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Cette page est une "reprise" du fameux site : madmoizelle.com . Si vous ne connaissez pas encore cliquez sur le nom du site ;).
Être Rousse de nos jours : Une histoire de Tendance ?
Le phénomène s'étend : les roux vont envahir le monde et ils nous en mettent plein les yeux. Avouons le, les roux -qu'ils soient vrais ou faux - savent mettre leur couleur en avant. Mais comment en étons arrivés là ?
Il y a quelques année les roux étant des têtes de turcs. Les blagues sur les roux émergaient de toutes parts, mais des pages facebook à ses débuts. À une époque les rousses étaient même considérées comme des sorcières. Alors comment étons passé de pariats à tendance ?
Ma théorie
Nous avons ce besoin de nous faire remarquer, certains choisissent des couleurs extrêmes (bleu, rose, vert...) avec plus ou moins de brio. Le roux pour moi suit de près le rouge également très prisé. Seulement le roux en plus de ce démarquer fait également naturel. C'est l'idéal pour se faire remarquer sans en faire trop. Le roux est donc un juste milieu entre le neutre et l'original. C'est donc une couleur qui suit les tendances, qu'on le choisisse ou non.
Mon expèrience
Ma mère m'a avoué récemment avoir eu très peur que ses enfants soient roux à la naissance, m'a grand-mère l'étant. Malheureusement pour moi je suis née brune (d'un brun sans caractère en plus de cela). J'ai donc cherché pendant un moment ma couleur idéale : balayage, mèches, tie and dye, blond cendré, platine ... Pour enfin essayer le roux. Et j'en suis bien sur tombé amoureuse. C'est en effet une couleur qui permet de se faire remarqué, beaucoup de mecs en soirée me font des remarques positives sur ma couleur et me disent "adorer les rousses" (bref ils veulent pécho).
Je donne donc un pouce vert à cette expèrience, cependant j'ai un visage clair et des yeux verts, le roux n'est pas fait pour tout le monde. Si le brun ne m'allait pas, il rend certaines femmes magnifiques. Choisissez votre couleur pour vous et non pour la mode ;).
4 hommes racontent leur chagrin d'amour
Et oui les filles, nous ne sommes pas les seules à souffrir le martyr après une séparation douloureuse. Même s'ils ont du mal à se confier, ces messieurs ressentent la douleur comme des êtres humains. Voici le témoignage de quatre d'entre eux :
L'histoire. 12 ans de vie commune, un garçon de 6 ans : jusque là, notre couple avec Léa semblait un long fleuve tranquille. Mêmes amis, centres d'intérêt, rêves de voyage : Nous étions fusionnels, jamais d'engueulade. Je croyais que tout allait bien...
La rupture. Depuis 6 mois pourtant, Léa était irritable, dormait mal. Un matin de septembre 2010, je force la discussion. Le fusionnel a fini par l'étouffer. Elle ne se projette plus avec moi, trop de routine, plus assez d'excitation. « Je vais chercher un appartement » me dit-elle.
Le chagrin d'amour. Stupeur et tremblements. « Comment ose t-elle ?! Avec un enfant, en plus ! » On regrette aussi, de ne pas avoir accordé à l'autre plus de temps solo. Trop tard... C'était un coup de massue : à 37 ans, je me retrouvais hors du circuit « normal ». Durant un mois, j'ai été groggy, dans la ouate, vidé, et pris d'un vertige logistique (appart, garde alternée...).
L'histoire. Débarquant à Paris en 2007, un ami me présente Anne, une journaliste branchée de 27 ans, dont je tombe fou amoureux. Notre histoire est forte, elle s’installe chez moi après deux ans de « Chacun chez soi ». Malgré tout, je la sens instable, comme… ailleurs.
La rupture. Peu après son emménagement, elle s’assombrit. Moins de libido, plus de distance. N’y tenant plus, lors d’un dîner avec ses parents, je la cuisine : elle est amoureuse d’un autre. Ou plutôt d’une autre. Une fille ! Début de la descente aux enfers.
Le chagrin d’amour. J’étais dévasté. Me sentant trompé et impuissant puisqu’elle partait pour une fille. J’avais ouvert mon cœur – elle était mon premier amour, je me sentais à vif. Plus sommeil, ni d’appétit, et ce mélange de tristesse fade et de colère. Il me fallait réagir.
L'histoire. J’ai connu Alice, mon premier amour, au lycée. Après six mois de fusion mutuelle, me sentant à sa merci, elle s’est mise à taquiner ma jalousie. Aguichant d’autres garçons, par des regards, de la proximité. Elle me défiait. Comme s’il fallait que je joue au cow-boy et la défende envers et contre tous.
La rupture. Aveuglé par l’amour, j’ai tardé à comprendre son jeu. Alice me manipulait. Un soir, il y a eu plus, passage à l’acte : je l’ai surprise dans les bras de mon meilleur ami. Game Over. Au chagrin d’amour, s’ajoutait une blessure narcissique.
Le chagrin d’amour. J’étais jeune, sans recul ni point de comparaison. Aimer, c’était donc s’exposer à tout vent. Ça a développé en moi une méfiance idable. Par la suite, chaque fille qui m’approchait devenait une prédatrice, susceptible d’abuser de ma faiblesse d’aimer.
L'histoire. Avec Marie, nous avons été un « baby couple ». Je l’ai connue à 16 ans, moi apprenti, elle, encore au lycée. Malgré notre âge, nous vivions une histoire mature, évoquions déjà même une envie de bébé ! Ma vie ne pouvait pas aller sans elle.
La rupture. Il a suffi d’un accident. Ce soir-là, elle m’a proposé qu’on aille au bal des pompiers. Fatigué, j’ai préféré décliner. Pour me raviser ensuite et la rejoindre en douce. Hélas… Marie roucoulait dans les bras d’un pompier. Terriblement banal. Mais je n’étais pas prêt à ça. Le lendemain, ses valises étaient sur le perron.
Le chagrin d’amour. Je tombais d’un nuage. On se pose mille questions, on culpabilise même : où avais-je failli ? Tout s’écroulait, j’avais les idées noires. Heureusement, j’ai pu compter sur ma meilleure amie, mon « mur des lamentations ». Avec elle, plus qu’avec mes potes, j’osais me montrer fragile. Pour mieux redevenir fort.
https://www.youtube.com/watch?v=ujQB7AZWXoo
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