ROMAN

I-Présentation :

Bonjour je m'appelle Aurélie et j'ai 15 ans. J'ai une passion : l'écriture. Et j'ai crée une dollz pour pouvoir montrer le fruit de mon travail à une communauté pour avoir des avis, des critiques et des remarques. Il est vrai que je fais beaucoup de fautes, déosolé. N'hésitez pas à me prevenir lorsque vous en voyez une. Maintenant je le dit C'EST MON TRAVAIL AUCUNE COPIE N'EST TOLERE, AUCUNE INSPIRATION SOUS PEINE DE POURSUITES JUDICIAIRES ET PLAINTES.Sur ce bonne lecture.

-AMOR Y PLAYA.-

(amour et plage.)

Ce matin-là je m’étais réveillée vers 6h00 comme tous les matins  depuis le collège, malgré le fait que je ne fasse plus d’études l’habitude était restée. Je m’étais directement dirigé vers la cuisine en pyjama rose, mes cheveux bruns ébouriffé et les pieds nus sur le carrelage blanc et froid. Je préparais le petit-déjeuner en silence pour ne pas réveiller, Corine, ma mère. Je versais un peu de jus exotique dans un verre et préparais des crêpes à la confiture. Puis laissa, le plateau sur la table avant de courir sur la pointe des pieds vers la salle de bains. Je me préparais de manière à être un minimum présentable. Trente minutes plus tard, quand je revenais dans la cuisine ma mère était à table. Elle ne leva pas le regard, trop occupé à fixer son verre quand elle buvait son jus. Je décidais de prendre la parole la première.

« Bonjour maman ! » lançais-je d’un ton enjoué.

Elle se contenta d’acquiesçais comme à son habitude. Je ne relevais pas la laissant à son petit-déjeuner. Puis je fini par m’assoir en face d’elle observant ses mêmes petites manières. Ses cheveux étaient longs, brun et emmêlés. Combien de temps cela faisait qu’elle n’était pas allé chez le coiffeur   ou avait pris la peine de se démêler les cheveux ? Peut-être huit ans depuis le jour dont il ne faut pas parler. Je n’y avais jamais fait attention. Une fois qu’elle eut fini elle regarda le sol et me dit très bas et d’un ton maussade.

« Tu as déjeuné Annabella ? »

J’hochais la tête en signe d’approuvement, Je mentais pour qu’elle évite de s’inquiéter. Et d’un geste brusque elle se leva, marcha d’un pas nonchalant vers le canapé rouge ou elle passait toute ses journée depuis des années, a zappé entre la huit et la douze. C’était rare les jours ou elle parlait et quand elle le faisait c’était pour poser des questions ou elle pouvait caser mon prénom à l’intérieur mais le psy dit que lorsque qu’elle parle il faut l’inciter à continuer. Personnellement, je n’y suis jamais parvenu.  Je me levais aussi et ramassa son plateau. Puis, discrètement je regardais dans les placards de la cuisine si il n’y avait aucune bouteille d’alcool, cigarettes, drogues ou encore calmants. Aucun signe de la présence de ces maux auxquels ma mère était addicte.  Je me suis placé à côté d’elle dans le canapé et elle fit comme si je n’étais pas présente. Je lançais une phrase hésitante :

« Maman… je vais à la plage aujourd’hui et je me suis dit que tu voudrais peut-être venir ? »

Elle ne releva pas, elle ne me regarda pas, elle ne me répondit pas. J’ai pris ça comme un « NON ! » net et clair. Ce qui me fis un petit pincement au cœur.

Alors je me suis levée, et j’ai marché en direction de ma chambre, y ai pris mes affaires avant de partir tête baissé dehors. Je me suis planté devant le seuil de la porte bien décidé à retourner à l’intérieur  et à la forcer à venir avec moi mais je ne fis rien, même étant habitué  à ce genre de réaction de la part de ma mère je ne pouvais pas m’empêcher d’avoir les larmes aux yeux. Alors j’ai tout fait pour ne pas pleurer, j’ai relevé la tête et j’ai marché vers la plage la plus proche de chez moi.

Ce n'est que le début, donnez moi vos avis. Je posterais la suite après ça. Vous pouvez vous abonnez vous serez directement prevenu de la suite :)