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Avant de jouer
OUI, Miharu est un petit uke gay gentil-mignon qui porte des robes et fait la maid dans un bar à sucreries.
OUI, c'est un cliché et le RP avec lui est reeeemmpli de clichés. Parce que c'est drole.
NON, Miharu n'est pas un neko-niais-kawaii. Il n'a pas d'oreilles de chat, il ne tombe pas des arbres, il ne bouscule pas les gens dans la rue. D'ailleurs, qui rencontre des gens comme ça dans la rue? (owo)"
Et puis, Miharu a comme tous mes personnages une véritable personnalité construite, il n'est ni creux ni invincible ni irrésistible. Et il ne couche pas avec tous les seme dark-démon-vampire du coin. En fait, il ne couche avec personne pour le moment... mais ça peut revenir. (-w-)
Donc si vous ne redoutez pas les clichés gays, et que vous ne cherchez pas forcément un plan cu.l pour votre perso, vous pouvez me MP quand vous voulez! :D
Faust...
Miharu remercie Loki et tous leurs colocataires pour leur gentillesse.
<< Je vous aime. >>
"Et je dois te croire quand tu me dis que tu restes?"
Miharu a dix-sept ans, il vit dans une drôle de maison avec une floppée de colocataires tous plus étranges les uns que les autres. Mais il s'en porte plutôt bien.
Miharu se remet d'un immense chagrin d'amour, avec des hauts et des bas, et est pourtant toujours de bonne humeur.
Miharu essaye de ne pas trop regretter ses choix et de garder espoir.
Miharu travaille dans une patisserie-salon de thé en centre-ville, Le Valentin.
La patisserie est devenue assez populaire auprès des jeunes filles depuis que Miharu y travaille. En effet, le petit jeune homme a postulé alors que l'établissement ne recherchait que des serveuses et a été choisi à condition de porter la tenue de travail féminine.
Il semblerait que beaucoup de demoiselles aiment voir un garçon mignon et aimable en robe leur servir des gâteaux.
Miharu est un excellent patissier, et un employé modèle qui ne compte pas ses heures supplémentaires. Il dit que ça l'occupe, qu'il est heureux comme ça et que ça l'empêche de trop penser à quelqu'un.
RP: 2/5 (Alex, Elyott)
Vous pouvez trouver Miharu en venant au Valentin ou dans la rue quand il se rend au travail le matin, ou quand il rentre le soir. (il ne fait pas encore nuit, vers 19h30.)
Suivez Miharu au boulot ici: X
Personnage Bonus:
Adel
"J'ai gagné."
J'y crois pas. Ce mec est pas possible. Il se pointe, comme ça, frais comme une rose, le café à la main et son sourire de branleur sur la face. Comment il fait?
"Comment t'as fait?" Et en plus il se fait prier, ce c.on. Il prend son temps, il pose sa veste, et il se cale en arrière sur sa chaise en écartant les jambes.
"-C'est simple. 9h, je débarque chez Lina. Croissants, café au lait comme elle aime. Elle a pas fait la tête longtemps.
-Quel... tu les as même pas payé j'suis sûr.
-Bah non, le lundi c'est Marie qui tient la caisse jusqu'à midi."
Quel branleur... mais quel branleur.
"10h, je suis dehors, je remonte en direction du centre. Aurélie avait une livraison à la boutique, j'en ai profité pour l'aider un peu. Les nanas aiment bien ça, te voir porter des trucs lourds. Heureusement qu'elle est que fleuriste. 11h, je quitte la boutique avec un bouquet alors qu'elle remet son tablier dans l'atelier à l'arrière."
Des fleurs, maintenant! Et il a toujours pas payé.
"Je vais les donner à Ninou, elle aussi tirait un peu la gueu.le ces derniers temps. Les fleurs, vraiment, je sais pas ce que je ferais sans ça. C'est magique, elles oublient tout avec, un beau bouquet et tu redeviens au top. Un peu avant midi, je chope mes affaires, je reboutonne ma chemise avec l'air du mec préoccupé. "J'ai un déjeuner pour le boulot, mer.de! Je file, on se voit plus tard." Hop, elle a pas le temps de réaliser que t'es déjà dehors. J'en profite pour checker mon portable. Trois appels de Carolina, mais comme j'étais pas encore assez à la bourre j'ai ralenti l'allure. Elle s'est levée de la table quand je suis arrivé. Genre en pétard tu vois. Tu lui mets la main sur l'épaule, tu te penches en biais et tu l'embrasses en mordillant doucement la lèvre, tu hausses un sourcil avec ton air le plus innocent et tu sors: "J'suis en retard?" On mange, on va au bureau, on "avance le dossier"... enfin, tu vois quoi."
On avance le dossier. Je rêve. Y'a que lui pour se permettre de faire ça. Moi si j'le fais, j'ai l'air d'un c.on. Quand j'ai du retard, j'passe pour un mec impoli. Lui, ça le rend se.x.y. Logique féminine...
"-Je fais le mec emporté par ses émotions, je la plante là en promettant qu'on s'appelle. Je monde deux étages, le bureau insonnorisé d'Emma. Un bijou ce truc. Je me rends compte qu'il est 15h, on s'embrasse, elle veut pas me laisser me rhabiller. Je réalise qu'il manque un bouton à ma chemise et je sais pas quand je l'ai perdu. Je rentre chez moi, je prends la douche en écoutant le répondeur plein, je me change en choisissant celles que je vais rappeler. Je me cale une soirée, sachant que j'ai rendez-vous avec Emily au bar avant.
-Et...?"
J'ai pas envie de l'avouer... Dans le fond, il me fascine. Il enchaine les plans avec la maitrise d'un homme d'affaire et l'attitude d'un.. d'un branleur. Ouais, y'a pas d'autre mot.
"-Quoi? J'ai déjà gagné, non?
-On s'en tape, du pari. Combien?
-Combien? Bah cent-cinquante balles."
Avec cette saleté de sourire. Je fouille dans mon portefeuille et je balance les billets froissés sur la table. Pourquoi j'ai parié ça, moi? Six nanas dans la même journée, je croyais pas ça possible. On se regarde, j'ai la ferme impression qu'il se paie ma tête. Il se penche en avant, avec un air conspirateur. Par réfle.x.e, j'avance aussi.
"Dix. Laure, la quadra au foyer qui s'accroche à moi comme à son chirurgien pour garder sa jeunesse. Hélène, sa fille de vingt ans qui rentrait de la fac. Laure avait un cours de fitness, elle m'a laissé devant la télé avec le droit de me servir dans le frigo. Puis, ben comme t'as deviné Emily, et deux nanas à la soirée qui a suivi."
Il recule, empoche le fric.
"-Kris.. T'en as pas marre, de vivre comme ça?
-Non, c'est cool..
-Cool? La moitié des femmes de cette ville te court après, l'autre moitié veut ta tête sur une pique pour décorer leur jardin."
Il réfléchit. Il a l'air ailleurs, il boit son café sans rien dire et pose le gobelet en carton vide sur la table.
"-T'as raison.
-Hein?
-J'ai fait le tour ici. Il est temps de changer d'air."
Je le vois mettre ses Ray-ban, il se la joue jusque dans la manière de remettre sa veste.
"Kris, attends! Tu vas où là?"
Il se retourne, toujours avec ce pu.tain de sourire.
"-Adel. Maintenant c'est Adel.
-Quoi?!
-Kris, j'le laisse ici, comme un souvenir. Kris, c'est plus qu'un numéro dans le répertoire qu'on ose pas effacer, et une odeur dans les draps qu'on a pourtant lavé vingt fois."
A partir du moment où la porte du café s'est refermée sur lui, avec un petit tintement de clochette, ce mec a disparu de ma vie, cent-cinquante balles en poche.
Age | Genre | Ville | Pays |
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30 ans | Femme | Brooklyn, NY | France |
Célébrité préférée | Musique préférée | Film préféré | Plat préféré |
Gregg Araki | Serge Gainsbourg, The Doors, Th' Faith Healers, Rodeo Massacre. Björk. | Edward Scissorhands | Macaron framboise |
Couleur préférée | Le job de mes rêves | Emission préférée | Loisir préféré |
South Park |