moi : Chut !

Moi : Thomas, on reviens on va au restaud, j'tai fais des pates carbo vu que je suis gentille et j'savais tallais pas y arriver. Et demain promis on va au ciné ou un truc du genre.

Je lui fais un gros bisou.

 

C'est parti pour le rendez vous amical. Pfouuu.

 

FIN DU CHAPITRE.

 


Chapitre 15.

 

Je  monte derrière sa moto. Ce n’est pas très  glamour comme position m’enfin. Arrivés au restaurant, le serveur nous donne une très belle table vue mer.  Le repas étais délicieux et je me demande bien comment Alex a pu payer tout ça. « Ne t’en fais pas » m’as t’il dit.

J’enlève mes chaussures et nous décidâmes de  marcher un peu sur la plage. Les pieds foulant le sable, on regarde le soleil se coucher sur une mer calme.  Quand soudain, Alex s’approche de l’eau et sans que  je m’y attende, il m’éclabousse.

Moi : «  MAIS TES SERIEUX LAAAA ! JVAIS ETRE TREMPEE POISSEUSE JAURAIS FROID JE VAIS ATTRAPER LA CREVE JE VAIS MOURIR TU VA PLEURER TU VA PARTIR EN DEPRESSION FAUDRA ME PAYER UNE TOMBE ET TU VA LA PAYER CHER PARCE QUE JVEUX UNE BELLE TOMBE  ET TU POURRAS PAS TE PAYER LES MEDICAMENTS DE TA DEPRESSION DONC TU VA AUSSI MOURIR ET... »

Il  ne me laisse pas finir qu’il me fait un croche pâte et je me ramasse dans le sable.

Lui : Comme ça tu seras morte, sale et tu m’fera plus chier avec t’es monologues.

Il sourit fier et iro*** de ce qu’il vient de faire et de dire.

Moi : «  Non mais la tu sais pas ce qu’il va t’arriver dans 3 secondes.

Lui : Putain j’tremble et tout eh jvais faire une syncope. Ne me fais rien pitié.

Je ramasse une énorme boule de sable et lui lance dessus. Elle arrive pile au milieu de sa figure.

Un rire muet m’échappe.

Moi : ahahahah,  j’aurais dû faire du tir à l’arc, ou une merde du genre !

Je fini à peine ma phrase que je vois une masse me tomber dessus. Alex et moi tombons à terre, roulons dans le sable comme deux gamins qui découvrent la mer en se débattant  tel frère et sœur. Je n’ai plus de force, alors je reste coucher immobile cherchant à retrouver mon souffle. Alex est couché à côté, regardant le ciel, et se tourne vers moi. Il se met à me regarder intensément. C’est affreux comme ses yeux verts et ténébreux me troublent.

 

Moi : Tu veux du pain ?

Lui : T’es radine. J’pensais tu pouvais m’donner plus.

Il se retourne en essayant de prendre un air véner.

Je  me rapproche de lui.

Moi : Roh, tu sais que je suis généreuse, j’te donnerais la baguette entière.

Je souris, fier de moi.

Lui : T’es une sale chieuse toi ?

Il  rigole.

Moi : Et ta pas tout vu.

Je souri. Le soleil c’était maintenant couché et les réverbères c’étaient allumés. Le ciel était nuageux, le tonnerre ne tarde pas à gronder.

Alex : Il va pleuvoir.

Moi : Faut rentrer !

Lui : T’as déjà essayé le bain de minuit ?

Moi : Tu rigoles la ?

Lui : du tout.

Il enlève sa veste et son tee-shirt, et plonge dans l’eau glacée. Son corps de rêve me laisse sans voix.

Il se met à pleuvoir.

Lui : Aller viens, il fait plus chaud dans l’eau !

Moi : Mais t’as cru j’allais me désapé comme ça. J’suis pas comme toutes celles que tu ramènes dans ton lit tous les soirs !  D’ailleurs t’as du t’en taper un paquet quand t’as disparu, c’était le pied, vas y raconte !

Voyant que j’étais énervée, il sort de l’eau, et me prend dans ses bras. Il est trempé, mais à ce moment je m’en fiche, sa peau glacée me réchauffe quand même… 

Lui : Au lieu de dire des conn*ries met mon tee-shirt et viens te baigner.

Je m’exécute, gardant mes sous-vêtements sous son tee-shirt qui me fait une robe.

Je mets la pointe de mes pieds dans l’eau.

Moi : Ahah mais tu m’as pris pour qui là, elle est trop froide.

Lui : Aller fait pas ta chochotte.

La pluie se fait plus forte et l’eau se réchauffe  bizarrement.

Je rentre dans l’eau et le rejoint.

Lui : Bah tu vois quand tu veux.

Moi : gnagnagna. 

Un blanc s’installe, sa manie de me regarder revient.

Moi : T’as finit de me regarder ? Tu fais une thèse sur moi après ou c’est comment ?

Lui : Ta beauté m’éblouit c’est pour ça.

Il rigole.

Moi : En mode loveur.

Lui : T’as vu.

L’eau étais chaude, c’était agréable…

Le tee-shirt d’Alex étais blanc, et tout le monde sais que les trucs blancs mouillés sa sert strictement à rien. Il ne manque pas de me le faire remarquer.

Lui : J’ai vu ton soutif AHAHAHAHAH !

Il faisait exprès de se moquer de moi.

Moi : Ca va c’est pas le plus ***, heureusement.

En effet, il était rouge, en dentelle, mais pas provocant. Je ne m’appelle pas Mad’moiselle Bitch.

Lui : Ouais j’suis sur ta des brassières roses de gamines.

Il se met à  rire.

Moi : Et toi pourquoi t’as un Caleçon y’a rien a mettre dedans.

Je me mets à rire à mon tour.

Lui : J’te la mets sur ta tête ta croissance s’arrête net.

Moi : Modeste a s’que j’vois !

Après avoir parlé encore un peu, on sort. Il pleut toujours, je suis trempée jusqu’aux os, le mascara qui a coulé, du n’importe quoi. Mais la seule chose qui me réjouit c’est d’être dans les bras d’Alex pour aller à sa moto. Nous rentrons il est 2h30 du matin. Alex me fais un bisou sur le front et me laisse rentrer dans ma chambre. Je me sèche et me déshabille pour enfin rentrer dans mon lit.  Alex avait inventé un code avant de dormir, comme sa chambre étais à côté de la mienne séparée par un mur dont mon lit est collé, il tape 3 fois ce mur pour me rassuré et me dire qu’il est bien là.

 

Le soir, ses 3 coups au mur me sentaient heureuse, je me sentais protégé. Et de plus, je savais qu’il était là… Car Alex me procure un sentiment de bien-être. Que je ne sais expliquer…

Les 3 coups se font entendre, je peux dormir paisiblement… Et qui sais,  peut être rêver d’Alex !

 

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