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Bonjour à tous ! :)
Je vais écrire une fiction, les chapitres apparaîtront peu à peu. Si j'arrive à tenir le coup, j'essayerais d'éditer un chapitre tous les 15 jours. Si vous aimez, vous pouvez vous abonnez, et être au courant à chaque fois qu'un chapitre est édité. Vous pouvez mettre des critiques en commentaires, positives ou négatives, mais sans violences ni insultes s'il vous plaît !
Des critiques CONSTRUCTIVES pas comme cela :
l0renza | -Re: : - | 24/05/2015 10:50:29 | ||||
Jaai luu et c nuul suur ce Slm :-)
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Si, si, je vous jure, ça existe ! A ces messages-là, ne vous ***z pas que je vous réponde d'apprendre à écrire et d'aller lire mon Qsj, avant de faire des commentaires.
Chacun peut donner son avis, mais pas de cette façon. :)
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Petit sondage : Répondez-y s'il-vous-plaît, que je sache ce que vous pensez de mon histoire.
Prologue : "C'est drôle comment parfois tout nous retombe dessus. Assumer les conséquences de ses actes ? Difficile. Du coup j'attends, j'essaye de comprendre. Je me débaterrais, jusqu'à la fin. Pour prouver que je n'ai jamais eu tort."
Dans la forêt, il fait gris, le jour se lève et Hana est assise par terre. Elle attend. Elle attend quoi ? Même elle ne le sait pas. Elle s'en doute, mais sans certitude. Cela fait maintenant plusieurs semaines qu'Hana est dans cette forêt. Précisément six semaines et quatre jours. Elle a tout quitté, avec dans son sac à dos Raiponce une couverture vert pomme, un paquet de Pépito et son journal. En bandoulière sur son T-Shirt gris usé, Hana porte sa guitare. L'air passe par son jean troué aux genoux. Ses longs cheveux blonds sont emmêlés, ses yeux verts ne brillent plus, mais Hana ne se préoccupe pas de tout ça. Elle a tout quitté, et maintenant elle se retrouve seule assis sur une pierre du ruisseau, grattant les cordes de son instrument, observant la brume matinale et la rosée sur l'herbe fraîche. Hana se sent libre. Elle est à l'aube de son quatorzième anniversaire.
Wonderland. (pays des merveilles)
CHAPITRE I :
A ce moment-là, Julien se sentit mal. Comme si on avait placé une enclume dans son estomac. Il eut si mal qu'il dut s'appuyer contre le mur de la rue des Coulognes.
Il se dit qu'il devait être fatigué, qu'il devait avoir faim, donc il rentra chez lui, et s'assit sur son lit. Voilà maintenant plus de deux mois qu'Hana avait disparu, mais il persistait à croire qu'il la retrouverait. Sa soeur lui manquait terriblement depuis ce fameux jour où elle était partie. Ses parents étaient devenus en permanence anxieux, et ils supportaient mal que Julien continue à la chercher, alors que même la police n'avait pû la retrouver.
Mais Julien savait qu'elle n'était pas bien loin. Ce lien fort qui l'unissait avec Hana s'était certes estompé, mais il le ressentait toujours. Si elle était à une grande distance, ce lien se rompait. Julien ressentait toutes les fortes émotions de sa soeur, et en repensant ce qu'il lui était arrivé rue des Coulognes, il se dit qu'elle devait être affamée.
Il fallait qu'il la retrouve avant qu'elle ne meure de faim ou de froid. Hana avait emmené sa guitare, il savait que cet intrument était toute sa vie, et que peut importe où elle allait, peu importe dans l'état qu'elle était, jouer de la guitare la revigorait. Elle devait survivre grâce à la musique.
Il se rememorrait souvent pourquoi elle était partie. Elle voyait des choses bizarres... Elle disait que des créatures peuplaient notre planète, mais pas des vampires, non, pas des loups-garous, ni des sorcières. Elle pensait qu'il y avait des sortes d'anges gardiens, qui pouvaient être aussi méchants que gentils. Elle les distinguait par leurs yeux. Leurs yeux bizarres comme elle disait. Leurs yeux brillants, répétait-elle. Leurs yeux inhumains.
En partant elle avait laissé comme seule explication, un mot déchiré de son journal.
"Adieu. Je vous aime, mais ils ne me croient pas, ils me cherchent, ils veulent ma peau. Je dois partir. C'est drôle comment parfois tout nous retombe dessus. Assumer les conséquences de ses actes ? Difficile. Du coup j'attends, j'essaye de comprendre. Je me débaterrais, jusqu'à la fin. Pour prouver que je n'ai jamais eu tort. Je vous aime, je t'aime Juju, je t'aime Maman, je t'aime Papa. Adieu."
D'ailleurs elle l'avait emporté aussi son journal. Et il y a peu de temps, Julien avait remarqué qu'Hana avait subtilisé le plaid vert, avec lequel leur mère s'emmitouflait le soir devant la télé.
Qu'est-ce que sa grande soeur pouvait manquer à Julien...
***
Cher journal,
Aujourd'hui, je suis affamée. De plus en plus affamée. Les biscuits au chocolat sont terminés depuis maintenant 2 semaines et en ce moment je me nourris de seulement les restes de mûres et baies que j'ai trouvées dans le bois. Malheureusement la mauvaise saison commence à rafraîchir les nuits, bientôt ma couverture ne suffira plus. Je vois toujours cette femme, elle me suit, je vois ses yeux, mais jamais elle ne me parle, j'imagine qu'elle est mon ange gardien. Elle est gentille mais j'en ai croisé d'autres, dont les yeux étaient rouges sang, et qui me poursuivaient avec des branches pointues. J'ai peur, je ne sais plus quoi faire, ils me cherchent, ils veulent ma peau. Quand tout cela se finira-t-il ? Mon frère ma manque. Je sais qu'il me cherche. Du haut de ses douze années, il peut encore se permettre d'espérer mon retour, mais je sais très bien que je ne le reverrais plus.
Voilà, cher journal, le récit de ma journée et de mes pensées.
CHAPITRE II :
C'était le week-end, le samedi plus précisément. Julien avait reçu un colis. En tremblant, il regarda l'émetteur : Anonyme.
Le garçon tremblait d'un mélange d'excitation, de peur, et d'impatience. Il ouvrit le colis avant de comprendre que ce n'était pas sa soeur qui lui avait envoyé ce colis. Cette désilusion le frappa de plein fouet. Dans le colis il y avait seulement une lettre et un porte clé envoyé par on meilleur ami, qui avait sûrement oublié de se nommer en envoyant le colis.
Julien fut secoué de larmes, et sortit dehors. Il courut, courut jusqu'à ne plus pouvoir respirer, il courut vers la forêt.
Essoufflé, il s'assit par terre, se calma, réfélchit et finit par s'endormir. Il fit des rêves agités, lorsqu'il se réveilla, la nuit était tombée. Il consulta son téléphone portable, il avait 11 appels manqués, dont 9 de ses parents et 2 de son meilleur ami. 9 messages vocaux, tous de ses parents. Il les écouta :
- Voix de son père - "Juju, tu pourras me rappeler pour me dire où tu es s'il te plaît, bisous."
Il les écouta tous jusqu'au dernier :
- Voix paniquée et en pleurs de sa mère - "Julien, rappelle-nous vite, reviens, Julien, ne fait pas la même bêtise que ta soeur, reviens Julien on t'aime !"
Entendre sa mère ainsi paniquée lui déchira le coeur, mais ce n'est pas pour autant qu'il décida de rappeler ses parents. Il venait de voir des ombres avec des yeux brillants. Immédiatement il pensa à sa soeur.
"HAANNNNAAAAAAAAAA"
Pas de réponse.
"HAANNNNAAAAAAAAAA"
Pour la deuxième fois de la journée, il s'effondra, aussi triste qu'épouvanté.
Il se dirigea vers le ruisseau, on il s'assit sur une pierre. Il trempa ses pieds dans l'eau.
C'est alors qu'il revit les yeux. Ils étaient violets, brillants, et dégageaient de la méchanceté. Mais le pire n'était pas les yeux.
Dans sa main, l'ombre tenait une bottine. Julien l'aurait reconnu entre mille. C'était la botte de Hana, celle qu'elle portait avant sa disparition.
Julien se leva d'un coup, et toute sa peur s'évanouit, pour laisser place à de la fureur. Cette chose avait fait du mal à Hana, et sa soeur elle-même n'était pas loin, et elle avait peur. Il le ressentait mieux plus il s'enfonçait dans la forêt.
Sa peur s'était totalement évanouie, et il s'empara de son courage à demain. il courut vers la chose.
***
Cher journal,
Je crois qu'il ne me reste plus longtemps à vivre, j'ai faim, et cette chose avec les yeux violets continue à me pister, elle m'a attrapée tout-à-l'heure, par les pieds, j'ai réussi à m'échapper mais elle a pris mes chaussures. Mes pieds sont gelés. J'ai peur. Julien n'est pas loin, je le sens, mais il ne faut pas que la chose l'attrape, il faut qu'il parte, c'est pour ça que quuand il m'a appelée il y a environune heure, je n'ai pas répondu. Je ne veux pas que les ombres s'emparent de lui.
Aujourd'hui, cher journal, j'ai faim, froid, peur, je me répète mais ça fait du bien pour moi d'écrire. J'espère survivre pour prouver que je n'ai jamais eu tort. Ils me cherchent, ils veulent ma peau.
CHAPITRE III:
Lorsqu'il se réveilla le lendemain matin, Julien ne se souvenait plus de la veille. Il ne comprenait pas pourquoi il était là, alors qu'hier soir il était dans la forêt avec sa soeur. Enfin... pas loin de sa soeur. Maintenant, il en est sûr, elle est vivante, dans la forêt, mais s'il ne l'aide pas elle s'épuisera de ses forces.
Julien avait mal à la tête. Il avait les membres courbaturés et respirait avec grand-peine. "Et ben dis donc, pensa-t-il, j'ai chopé une migraine carabinée." Traînant les pieds, il sortit de son lit, passa le couloir et alla directement dans la salle de bain pour se passer un coup d'eau sur le visage. Il ouvrit la boîte dans laquelle il rangeait ses gants de toilette, et y trouva une enveloppe. Il l'ouvrit, encore à moitié endormi.
"18 octobre." Oh là là, mais c'était l'avant-veille ça !!
"Cher petit frère. J'espère que c'est bien toi qui lira ce mot, car toi seul peut me croire et m'aider. Je suis dans la forêt. Si tu veux absolument venir, ce que je te déconseille, vas-y seul. Tu me trouveras sûrement au tour d'un ruisseau à l'endroit où il y a une pierre. Je m'y assois souvent. Tu me retrouveras dans les parages. Hana."
Le ruisseau... la pierre... tout cela disait quelque chose à Julien. Mais, oui ! C'est l'endroit où il s'était reposé et où il avait aperçu la chaussure de sa soeur.
Il courut vers le salon, mit ses chaussures, pris un paquet de gâteaux avant que sa mère l'interpelle.
"Hep-là, toi ! Interdiction de sortie pendant 3 jours ! C'est ce que le médecin t'a prescrit. Te souviens-tu de la nuit pas vraiment paisible que tu as passée ?
- Heu... Non, je me souviens juste avoir été dans la forêt et avoir trempé mes pieds engourdis dans l'eau... Pourquoi ? Que s'est-il passé ?
- Jeune homme, tu ne répondais plus à ton téléphone !
- Sûrement que je n'avais plus de batterie !
- Nous avons appelé la police, il t'ont retrouvé inconscient dans le ruisseau ! Heureusement qu'il n'y avait que 10 centimètres de profondeur ! Alors, maintenant, tu vas poser tes baskets et tu vas aller te recoucher. Je vais te mettre un film et un plateau déjeuner. Et je ne le dirais pas 2 fois !
- Mais, Mam's, je voulais juste prendre l'air !
- Tss tss, pas de mais, c'est hors de question."
Fin de la discussion. Julien était furieux. Avait-il vraiment pû s'évanouir de peur alors même que sa soeur était en danger ? Ou bien la chose l'avait-elle assomé. Il ne le saura sûrement jamais, en tout cas pas en restant consigné dans sa chambre.
L'après-midi, ses parents n'ayant pas pû prendre de repos, il était seul. Sa mère avait tout fermé à clé, et son père l'avait absolument interdit de faire quoi que ce soit à l'extérieur.
Il ne pouvait tout de même pas dire à ses parents ce qu'il savait sur sa soeur ! Comme elle l'avait bien dit, il était le seul à la croire et à pouvoir l'aider.
Malgré tout, Julien décida de partir en expédition à ce fameux rocher. Il sortit par une baie vitrée de son salon, qu'ils avaient laissée ouvertre. En laissant un petit mot à ses parents, Julien leur expliquait qu'il était parti se promoner, qu'il était désolé mais qu'il avait besoin de prendre l'air. Il écrit qu'il reviendrait vite.
Cher journal,
Hier soir, je me suis endormie très vite, aucun cauchemar, aucun bruit, aucune chose ne m'a empêchée de me reposer. J'en étais bien contente. En revanche ce matin, j'ai eu un mauvais pressentimement. Lorsque je prenais mon "petit déjeuner", des cris retentirent. Quelqu'un avait des ennuis !! Et c'était bien la voix de Julien.... Je courut vers l'endroit d'où sortait ce cri. C'était derrière un rocher. J'y allais, prudente. Ce n'était pas mon frère. C'était la chose aux yeux violets. Elle se rua sur moi et je perdit connaissance, me réveillant un peu plus tard, il n'y avait personne et j'étais au même endroit.
Bon, trève de malheur, je crois bien que mon frère ne va pas tarder à lire ma lettre. Je ne sais pas ce qu'il va faire, mais j'espère bientôt le revoir. Il me manque.
CHAPITRE IV:
Julien prit son sac à dos, mis ses baskets, courut sans s'arrêter jusqu'à la forêt, malgré ses membres ankylosés. Il trouverait sa soeur, la convacrait de revenir à la maison et tout redeviendra comme avant. Julien s'efforçait de penser ainsi, sachant très bien que tout ne se passerait pas ainsi. Arrivé au rocher, il fut si ému de voir qu'une jeune fille aux cheveux blonds de dos était assise avec une guitare en bandoulière.
"Hana, murmura-t-il."
La fille se retourna, Julien eut un choc. Elle avait les joues creusées, le teint livide, mais surtout... elle avait les yeux violets ! Cette chose la possédait ! Mais ! Quel monstre ! Julien était hors de lui, il était furieux contre cette vie de chiotte qu'il menait. Pourquoi est-ce que cela arrivait-il à sa soeur ? Elle n'avait rien demandé et se retrouvait ainsi possédée par ce machin-truc. Il courut vers sa soeur, la gifla aussi fort qu'il le put, l'appela à se rompre la voix, c'est à ce moment-là qu'elle tomba dans l'eau, totalement inconsciente. C'était donc ça qu'il lui était arrivé ! Mais quelles choses avaient-ils pû commetre sous l'emprise de cette chose ?
Il était fou furieux ! Il se rua vers sa soeur qui se réveilla, ouvrit les yeux lentement et murmura :
"Julien, tu m'avais manqué..."
Cher journal,
je t'écris un petit mot pour te dire que Julien vient par ici. Ce lien qui nous unit me brûle de plus en plus. Je le sens, il arrive. Je ne veux pas qu'on lui fasse de mal : la chose aux yeux violets est par là. Elle me tourne autour, elle veut ma peau...
CHAPITRE V :
"Hana... ça va ? Je... Oui, moi aussi tu m'a manqué...
- Oui, ça va mieux maintenant que tu es là, ça fait si longtemps !"
Julien avait les larmes aux yeux. Cela lui faisait tant de bien de revoir sa grande soeur !
"Et ce truc... avec les yeux violets là... C'est quoi ? Et pourquoi il nous poursuivent ? On leur a fait quoi ?
- Et bien, commença Hana d'une voix calme et posée, c'est un monstre, je ne sais pas quoi exactement, mais je sais qu'ils nous veulent du mal, je ne sais pas pourquoi...
Cela fait maintenant plusieurs semaines u'ils me traquent, je n'ai presque plus le temps de dormir, je ne suis jamais en sécurité... Nous devons partir, Julien.
-Euh... Partir ? bégaya Julien. Mais partir où ? On n'a nulle part où aller, viens avec moi, rentrons à la maison, et tout ira mieux !
- Julien, tu ne comprends donc pas... Ils veulent nous tuer ! Il faut partir loin ! s'écria sa soeur.
- Loin... Mais, où, loin ! Il faut au moins aller voir papa et maman, ils vont s'inquiéter, pour nous deux maintenant...
- Ils nous empêcheront de repartir et vont nous emmener chez le psychologue, tout ça, tout ça. On ne peut pas se permettre de les prévenir, ils appelleront la police ! Il faut partir en laissant le moins de traces possibles.
- Bon. On part quand ? se résigna julien, sachant bien qu'Hana avait raison.
- Et bien, tout de suite, en route, rétorqua-t-elle."
Hana et Julien se levèrent, se regardèrent dans les yeux et partirent vers l'inconu sans une parole.
Cher journal,
Maitenant que j'ai mon petit frère, tout va pour le mieux. Malheureusement nous devons partir le plus vite possible, c'est pour cela que je n'écris que quelques lignes pendant que Julien se rafraîchit dans un ruisseau non loin de là. Pour qu'il ne connaisse l'existence de ce journal, à présent j'écrirais moins longtemps et moins souvent.
Souhaite-nous bon voyage...
CHAPITRE VI
"Éh ! Hana... On peut pas s'arrêter un peu ? Faudrait qu'on dorme... On marche depuis 3 jours et tu n'as pas dormi !
- Julien... On doit aller le plus loin possible..Encore une petite heure, et j'essaierais de trouver des baies, après, on s'arrêtera et tu pourras dormir.
- Non ! Cette nuit c'est moi qui monte la garde ! Tu dois dormir.
- Euh... Ok, on verra..."
Pendant un instant, le frère et la soeur éreintés se turent, plongés dans leurs pensées. Au bout de quelques minutes de marche, Julien s'arrêta et se tourna vers sa soeur :
"C'est dingue, y'a pas un an tout allait bien, notre vie était normale, et puis là, on se retrouve à devoir cueillir des plantes sauvages, peut-être venimeuse, pour se nourrir, et bientôt, on devra chasser ou pêcher ou... On se croirait dans... (durant quelques secondes Julien chercha un film d'aventure qu'il avait vu récemment)... dans Hunger Games !! Poursuivi par des créatures, et tout ça... (disant cela Julien devint blême et sa voix se brisa).
- Julien ! Tu te calmes ! Bientôt notre vie redeviendra normale... s'énerva sa soeur. C'est toi qui a voulu venir avec moi. Maintenant, on s'arrête, on va se reposer, demain ça ira mieux...
- Oui. Oui, on va faire comme ça. Mais Hana, cherchons un endroit un peu abrité, car là, regarde le ciel..."
En effet, de gros cumulonimbus s'ammoncelaient au-dessus de leurs têtes, annoncant un gros orage, vu le tonnerre qu'ils entendaient au loin.
Quelques minutes plus tard, le soleil se cacha complètement et de grosses gouttes commencèrent à s'écraser au sol, dégageant une délicieuse odeur de pluie. Le frère et la soeur levèrent les yeux vers le ciel, abrités dans une grotte peu profonde, et virent dans les nuages noirs des yeux brillants et colorés. Beaucoup, beaucoup d'yeux.
"-Julien la nuit va être longue, très longue..."
Cher journal,
ce soir il va y avoir un orage, heureusement que nous avons trouvé une grotte malgré qu'elle so
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A suivre.
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