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fiction-overdose
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Bienvenue, 

J'éspère que vous appréciera ma petite fiction, qui n'est pas parfaite, je m'en excuse d'avance, il doit y avoir pas mal de fautes d'orthographe, mais j'essaye de faire de mon mieux.

F-overdose-perso: C'est une dollz ou je metterai les perssonages et ou est présente la bannière.

Pour être abonées il faut avoir mis la banière (pas facultatif) et me prévenir bien sure, pour que je puisse vous prévenir à mon tour quand un nouveau chapitre apparaitera. Voilà (:

NEW:

  • 08/08:CHAPITRE2: Posté.
  • 08/08:F-overdose-perso: Update.
  • 08/08: CHAPITRE3; Posté.
  • 15/O2 CHAPITRE4; Posté.

 

 

Bonne lecture, et un petit commentaire sera le bienvenue, qu'il soit positif ou négatif du moment qu'il est constructif.

 

5/09. Wah j'ai relu un peu ma fiction, et honnetement j'en ai un peu honte. Je m'excuse de ce début un peu mauvais. Je compte m'y remettre. J'ai déjà écrit deux chapitres. Et je compte ouvrir une chaine Youtube et vous postez une bande annonce un peu.


 

Chapitre 1• 

Slup slup... Ces mots résonnèrent dans ma tête. J'ouvrit mes yeux avec le plus grand mal et cligna des yeux plusieurs fois. Comme pour m'assurer que je ne rêvais pas. Parce que pourtant ça avait vraiment l'air d'un rêve, du moins, j'aurais préférée... Je regarda mes poignées bleutées par la ceinture dont ils était prisoniaients. Je me tordis le cou pour regarder aux alentours je trouva juste une porte, la salle était petite et très mal élclairée. Ma tête était en ébulition, j'avais l'impression que ce n'était plus qu'une grenade alors comme pour me rassurer je me répéta des choses évidentes. "Je m'apelle Spencer... J'ai 16 ans... Je suis fille uni.que... J'habite à Seattle... Je suis née le 3 octobre..." Quand la porte s'ouvra, ce qui me ramena tout de suite à la réalité, je tremblais de tout mon être. L'individu se plaça devant moi et s'agenouilla. Malgrès la mauvaise luminosité sa m'avait tout l'air d'être un homme, de la quarantaine environ... Je senta un poids en moins... Il m'avait détachée. Alors, partageais entre l'anxiété et la raison je me résolu à articulée quelques mots avec mon plus grand mal... 

"-Qu'est ce qu'il c'est passé?"

J'avais bien d'autre question mais elle resta coincée dans ma gorge, j'était incapable de   .uler une phrase. Il renifla et me regarda droit dans les yeux.

"-Je suis désolé."

Il se releva et s'approcha de la porte je le suivis avec peine, nous marchâmes jusqu'à la porte, tout au long du chemin je trouva quelques petites taches de sang par ci par la, ce qui me rassura encore moins, mes jambes me parut lourdes, chaque foulée pour moi était devenue un véritable calvaire. Alors nous nous trouvâmes devant sa voiture. Il s'empressa d'entrée dedans et me regarda d'un air impatient.

"-Je...Je peut pas rentrée dedans... je ne vous connais pas.

-Je vous expliquera tout là-bas.. Entre."

Alors d'une force inexpliquable, peut être les réponses aux question qui m'attendait, je rentra dans la voiture. Après au moins dix minutes de route, nous nous trouvâmes devant un immeuble. Puis dans un appartement qui réspiré la convivialité comparait à cette petite piéce ou j'avait été séquestrée. Dedans se trouvait trois personne, une femme d'une trentaine d'année qui respirais la classe et le respect, un blond d'une vingtaine d'année a peine et un homme semblable à celui qui m'avait amenée ici, sauf que lui était brun foncé. La femme m'invita à m'asseoir ce que je m'empressa de faire. Le cuir froid du fauteuil me réconforta ne serait ce qu'un peu. Alors l'homme de la quarentaine engagea la conversation. 

" l'homme`: Bon d'abbord je dois te dire que t'es parents sont morts."

C'est mots avaient le sens d'un coup de couteau en moi. Je sentis les larmes coulées par centaine. D'habitude je n'aimait pas que les gens me voient pleurée, d'autant plus des inconus, mais là plus rien n'avait d'importance pour moi.

"La femme: Ah bah bravo John! Tu l'a bien trouvée la meilleure façon de faire pleurée une gamine de 16 ans!

John: Désolée je ne voulais pas tournée autour du pot, mais c'est vrai que j'ai manquée de tact...

La femme: Bon je poursuit. Désolée ma belle. Bon ce que je vait te dire là va surement te bouleversée mais ce que t'avait racontées tes parents sur leurs vie, n'était autre qu'un tissus de mensonges. En réalité ils était membres du KGB le service secret Russe. Et c'est pour sa qu'ils ont étaits envoyées aux Etats-Unis. Pour enquêtées, sur leurs plus grand enemie de leurs nation. Bien entendu ce ne sont pas les seules envoyées. Il doit y en avoir 50 000, je ne sais pas trop enfaites, mais ce qui est sure c'est qu'il y en a beaucoup. Mais eux ont échouées à leurs mission. Ils se sont fait décourverts et bam. Alors, nous aussi fesont parties du KGB. Et nous affectionont beaucoup tes parents. Ils étaient extraordinaire, et c'est pour sa que nous avont tous faits pour les aidées.. Mais... Il était trop tard. Alors nous avont aux moins réussis à te libérée, et... Je pense que tu en a fini avec cette histoire... Tu pourra continuer à vivre à Seattle mais bien evidement rien ne sera plus pareil."

J'était annéantie. Aucun sentiment était assez fort pour décrire ce que je ressentait. Les larmes s'était arrêtées. Elles étaient bloquées. Alors l'anxiétée s'empara de mon corps. Je piqua une crise et me leva d'un bond. En avais-je vraiment fini avec cette histoire? Je donna un coup de poing dans le  premier objet qu'il venait. Une grande lampe. Certes j'avais mal mais je ne ressenties plus la douleur. Allait-je me retrouver à la rue? Parce que bien sure je ne pouvais pas retournée chez moi comme si rien c'était passée. Je cria. Oh mon dieu, j'était ridicule. Je repris mes esprits et m'écroula par terre. la femme s'accroupit à mes cotés en me carressant le dos.

"-Ne t'inquiète pas... Ça va allée.

-Oui bien sure, je viens d'apprendre que mes parents m'on mentie pendant seize ans, qu'ils sont mort, que je suis perdue, orpheline, sans nul part ou allée. A part ça, ça va bien se passée...

-... Je... je... Je suis désolée. Tu n'es pas perdue, nous seront là pour toi, Maxon va t'accueillir chez lui, certes c'est petit mais sa ira il y assez de place pour deux. Et puis au moins tu es toujours là.

-C'est qui Maxon? 

-C'est le petit blond là-bas.

-Oui, on va allez cherché quelques affaires chez toi, et après je te monterai mon appart."

Son visage avait quelque chose de familier, et puis il fallait l'avoué, il était monstrueusement beau. Oh mais à quoi je pense.  Mes parents sont morts et moi je suis à moitiée entrain de fantasmée sur un gars. Oh je m'éxaspère, souvent les gens disent que les morts vous regarde de la-haut, franchement à ce moment là, j'éspère pas.


 

Chapitre 2• 

 L’idée de revenir chez moi ne me réjouissais pas vraiment… Chaque photo de famille que j’allais croisée aurai l’effet pour moi d’un coup de poing dans le ventre. Mais c’était une étape obligatoire. Je m’arrêta sur le porche un moment, observa la maison. A cause du budget serré de mes parents, ils la louaient. Je trouva quelques cartons vers la poubelle et me décida à entrer. Une bouffée de nostalgie m’envahit rien qu’en sentant l’odeur familière de ma maison. Je balança les quelques photos de famille dans le carton. J’avais une envie de les jetée de toutes mes forces par terre… Mais je savais que j’aurais regretter ce geste plus tard. J’entra dans la chambre de mes parents, balaya la pièce du regard. Tout au long, j’avais essayée de retenir mes larmes. Mais là, elles coulaient toutes seules. Je les essuya d’un revers de la manche. Je me dirigea vers l’armoire et arracha tous les vêtements des ceintures pour les mettre dans un carton. Je mis aussi le réveil et une photo qui se trouvait sur la table de nuit de mon père. Je pris une valise et alla dans ma chambre. J’avais envie de rien prendre, laissée cette vie derrière moi… Mais je pris quand même mon porte monnaie où se trouvait tout mon argent de poche, mon sac de cours, quelques vêtements et mon ordinateur. J’aurais bien pris mon téléphone mais il était introuvable, j’en conclu qu'ils me l’avaient pris quand je fût séquestré. Mais je ne me rappellais véritablement de rien… Je passai à la salle de bain prenant des produits à la va vite. Et puis je revint à la cuisine américaine où Maxon m’avait attendue. Je me  dirigea vite fait vers la cuisine et pris du crunch, mikado, milka, en gros tout ce qui est bon pour la santé, question de survie. Je passa vite fait un coup de fil à la propriétaire,avec le fixe de la maison, lui expliquant que nous ne loueront plus la maison. Elle fut mine d’être surprise mais dans sa voix tout laissé entendre que, d’une part, elle s’en foutait royalement. Alors je passa la porte une dernière fois, retenant une fois de plus mes larmes mais en vint. Maxon mit les deux cartons et ma valise dans le coffre. Je le remercia, et m’assis devant à ses côtés. Le chemin pour aller jusqu’à son appartement fût silencieux. Mais pas un silence oppressent. Un silence agréable. Car, de toute façon, je n’avais vraiment pas envie de parler. Quand sa voiture s’arrêta, ce qui me retira immédiatement de mes pensées. D’extérieur l’immeuble n’était pas trop mal. Quand nous nous trouvâmes devant la porte de son appart, je craignais le pire… Le bruit de ses portes-clés entrechoqués, résonait au fil qu’il tourna la clé, puis la porte s’ouvris. Ca donnée tout de suite sur une espèce de salon/cuisine assez grand. Puis a droite deux autres porte. Il me fit la visite rapidement, vu que ce n’était pas très grand mais sa suffisé. Il déplia le canapé qui était enfaites un clic clac, j’en conclus que c’était là que j’allais dormir pendant les deux prochaines années. En tant normal je me serait plainte, mais là les conditions ne me l’accordait pas. Déjà qu’il m’hébergeait, c’était énorme. Il posa mes deux cartons dans un coin, je posa ma valise et commença à ranger mes affaires. 

« -Bon, et sinon tu t’appelle comment?

-Spencer. Et toi c’est Maxon je présume. 

-Ouais…

-Merci de m’héberger enfaites.

-C’est rien. Je suis désolée enfaites pour tes parents. Et…Faut que je te laisse désolée, on se revoie ce soir. »

Après cela, il s’empressa de sortir et me souris comme pour dire « salut. ». Après avoir finie de ranger toutes mes affaires je m’affala sur le lit. Je n’avait aucune idée de quelle heure il était. J'alluma la télévision, elle indiqua cinq heure et demie. Par mauvaise curiosité, je fouina un peu l’appartement, de ce qu’il y avais dans le frigo à sa chambre. Sa chambre était très bien rangée ce qui m’étonnais. Il n’y avais rien de personnel, c’était comme, une chambre d’hôtel. Etrange. Je m’arrêta là et retourna à mon salon. J’avais bien envie de regarder un peu les horizons de l’immeuble, mais je n’avais pas de clés pour après regagnée l’appartement. Vue comme sa, j’était enfermée dans un appartement d’un garçon dont je ne connaissais que le prénom. Prise de pani.que je m’enferma dans la salle de bain. Deux ou trois heures c’était écoulée quand j’entendis la porte d’entrée s’ouvrir. 

« -Spencer? Je suis rentré! »

Je ne répondis pas et resta assise dans le coin de la salle de bain. J’entendis vaguement un ''T’es ou?'' Puis je vis la poignée de la porte bougée. 

« Spencer ouvre moi! »

Je perçu dans sa voie de l’inquiétude alors par peur qu’il défonce la porte, ce qu’il s’apprêtait de faire quand j’ouvrit la porte. Il échappa un petit soupir.

« Oh putain j’ai cru que t’avais fait une co.nne.rie. Ca va? Qu’est ce que tu fessait à l’intérieure? 

-Je…J’ai paniquée… Désolée…. J’ai… J’ai comme eu l’impression…. D’avoir été séquestrée une deuxième fois… Désolée…

-Non t’excuse pas, c’est moi, je suis con j’aurais pas du te laisser toute seule après ce qui c’est passée aujourd’hui. »

Puis il me fit un sourire compatissant. Je déteste qu’on est de la peine pour moi, alors je me reprit et me releva. 

« -Bon. Pour te faire pardonner sa te dit que tu me montre un peu les environs?

-Ok pas de problème. »

 


 

chapitre 3:

J’avança vers la porte de sortie. Il me dévisagea. Enérvée je lui dit:

« -Qu’est ce qu’il y a?!

-Hm, tu compte sortir comme ça? »

Oh mais oui, obnubilée par cette idée de sortir, je n’avais même pas fait attention à moi. J’étais sale, et les marques violettes que j’avais au poignet étaient bien visibles et franchement j’avais tous sauf envie qu’on les remarque. Et puis ne parlons pas de ma tenue. J’étais en pyjama. Mais pas robe de chambre hello kitty tous sa, heureusement. C’était un short gris et un tee-shirt ample noir. Mais quand même quoi. Gênée je baissa la tête et avança jusqu’à la salle de bain le plus vite possible. Après une bonne douche je m’enroula d’une serviette, et sachant qu’il était toujours dans le salon, je n’osa pas sortir. 

« -Hum… Est-ce que tu peut partir, s’il te plait.

-Ok. »

Puis je chercha dans ma valise, quelque vêtement adéquat pour un début de mois septembre, donc il fessait assez chaud. Alors j’opta pour un short noir, un pull noir The Kooples et des creepers. Je me maquilla légèrement (eyes liner+mascara) Et je me démêla les cheveux d’un coup de main, ce qui n’améliora pas grand chose mais j’étais quand même présentable. 

« -C’est bon on peut y aller! »

Il sortit de sa chambre et me suivis. Arrivée en bas, une petite braise froide éffleura ma peau, ça peut paraître idiot mais je me sentais revivre. Le quartier étais méconnaissable à quand j’étais arrivée au début d’après midi, c’était beaucoup mieux de nuit. Mon ventre gargouilla, je n’avais pas manger de la journée. Il ria. Oh mon dieu, je n’avais jamais vue son sourire, enfin, son vrai sourire. 

« -Y a pas vraiment de bon restaurant pas là, mais on peut allée manger un p’tit truc dans un club. » 

J’acquiesça et le suivis. Nous étions devant une sorte de ‘’club hyper sélect’’ comme me décrierais ma meilleure amie, Carla. Ah elle me manquais elle. Je ne l’avais pas vue depuis au moins deux semaines… Nous rentrâmes et allâmes directement au bar. Je m’assis et le bar-man vint vers moi.

Il étais du genre punk, il se démarquait vraiment du lot. Je me demandais ce qu’il foutais là, derrière le comptoir, je l’aurais plus vue entrain de se souler…

« -Mademoiselle? 

-Ah. Hm,oui.

-Je peut vous servir? 

-Vous avez quelque chose à manger? 

-Eh bien, on sert plutôt des boissons. Mais. Je peut peut-être vous trouver quelque chose. »

Puis je regarda derrière moi pour vérifier si Maxon étais toujours là. Mais je le vit plus loin, mêlait à un autre groupe. Super. Déjà que j’étais paumée alors là… 

« -Je peut vous faire une pastabox si vous voulais. 

-Ah oui, merci! »

Après deux petites minutes il me servie la fameuse pastabox. J’aurais pu l’engloutir en moins de deux minutes comme une morfale. Mais le serveur me fixai toujours. D’habitude j’aurais lâcher un ‘’T’a un problème?!’’ mais il me laissée perp.le.xe. Oh non des spaghettis… Impossible de manger ça sans en mettre partout. Donc je pris au moins un quart d’heure à les manger. Et il n’avait pas décrocher son regard. Euh, sa devenais flippant…

« -Bon je sais pas ce qui y a de si intéressant, mais est ce que vous pouvez tourner le regard?! c’est gênant…

-Alors comme sa je vous intimide? »

Il avait une voix rauque et puissante, je sentis des frissons. Mais je ne voulais pas rentrer dans son petit jeux. 

« -Tss, d’accord. Passez votre soirée à me dévisager si sa vous chante, j’en ai rien à fou.tre. »

Il fit un petit rire. Ce qui me fit pâlir encore plus. 

« -Bon et sinon ça fait combien? 

-Je peut pas vous la faire payer.On sert pas de pastabox, c’était la mienne. 

-Oh, merci…

-Mais croyais pas que c’est un cadeau. C’est tout simplement parce que j’ai pas le droit… 

-Ah ouais! Et bien de toute façon j’avais pas d’argent. »

Je le vit faire la mine, ce qui m’amusa. Surement pour masquer sa gêne, il changea de sujet.

« -Et sinon qu’est ce que vous faites là toute seule?

-A la base j’étais venue avec un… un ami, mais il m’a lâché. Oh et puis, tutoie moi.

-Seulement si vous me dites votre prénom.

-Sp…

-Ah Spencer t’es toujours là! Désolée de t’… »

Je n’écoutais même plus ce qu’il disait, mon regard ne décrochais pas celui du barman. Puis Maxon m’entraina dehors et marcha devant. Je resta toujours plantée devant le club. Il se retourna et changea d’expression.

« Spencer! Tu me suis?

-Mais… »

Il me prit par le bras, pas violemment, au contraire, d'une poigne amicale. 

« -Tu a écoutée ce que je t’ai dis tout à l’heure?

-Hm, oui.

-Ok. Bon déjà, désolée de t’avoir laissé mais des amies à moi m’avait appelée et toi tu était affamée du coup je t’ai laissé là bas, et tu n’étais pas non plus en mauvaise compagnie… Enfin, ce que je t’ai pas dit c’est que ces amies sont du KGB, et il m’ont mis au courant pour un truc, et du coup toute la nuit je serais pas là désolée.

-Ah… D’accord. Mais en quoi sa consiste enfaites le KGB? 

-Eh bien, comme tu le sais c’est un service secret donc je peut rien dire.

-Ah oui désolée.

-Bon va falloir que je te passe le double des clés aussi. »

J’avais l’impression qu’une certaine complicité c’était installée entre nous. 


 


 

 chapitre 4:

 

Avant je ne croyais pas en l’expression « Tout peut changer en un jour ». Mais la vie m’en prouva bien le contraire. En un jour j’avais été séquestré, perdu mes parents, su la vérité à leurs sujet, emménagée chez un homme qui m’était inconnue jusqu’à ce matin. Une journée basique voyons. Ma vie était vraiment un gros bordel. Par la fenêtre j’aperçu le ciel d’une nuance rosé. La pendule indiquée 7 heure. Je me décida enfin de me diriger à la salle de bain.

Ça peut paraître dingue mais j’avais l’impression que cette fameuse journée où j’avais tout perdue était derrière moi. Mais ce n’était qu’une illusion. Quel genre d’adolescente peut faire comme si la mort et la révélation sur ces parents la laissée indifférente? Surement pas moi. Mais je ne voulais pas non plus devenir la fille dépressive orpheline qui a la vie dure. Non. Je suis bien plus forte que ça. Du moins ça aussi c’est une illusion. Une illusion que je vais essayer d’entretenir avec les gens, pour essayer de profiter un minimum de mes deux dernières année en tant qu’adolescentes. C’est ce qu’aurait voulue mes parents. J’en suis certaine. Après cette réflexion faite devant le miroir en démaquillant mon maquillage qui avait coulée, je me remaquilla au minimum et releva mes cheveux en queue de cheval. Pour me vider la tête un footing était l’un des meilleur remède chez moi. Enfin en condition, je pris les clé et referma la porte derrière moi. J’enchaina les marches quatre à quatre et enfin délivré de cette immeuble, l’air frais cogné sur mes tempes. Pas meilleure sensation. Les quartiers que j’abordée d’un pas dynamique était vide. J’adorais ça. Être seule. Je n’aimais juste pas, le ressentir. Mais cette fois j’en avais rien a ***. Je doubla la cadence jusqu’au bout de la rue où je me tena à un poteau en fessant quelques étirements. Je vis à la fenêtre d’un immeuble en face de moi quelqu’un m’observer. Mais au moment où cette ombre avait attirer mon attention elle disparu. Hum. Okay. Je continue ma route en reprenant ma cadence tant bien que mal. Puis  je passa à la boulangerie du coin, où sois disant passant j’avais attendue une dizaine de minutes avant qu’elle ne s’ouvre, prendre deux croissants avec les quelques pièces que j’avais prise. Après ça je rentra à l’appartement, où Maxon m’attendais à ce que je vois.

« -Où tu était passée?!

-Euh… Bonjour à toi aussi.

-Putain tu m’a fait peur Spencer.

-Pourquoi? Parce que je ressemble à rien après avoir dépenser l’énergie qui me restée en courant pendant deux heures? » 

Il ria à ma blague par bonté. Puis continua:

« -Non mais sérieusement après ce qui c’était pensée hier, j’ai pensée que tu étais de ces filles qui se noie sois dans l’alcool, la drogue ou le *** pour noyer leurs chagrin. Même si je ne te jugerai pas si c’est le cas, moi aussi je suis passée par ces faces. Enfin bref. Je vois que tu n’es pas du tout comme ça, ça me rassure.

-Oh. Je pourrai passer par un de ces pêché Monsieur le Curé mais pas pour noyer mon chagrin. »

Puis je me rendis compte de l’absurdité de mes paroles alors je reppris:

« -Mais non je ne suis pas de ces filles. Même si je dois t’avouer que ce qui m’arrive me bouleverse chaque minutes qui s’écoule. Je préfère essayer de reprendre une vie normal. 

Bref parlons d’autres choses si tu le veux bien. 

-Oui bien sûre, pardon. Je vois que tu a ramenée des croissants! Génial! 

-Aha oui. Je ne connais pas bien tes goûts donc j’ai opté pour les croissants. Tout le monde aime les croissants. »

-T’a bien fait. Tu veux un café?

-Oui je veux bien, merci. »

Après un croissants, un café, deux sucres, et deux trois blagues lancé par Maxon. Je prena ma douche et me changea. 

« -Maxon? »

Fameux hochement de tête de sa part.

« -J’vais sortir il faut que je m’achète un nouveau téléphone. Le mien est resté introuvable hier.

-Okay pas de problème. Tu veux un peu d’argent?

-Non non t’inquiète. Tu me dépanne assez comme ça.

-Comme tu veux. »

Je regarda dans mon porte monnaie; 500$.

Heureusement que j’avais mon compte parce que pour deux ans, ça va être chaud. Le baby-sitting sera peut-être une possibilité à envisager… Et à la majorité je recevra l’héritage de mes parents…

Je prends tout au cas où. Puis m'apprête a prendre l'ascensseur. Quand les portes coulissent, je reconnais imédiatement l'homme d'hier soir, le barman. Ce qui est pire que de prendre l'ascenseur avec quelqu'un est de le prendre avec quelqu'un qui nous laisse perp.***.

« -Ouah mais tu me traques ma parole.

-C’est plutôt toi oui. J’habite ici depuis un an et c’est la première fois que je te vois.

-Et moi depuis hier… Mais ma version est mieux! Ça parrait évident, c’est toi qui m’a demandé mon prénom et m’a donné sa pastabox sal petit traqueur. 

-Sauf que c’est toi qui t’es remémorée notre conversation d’hier soir petite perverse. 

-Je ne parlerai qu’en présence d’un avocat. 

-Oh font  un pervers et un traqueur c’est la même chose? On fait plutôt la paire. »

Je me sentie rougir. Ce que je déteste. Heuresement l’ascenseur s’ouvrit.

« -Bon bah a plus Spencer. 

-Salut… hm toi. 

-Alessandro. Ça me représente plus. 

-Okay donc salut Alessandro. conclu-je sur un clin d’oeil. »


 


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24 ans Femme Hogwart. France
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Jeniffer Lawrence. Plein. Harry Potter & Hunger Games♥ Beaucoup trop.
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Noir (c'est pas une couleur? et bah... fuck.) Pouah. (ça veut tout dire.) Les anges loliloooll c'tro ma life kwaaa Je l'avoue, glander.


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