~ANNONYME.~

(Eloise,voilà t'es content ?!)

Retiens juste que je suis une co.nne.

Appelle moi comme tu veux, qu'est ce que ça change au pire.

Elle a 14 ans, elle n'est pas parfaite et n'a jamais prétendut

l'etre.

 Elle ne cherche ni la gloire ni l'argent, juste le bonheur.

Rien qu'un tout petit peut de bonheur.

Elle est completement folle, elle aime délirer, elle se prend

pas au sérieux, elle joue les psy en permanence, elle est un

peut décalée.

~viens par mp faire connaissance.~

Je veux pas te perde. Tu entends ? Tu comprends ce que je veux te dire ? Pourtant j'ai essayé. J'ai tenté de t'ignorer, de m'éloigner. J'ai tout essayé mais j'en reviens toujours au fait que sans toi, je ne suis vraiment pas bien. Comme plus à ma place.
J'en deviens folle. J'ai rêvé que tu m'avais pris dans tes bras, tu m'avait serré le plus fort possible, puis tu m'as glissé un "je t'adore et jamais je te laisserais." Et je te jure qu'à cette heure- ci, je donnerais tout pour ça. Absolument tout, car je ne veux pas de cette putain de distance ou d'écart entre nous, non je le supporterais pas du tout.Si je peux difficilement décrire ce que je ressens, je peux aisément te dire que tout ce que je veux est toi, là, dans mes bras. C'est plus facile peut-être pour toi de m'oublier, plus facile de mettre un train à notre amitié, mais moi c'est mission impossible, je tiens à toi et c'est comme ça, s'il faut que je t'oublie faudra que tu t'en ailles, de là j'aurais le peux de chance de te mettre de côté le temps d'un instant seulement. Tu me crois forte? Bah malheureusement tu as mal vu car j'ai un cœur fragile, je ne supporte pas les départs et encore moins les écarts. OUBLIE ça.Tu sais j'aurais voulu ne pas te connaitre quand je suis dans ce genre de moment, j'aurais voulu que nos chemins ne se croisent surtout pas, voulus ne pas apprendre davantage sur toi, ça aurait été plus facile de faire cet écart, plus facile de mettre une distance entre nous deux, mais malheureusement la vie c'est en mêler sans notre accord. Dans ces moments je me mets à pleurer en me disant que pleuré me fera du bien, et c'est le cas car j'oublie tout et je me remets en question en me disant peut-être tu as raison, on la fera cette distance si tu veux, mais peut-être que c'est un mauvais choix, je suis perdu car je n'en peux plus avec ces dis***s qui ne s'arrêtent jamais. Je pourrais tenir une journée sans te parler, mais pas une durée.

 Tu le sait pas, mais tu représente beaucoup pour moi.

#Titouan.

Quoi que je fasse, c'est toujours mal. J'ai blessée les gens que j'aime, ils m'on aussi blessés par la suite. Ils ont laissés de belle cicatrises un peut partout. J'arrive plus à me sortir de là, à chaque fois je recommence. Pour un oui ou non, j'ai besoin d voir le sang couler, de sentir cette douleur, qui me fait oublier celle qui me détruit de l'enterieur. Je donnerais tous pour pouvoir recommencer à 0, ne jamais avoir fait toutes ses ***rie, ne jamais t'avoir rencontrer, ou alors si mais pas comme ça. Changer les choses, faire quelles se passent mieux. Sortir de cet enfer, c'est tout ce que je demande. Aujourd'hui je peux vous le dire, j'appelle à l'aide, mais personne ne m'écoute, personne ne m'entend en fait. Plus que hurle, plus les gens s'éloignent. Ils me jugent à mes actes. Mais peuvent-ils seulement comprendre le pourquoi de cette folie ? Non. Il a quelques années, j'étais une petite fille heureuse, dans mon école, jusqu'au CE1 tout allait bien, et je crois que c'est après que tout a dérapé. J'ai fait des choses horribles. Arrivée en CM2 c'était trop. Je les ai bléssées. J'ai tout gachée. Ils m'ont jugés, mais je n'avais que 10 ans. Juste 10 ans, pourquoi me faire ça ? Je me suis longtemps posée la question. J'ai chercher une solution à tous ça, mais en vaint. Les choses ont empirées de jours en jours. Je me demander pourquoi la vie me faisait ça, j'ai arreter de croire en Dieu à partir de ce moment là. Puis je suis rentrée au collège. Je me disais qu'on avait grandis, que tous arrait mieux. Encore une fois je m'étais trompée, rien avait changé. Une nouvelle dis***, partit d'un rien, et qui dégénérait. Tous ses dis***s on pris en empleure énorment. La sixième passait, remplis de larmes... puis la cinquième arrivait, tout avait bien commencer et puis bam, une nouvelle dis***, d'une extreme violence. On trouvait un "arrangement" tout repartait. C'était bon, enfin biern dans sa peau. Et un jour, Il y a eu cette soirée, elle était parfaite au début, et en quelques minutes c'était le drame. Il s'est passer une chose, qui nous à marquer, et qui restera dans nos mémoire à vie. C'était encore et touojurs de ma faute. J'avais gachée un moment magique. Les parents de mes amies me déteste, pas qu'a cause de cette soirée, à cause de toutes les fois ou j'ai fais du mal autour de moi. Je ne le fais pas expret. C'est comme ça je suis qui je suis malheureusement. Et puis, le temps à passer depuis cette fameuse soirée, on arrivait vers le milieu de cinquième a peut-pret, j'ai renconter des garçons g'niaux, les amis d'un ami. On est tout de suite devenu potes, c'était parfait, plus de dis***s entre moi et mes amies, j'avait trouver des ami super, un meilleur ami, une meilleure amie, et un petit ami. Et le temps passa, j'était si heureuse, il me rendait heureuse, lui mon meilleur ami. Avec mon copain c'était compliquer, absent pendant 2 mois, je suis tombée amoureuse d'un autre, on est sortit ensemble. C'étais une belle grosse erreure ça. Mais il était la, il me comprenais lui, le garçon le plus parfait de la planete. Les mois on passés, la fin de cinquième arrivait, durant des mois mes amies n'avaient pas arrater de me dire que je faisais une erreure aavec lui. Que ce n'était qu'un conn.ard, je ne les écoutais pas, j'étais heursue, amais à la fois malheureuse, mais je refusais d'admettre que c'était par sa faute. Alors j'ai continué comme si de rien n'était. Les vacances sont arrivées. Je lui parlait non stop. Et puis... du jourr au lendemain, il ne me répondait plus, il était de plus en plus froid. J'avais mal, j'ai commencer à me mutiler a partir de là. Je ne savais plus quoi faire. Comment en parler ? J'avais peur d'etre juger, peur que les gens le juge lui. Alors je n'ai rien dit, plus le temps passait plus je me sentais mal, à la fin des vacances j'étais à bout, alors j'en ai parler. mes amis on essayer de m'aider. Ils m'on conseillés de le laisser, je n'ai pas voulut, mais lui si. Il m'a laisser tomber, j'étais détruite. Alors j'ai recommencer, de plus en plus pronfond. Aujourd'hui j'ai choisit de l'effacer de ma vie, lui est d'autres. Ils m'on fait souffrir, et me font encore souffrir. Mais j'ai rencontrée le gars idéal. Il m'aide comme ik peut. Mes amies aussi. Mais il faut juste qu'ils sachent que quoi il fassent, ça ne changera rien. Je suis tombé dedant, je n'en sortirais pas. J'ai 13 ans et ça fait 9 mois que je pleure tous les soirs, sans***ptions. 13 ans, et 4 mois que je me mutile, 14 ans et 3 ans que je ne crois plus en rien. 14 ans et encore 14 année ou je soufrairais. Et enfin 14 ans, et un texte incoérant.