Bonjour.

TOUT D'ABORD, MON PSEUDO C'EST DU PASSER

Je ne sais pas. Je ne sais plus. J'ai jamais su.

Nous sommes fait de la même matière que les rêves. 

BON CHIC, BON GENRE. †

Ma première embrouille, première opposition inconsiente a mon père a été avec une poupée. J'avais neuf ans quand mon père a distribuer a ma soeur et moi deux poupée barbie. Elle, Shérine, étais folle de joie, elle étais fassinée, elle a embrasser mon père comme son amoureux, et lui avec guetté dans les yeux, fierté dans les bras il l'a acceuilli avec joie. Moi j'me suis méfier, j'ai de suite examiner la poupée d'plus près, j'voulais savoir comment s'étais foutu a l'intèrieur, j'voulais comprendre comment sa marchais, comprendre la fassination, comprendre le principe d'une poupée, alors avec soin j'ai démembrée la poupée, tout compris, j'avais tout compris ... J'me suis précipiter vers mon père pour lui expliquer c'qui s'passais a l'intèrieur d'une poupée, expliquer comment on fais pour faire marcher une poupée, expliquer l'principe d'une poupée, mon père s'est planter fou d'rage devant ma poupée démonter, il a rien voulu entendre, rien ... Il est aller s'assoir en prenant Shérine sur ses genou et sa poupée bien monter. Ce jour la, j'ai définitivement rompu avec les poupée. J'avais 13 ans quand ma soeur a commencer a devenir comme la poupée que mon père lui avais offert, cette année la, mon père n'a plus aimer les poupée, pas aimer qu'sa fille sois dans un corp de poupée, et pas aimer cette femme qu'étais devenue Shérine.

[Des poupées et des anges]♥.

Comment te dire maman, c'est plus fort que moi, malgrès moi j'peut pas t'écouter, j'ai besoin de te montrer que j'veut pas être c'que t'es. J'voudrais te dire que j'taime maman, mais j'refuse ta position, te ressembler. J'peut pas accepter l'innacceptable de ta relation avec cette homme qu'es mon père, j'ten veut d'obéir toujours. Je sais qu'ta pas l'choix, mais cette peur que tu transpire j'en veut pas. J'ai besoin d'me battre, c'est vital, besoin de sa, l'ouvrir tout l'temps sinon rien, sa sert a rien. Vivre sans sa j'veut pas, j'peut pas plutôt crever. Jamais d'ma vie dans l'épreuve de la douleur j'ai vue une femme en passer par autant d'position qu'toi. Je t'ai vu a la vertical, a l'horizontal, par terre, sur le ventre, sur le dos, trempée d'peur, te cacher dans les chiottes, devant l'évier, ensenglanter, crane ouvert, bouche pendante, menaçante, le dessous d'plat en verre dans les mains, vouloir se défendre rapidement alongée, agripper au pied de table, se faire trainer, un gros trou dans les cheveux, énorme poignet d'mèches dans les mains du père, rage montée, genou en sang, supplier, prier ... Souffrance sans prix, statut d'mère durement vécu, préserver, défendre, faire le moins de dégat possible, pour les autres vie au moins. Mais rester maternelle avant tout, a lui l'père sa l'dérange pas d'te défoncer, sa veut rien dire il veut pas comprendre, trop encombrant, jamais soucier par son rôle d'homme. Mais fatiguer. Le semblant d'paix, le bonheure qu'on t'fais bouffer de l'éxtèrieur, j'vois bien que t'i fais pas, je sais que c'est d'la digniter devant moi, ta toujours nier, jamais avouer, mais seul j'entend les bruit de ton coeur devenu trop bruyant. Alors c'est la vie ? C'étais sa ta vie ? Alors on peut vivre de cette façon sans qu'sa dérange personne ?!  Comme si ton existence avais si peut d'valeur ?!  Tellement inéxorable, tellement rien du tout, mais tu pourrais crever dans cette incompréhension, crever dans l'silence, crever dans l'indifférence général, crever dans l'idée qu'toi et tes semblables se courberont toujours et encore ! Dur constatation, mais mamam, même si mintenant ta bouche est close, ta façe, ta gueul, ton visage est marquer par le passé. Mais sur ton front, le malheure, la souffrance ta traverser. Mais pour sa ta pas besoin d'parler, sous mes yeux ta vie s'déroule, mais putain j'veut pas devenir complice, j'veut pas que l'putain d'rôle que l'père tente de tenir, mais tout seul il peut s'pérsuader qu'il a rien fais!, tout seul il peut s'convaincre que c'est pas sa faute!, mais moi rien que dale, j'arrive pas a gober. J'avalerais rien, j'contribuerais pas, je lui rappellerais, j'i veillerais mamam. J'taime, je t'aime ... 

[Des poupées et des anges]♥

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" A deux cents à l'heure dans les rues de Paris où il ne fait pas bon traîner quand nous sommes au volant, nous mêlons l'alcool à la beu, la beu à la coke, la coke aux ecstas, les mecs b*isent des put*s sans capotes et jouissent ensuite dans les copines de leurs petites soeurs, qui se font de toute manière partouzer du soir au matin."

Putain, même crier j'i arrive plus, j'en est marre, j'en peut plus j'étouffe. J'me sens étriquer dans ce monde,  c'est pas possible ce qu'on nous balance en pleine façe tout les jours.  Depuis que j'ai ouvert les yeux sur cette putain d'terre y'a toujours les même puenterie, ce règne, cette sale mentalité, comme si on voyais rien, qu'on ressentais rien, qu'on entendais rien, qu'on pensais rien, comme si c'étais un jeu. Mettre un coup dans toute cette merde,  faire exploser tout sa.  Mais putain mais qu'est c'que j'avais envie d'allais danser a cette soirée, avec toute ses filles que j'pourrais jamais respecter !  Tout ces squelettes aux sein gonfler, au bouche enfler qui ne font qu'entretenir cette fausse liberté ***uelle.  Faussement choisi,  faussement voulu, faussement naturelle, elles n'ont même pas l'mérite d'être de vrai prostituer, mais des fausse *** pour satisfaire aux faux mec, une espèce en vois de développement. Toute ses connasses qui n'attende que de trouver des connards qui vont les entretenir, vivre leur vie comme des poules.  Négocier, trouver l'âme d'une bouffone prête a fermer sa gueul , trouver un homme qui viendra chercher sa marchandise, sa putain d'poupée ... 

[Des poupées et des anges] ♥.

Ok, BB.

Autour de cette table, j'revoit défiler mes soeurs, mon père, ma mère, ensemble, tous, a pas savoir comment faire avec cette amour trop fort, encombrant, étouffant, génant, et tellement encré en nous. Un amour jamais prononcer, ingérable, incompréhensible, déchirant. Une curieuse sorte d'amour enfoui en chacun de nous, a essayer de recoller les morceaux, de comprendre où commence ce gachis ...

[Des poupées et des anges]♥.

I'm stupid girl.

La nostalgie revient que lorsque le présent n'est pas a la hauteur de passé.

Ok grosse meuf, garde la pêche !

"Un silence vaut parfois mieux qu'un flot de paroles."