La plume noire écrit, écrit, écrit...

et la plume noire écrit beaucoup de choses...

beaucoup, beaucoup de choses...

et elle vous invite à la lire...

entrez dans son univers... 

laissez vous emporter...

mais prenez garde...

tachez de ne pas oublier...

où se trouve la sortie...

où vous risqueriez...

d'errer...d'errer...d'errer...

dans les méandres...

de son antre...

pour l'éternité...

bon voyage...

(ce n'est pas mon texte)

je me nomme Enora, je suis la comtesse Plumphar, et je suis née le 4 février 1856 et ma mort ne viendra jamais.

On raconte beaucoup de légende sur moi, peu sont vrai et beaucoup sont souiller par les mensonges et les trans ation.
Je vivais jadis dans un manoir aves ma mère et mon frère cadet. Mon père, disparu était capitaine d'un navire de commerce.
la vie au manoir était paisible et ses jours joyeux.

Une nuit peu de temps après mon anniversaire. j'entendis des paroles et des chants inconnus provenant du bureau de mon défunt père. Inquiété par ces bruits j'allai voir.
dans les couloirs sombres je suivis la lumière  et par le trou de la serrure j’aperçus mon frère et ma mère en train de s'enlacer et s'entrelacer recouvert de symboles fait avec leur sang. Sous les yeux attentifs du portrait de mon père, ils fusionnèrent pour laisser place à une immonde bête qui n'avait plus rien d'un être humain. Cette...oui cette chose perdait des morceaux de chair et son sang coulait sur coulait sur le bois ébène. Je voulu fuir mais à côté de moi un bruit retentit, ce devait être un vase. Je vis alors les yeux rouges de la bête se tourner vers moi. Une coute de sueur me coula dans le dos, je me mis a courir vers la porte d'entrer, le plus vite possible, pourtant la bête me rattrapait. j'ouvris la porte en vitesse pour m'enfuir dehors, il neigeait.
Mes jambes s'enfonçaient dans la neige, et le vent ralentissait ma course, je trébucha, me releva, et tomba. Et devant moi la bête se dressait;, je voyais dans ses yeux ma mort.
C'est alors que des plumes noires se mirent a danser avec la neige. Et devant moi ce dressait un ange, il repoussa le monstre et se pencha vers moi.
je senti sa main se posé sur ma poitrine, et pendant qu'il me chuchotait des mots doux a l'oreille, il m'arracha le cœur.  La douleur fut horrible, je le vit lécher mon cœur et dans un éclat de rire il me dit : "sans cœur tu ne peux pas mourir".
C'est alors qu'une douleur insupportable me parvint dans le dos, et deux ales noires déchirèrent ma peau.
Je suis depuis une plume noire, seule et immortelle. Elle est l'ange de la mort.

b

A l'éternité

lieu : Dans une usine de fabrication de poupée

en train : De donnée vie a des objets innanimés

pense : "Je suis dieu, dieu de la mort"

avec : ...