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mxelle-peace31 a 21 points de bonté.

mxelle-peace31
Niveau
45
Vétérinaire
Flash

(je ne suis pas gentille...vraiment pas gentille.)

 


 

[Mais ta langue ou tu sais]



Je me suis rendu compte que tu jouais. Que tu jouais avec moi depuis le début. Que tu te foutais de ma gueule. Que tu t'es servi de moi. Que tu m'a traité comme si j'étais le paillasson et toi les chaussures pleines de terres, tu m'a écrasé. Que tu as abusé. Et là, j'ai compris, qu'il ne fallait plus jamais que je te fasse confiance, qu'il ne fallait plus jamais que je t'adresse la parole, qu'il fallait que je t'oublie. Mais moi, je ne peux oublier, je ne peux oublier ce que tu m'a fait endurée, je ne peux oublier que je t'ai aimée. Quand je repense à tous ces merveilleux moments que l'on a passés ensemble, quand je repenses qu'avant j'était heureuse .. Je t'en voudrait toujours mais promet de ne jamais refaire souffrir quelqu'un comme tu m'a fait souffrir. J'aimerais tellement me venger. J'aimerais tellement te faire endurer toutes les souffrances que tu m'as faite endurée. Mais à ce jeu là, je ne suis pas forte à ce jeu là je suis sure que je perdrait. Mais saches qu'un jour ou l'autre une fille se foutra de toi, t'humiliera, t'écrasera et te fera souffrir comme tu me l'a fait, lâchement. Et là, tu te souviendras de moi, et tu t'en voudras. J'en suis sure. { L. }


Je peux être très drôle si tu le désires, ou songeur, intelligent, superstitieux, courageux... Et je sais faire des claquettes ! Je peux faire ce que tu veux. T’as qu’à me dire ce que tu veux que je sois pour toi.
- Tu es stupide.
- Ouais je peux l’être aussi.
 
 
         
 

PARDONNER AFiN DE RECOMMENCER A ZÉRO EST DEVENU TROP RiSQUÉ, ALORS MARCHER AVEC LA HAiNE, LiMiTE SE DÉTRUiRE PARAiT PLUS APPROPRiER ; LE TEMP COULE, A PRÉSENT C'EST NOS ERREURS QU'ON PAYES , MAiS PAS LE TEMP POUR SE MORFONDRE QUAND iL NOUS RESTE ENCORE UN BON BOUT DE CHEMiN A FAiRE. ENCHAiNER LES COUPS DE CRASSE, A FORCE ÇA DEViENT HABiTUEL , ON S'CONSTRUiT COMME ON PEUT, CAR AU FOND, ON EST TOUS LES MÊMES,ON A TOUS UN UN RÊVE .


 
 
 
 
 
Je suis une pétasse." Un stéréotypeé vivant. Je suis le mannequin mi-anorexique, mi-boulimique. Je suis la trop-maquillée, je suis la malheureuse parmi les malheureux. Je suis l'adolescente pseudo-dépravée, en échec scolaire, qui lit Baudelaire en tirant nerveusement sur sa Marlboro Light, un air romantico-torturé peint sur sa figure de ***.

J'excèle dans l'art d'invoquer la pitié. Il me suffit de me laisser aller, et les hypocrites me réconfortent. En bonne tragédienne, jamais rassasiée, je tombe amoureuse d'anges innaccessibles, et passe mon temps libre à me morfondre sur des bonheurs qui n'arriveront pas, ou plus.
Du haut de mon mètre soixante-quinze, de mes cinquante-cinq kilos, et de mon "87-58-88", je suis censée gouverner le monde et prôner la race des beaux; mes yeux sont éteints, et la seule chose que j'ai osé regarder en face depuis bientôt un an, c'est la cuvette des chiottes.
 
 
 
Regarde Sarah, j'ai raison, Superman à bien une plus grosse queue que Batman. J'ai toujours raison Bébé. Donc, au lit, mon Superman est plus efficace que ton Batman :D. Rala, que je t'aime Chérie ♥.

  
 
 
 
Il a quitté ce jeu de m_rde. Oui, malheuresement. Il me manque. C'était surment, le mec, parfait. Ouais Ouais. Il est plus là. Il reviendra plus. Il a disparu. J'ai tellement envie qu'il revienne. J'arrive même pas à enlever ce carré blanc dans mes amis, là où il était placé, sa doll. Ouais, je l'aime trop en fait. Lucas. Mon Lucas. Je t'aime.


 
 
 
 
« On tente de se distraire, on fait la fête, on cherche l’amour, on croit le trouver, puis on retombe de haut. On tente de jouer avec la vie pour se faire croire qu’on la maîtrise. On roule trop vite, on frôle l’accident. On prend trop de la coke, on frôle l’overdose. Ca fait peur aux parents, des gènes de banquiers, de PDG, d’hommes d’affaires, qui dégénèrent à ce point là, c’est quand même incroyable. Il y en a qui essaient de faire quelque chose, d’autres qui déclarent forfait. Il y en a qui ne sont jamais là, qui disent jamais rien, mais qui signent le chèque à la fin du mois. Et on les déteste parce qu’ils donnent tant et si peu. Tant pour qu’on puisse se *** en l’air et si peu de ce qui compte vraiment. Et on finit par ne plus savoir ce qui compte, justement. Les limites s’estompent. On est comme un électron libre. On a une carte de crédit à la place du cerveau, un aspirateur à la place du nez, et rien à la place du cœur, on va en boîte plus qu’on ne va en cours, on a plus de maisons qu’on a de vrais amis, et deux cents numéros dans notre répertoire qu’on appelle jamais. On est la jeunesse dorée. Et on a pas le droit de s’en plaindre, parce qu’il paraît qu’on a tout pour être heureux. Et on crève doucement, repus, bourrés de coke et d’antidépresseurs, et le sourire aux lèvres»
 
 
 
 
 
TH. J
 
 
 
 
On vit...comme des cons. On mange, on dort, on B.aise, on sort. Encore et encore. Et encore... Chaque jour est l'inconsciente répétition du précédent : on mange autre chose, on dort mieux, ou moins bien, on b.aise quelqu'un d'autre, on sort ailleurs. Mais c'est pareil, sans but, sans intérêt. On continue, on se fixe des objectifs factices. Pouvoir. Fric. On se défonce à la réaliser. Soit on ne les réalise jamais et on est frustrés pour l'éternité, soir on y parvient, et on se rend compte qu'on s'en fout. Et puis on crève. Mai
s on a peur. De l'inconnu. Du pire. Et puis qu'on le veuille ou non, on attend toujours quelque chose. Sinon on presserait sur la détente, on avalerait la plaquette de médocs...! Joue contre joue, yeux dans les yeux, main dans la main... ce qu'on est con quand on aime ! Ce qu'on est niaiseux, mielleux, fleur bleue, inactif, improductif, égoïste, aveugle et sourd ! Je promène ma tête d'autiste heureuse dans les rues, sans me préoccuper le moins du monde 
des passants que je ne vois même pas. Le bonheur est une illusion d'optique, deux mirroirs qui se renvoient la meme image à l'infini. Le bonheur n'est pas éphémère. Le sentiment ressenti et pris pour le bonheur quand on est amoureux, quand on a réussi quelque chose, c'est le sursis avant de comprendre l'erreur: l'être aimé ne ressemble à rien, ce que vous avez réussi ne rime à rien. Cela ne vous rend pas malheureux mais conscient. Le bonheur ne se suffit pas, il se rectifie.





Je suis amoureuse, amoureuse d'un homme, qui ignore mes sentiments. Je pleure. Et je souffre. Oui, je pleure et je souffre. Aimer, c'est aussi souffrire. Et souffrire c'est aussi aimer.
L'envie de crier, alors je cris. L'envie d'insulter, alors j'insulte. L'envie de pleurer, alors je pleure. L'envie de souffrire, alors je souffre. L'envie de taper, alors je tape. L'envie de t'aimais, alors je dois arrêter.

Plus je vais mal, et plus j'écris, et plus j'écris, et mieux je vais
 







Et puis quand on fut bien rangés,
elle a dit "Vous êtes prêts?"
et il s'est mis à pleuvoir.
 

 
 

 

Monsieur Alex Boussat,

N'existe pas plus extraordinaire, merveilleuse, irrationnelle que votre personne. Je suis tombée sous le charme, peut-être même que la dépendance m'a prise sous ses ailes. Votre ponctuation danse dans ma tête, et vos mots crépitent au fin fond de mon ventre. Monsieur, vos yeux sont capables d'empâter mon coeur en quelques instant, et la vue de votre visage angélique provoque un tsunami dans ma cage thoracique. Mes pensées se bousculent et ma respiration se coupe quand vous m'envoyez un je t'aime, peut-être un peu méca***. Vous êtes bien plus qu'une personne parmi les sept autre milliard, vous n'êtes pas ranger dans le tiroir des rencontres futiles.Vous êtes mon Soleil, mes étoiles, mon ciel, mon monde. Monsieur, je crois que c'est grave. Vous déclencher en moi des symptômes effrayants, c'est de vous que dépend mes humeurs et mon sourire, la vie ne se résume plus qu'à votre prénom. Mon amour pour vous n'est pas mesurable, c'est un peu l'infini mélangé à l'Univers, tout ça soigneusement plié en quatre dans mon organe vital. Vous l'entendez monsieur ? Même à des kilomètres, mon coeur chante pour vous, il crit, il hurle mon amour. N'existe pas plus merveilleuse que la sensation que vous me procurez, votre présence m'hypnotise, vous m'emportez dans un autre monde à chacune de vos phrases. Ne comprenez-vous donc pas ? Vous êtes mon trésor. Monsieur Alex, vous et vos messages qui transperce jusqu'à la dernière cellule du corps, vous qui puisez vos mots dans la boîte aux merveilles, vous qui remplissez ma tête de rêves impossibles et impassibles, j'vous en conjure, essayez de comprendre cet amour débordant, ce coeur qui implose. Je vous aime à un point qui existe à peine. Vous m'êtes indispensable, mon cher.
J'irai décrocher les étoiles pour vous serrez contre moi, pour sentir votre chair et vos os, entendre votre sang se balader dans vos veines et votre coeur battre, pendant que le mien s'arrachera rien qu'en s'imprégnant de votre odeur. C'n'est pas vos mots qui m'arrêteront, bien qu'ils en soient capables. Mais à choisir entre eux et vous, la question ne se pose pas, ou plus. Chaque secondes m'écorche la gorge, vous savez ? C'est une de moins à attendre mais une de plus sans vous. Vous êtes là, bien sûr. Mais les cellules n'y sont pas, le solide non plus, il n'y a que de l'air entre nous, trop d'air. Et cet amour Monsieur, cet amour. J'n'en peux plus moi. Il faut qu'mon coeur ce vide, il me faut vos bras, d'puis l'temps que j'les attend. Depuis le temps que j'en rêve, Monsieur . 
Regardez moi deux minutes, deux petites minutes. Vous n'avez pas l'impression de parler à une fille stupide ? Ma tête se retourne Monsieur, ma tête s'enfume, mes yeux ne voient plus que vous. Et ça devient pesant cette débilité, cette dépendance, ces chaînes qui m'accrochent à vous depuis de longs mois. Mais vous n'comprenez pas, je sais même pas si vous vous en rendrez compte un jour. Je n'vous aime pas normalement, pas comme les autres. Vous êtes différent, alors mon amour pour vous devez bien l'être aussi. Comment vous dire ? J'vous l'ai tellement répété que vous n'devez plus y croire. Mais s'il vous plaît, dites vous au moins que mes " je t'aime " ne sont pas des mots tapés à la va vite sur mon clavier, des mots qu'on peut sortir comme le " oui ça va et toi ? " tout les matins. J'vous aime vraiment, j'vous aime tellement que vous n'comprenez pa , vous n'comprenez plus, vous n'comprendrez jamais. C'est mal.
Y'a pleins de choses mal, comme mentir et pas tenir ses promesses, et il paraît que l'être humain est incompréhensible. Du moins, le cerveau de l'être humain. Défois l'imagination déborde. Et défois y'a des gens qui reçoivent tellement de je t'aime qu'ils comprennent plus rien. Mon dieu, j'suis en train de vous mettre dans la catégorie des " gens " . J'm'en excuse. Dites moi quand même quand votre être tout entier sera prêt à éclater une nouvelle fois, que votre tête vous hurlera de partir et votre coeur de rester. Prévenez moi, pour une fois.
Mon amour, ne partez plus. C'est sans doute la phrase qui vous tourmente le plus, hein ? Peut-être que si mes bras vous entourez, peut-être que si mes yeux s'plongeaient dans les votre, peut-être que là vous diriez " je te l'promet " . Mais ne gâcher plus vos forces pour me le promettre. Ne promettez plus rien, et faites comme vous faites, balancer moi les vérités en pleine face. Ca n'peut pas faire plus mal que c'que j'ai vécu de toute manière. Depuis que vous êtes partit monsieur, j'ai eu le temps de réfléchir. Toutes les secondes, minutes, heures, jours, semaines, mois je pensais à vous. Je vous ai souvent insulté, pardonnez moi. J'vous ai détester d'nous abandonner comme ça. Et grâce à vous, je n'crois plus en rien. Sauf peut-être à ce rêve, qui s'accroche aux quatre coins de ma tête, que vous essayez d'effacer d'mon crâne. Ha mon pauvre, c'est peine perdue. Vous n'me connaissez peut-être pas aussi bien que ça, mais j'crois être un peu têtue, monstrueusement sûr de c'que je veux (et non de ce que j'ressens à chaque moments de la journée, cette partie un peu lunatique que j'ai. N'confondez pas.) Et ce que j'veux monsieur, si ni la lune ni les étoiles, c'est vous. J'ai compris que il n'restera plus que ça pour vous avoir contre moi pour toujours. Vous voir réellement, et m'accrocher à vous. On peut faire pleins de choses en vrai. Ma voix tremblera, mes mains se colleront, mes genoux toucheront le sol, et j'n'aurai plus qu'à vous supplier pour de vrai. Peut-être que vous comprendrez enfin à quel point j'vous aime et que c'est dur sans vous. J'ai tellement de raisons de vous voir, Monsieur. C'est con hein, mais il n'reste plus que c'petit rêve. Votre pire cauchemar apparemment .
Vous êtes miraculeusement parfait, et mes mots n'suffisent pas pour qu'vous le compreniez. Mes maux n'arrivent même plus à se justifier, peut-être que c'est simplement votre Vous qui me manque, vos bras que j'n'ai jamais eu et que j'aurais tôt ou tard. Et je n'vous apprend rien, en vous répétant ces mots :
je vous aime, de toute mon âme, tout mon coeur, tout mon être.

Votre petite Ema .

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