OYEZ, OYEZ PEUPLE D'OH MY DOLLZ.

NE TROUILLEZ PAS DEVANT MOI, JE NE

FAIS QUE ME FROTTER LE FESSARD. 

J'AI ODIS QUE CERTAINES PERSONNES VOULAIENT ALLER À LA BRUNE CE SOIR. QUE TRÉPASSE SI JE FAIBLIT DEVANT CES COUARDS ! Toutes ces dames ne sont que des paillardes, des rustres et des gueuses ! Elles ne font que lober pour répandre la trouille à ces pauvre jouveanceaux !

Damelots, damoiselles, je vous convie tous à ma couche. Nous prendrons une bonne pitence, accompagnée d'une vinasse gouleyante. Je vous créant que je ne ramerais pas des gencives. Effectivement, par mégarde, j'ai emprunté un portail temporel me pulvérisant de l'an 1365 à l'an 2016. Miséricorde, cette époque ne fait que faer, peigner la giraffe, se dégengler et me vergogne. Mais peu me chaut.

Ne me cherchez pas les noises, et restez courtois, jouvenceaux ! Ne croquez pas le marmot, et venez à moi ce soir.

Je n'aime pas les gens qui sont laids comme les 7 pêchés capitaux, ainsi que les malins comme un singe, alors méchants garnements, veuillez vous tenir à carreau, car sinon je n'irais pas de main morte avec vous à moins que j'ai pris vos vessies pour des lanternes.

Revenons à nos moutons, l'habit ne fait pas le moine et Dieu reconnaîtra les siens.

Par ailleurs, je suis sire Gégroire du château de Montegrison et vous me devez allégence.