c'est vraiment ma vie..

c'était maintenant, il y à deux mois, j'avais très souvent des douleurs dans le ventre, vers l'estomac, c'était de plus en plus réguliers, et de plus en plus douloureux. Alors ma mère décida donc de m'emmener chez le docteur. Celui-ci m'emmena passer une radio une semaine après, et me préscrit des médicaments pour appaiser la douleur. La semaine passa, encore plus douloureuse que les autres, malgrès les médicaments qui ne fesaient aucun effet. Après cette semaine, encore plus douloureuse que les précédentes, je fit cette radio, ainsi qu'une prise de sang. Nous avons pu voir les résultats de la radoi seulement après quelques heures, tandis que la prise de sang, il fallait encore attendre quelques jours. J'était assise dans la salle d'attente près de ma mère, en esperant des résultats positifs, ma mère et moi parlaient doucement de mon travail scolaire insuffisent, quand une infirmière arriva vers nous, pas très gay. Elle nous présenta la radiographie, en nous annonçant que j'était atteinte d'un cancer de l'estomac. Ma mère se mit à pleurer, moi la regardant triste, n'arrivant pas à réaliser ce qui m'arrivait, s'asseya sur une chaise, fixant longuement la radiographie, en retraçant dans ma tête toute ma vie. Cette infirmière, celle qui m'avait tout annoncer, s'assis près de moi, en me prenant la main. Elle me dit, que tout allait bien se passer, mais je n'y croyait pas un mot. Après cette terrible nouvelle, des personnes de l'hopital me prirent, et me mirent dans une chambre. Dans la chambre, ils me mirent une perfusion. ma mère, était dans le couloir, annonçant à mon père qui était en déplacement, ma maladie, ainsin qu'à toute ma famille. Elle ouvrit la porte, et s'asseya au bord de mon lit, et me fit un câlin. Dans les heures qui suivirent, ma meilleure amie, est arrivée, elle pleurait, et je lui ordona d'arreter ses sanglots, j'avais su rester forte, aucune larme n'avait parru sur mon visage, ma mère pensait que je ne réalisait pas vraiment, mais ce n'était pas réellement ça, si je ne pleurais pas, c'est que je savais pertinement que je survivrais. Vers 21h, ma meilleure amie, rentra chez elle. Ma mère, passa la nuit avec moi. Le lendemain matin, je fut réveillée de bonne heure, par un enfant qui pleurait assez fort. Ma mère contacta le collège, en lui demandant de ne pas rependre la nouvelle à ma classe. Après un mois, rien ne s'arrangeait mon cancer s'aggravait, la chimio me  fesais perdre mes cheveux, ce qui me rendait encore plus triste.J'était sous bulles, je ne voyais ma famille et mes amis qu'à travers une vitre. Mes premières larmes tombèrent, et ma vie s'empira. J'était face au cancer, je réalisait que mes jours étaient comptés, que plus les jours s'enfilaient, plus la fin approchait, c'était horrible. J'avais déjà perdu 11kilos, je ne mangeais plus, il me nourrissait à la perfusion, chaque soir je pleurait plus que la veille. Tout le monde pensait que je ne surviverais pas un mois de plus. Mais je resistais, malgrès la souffrance qui m'envahissait, je savais rester forte. Le mois suivant fut bien pire que le précédent, les infirmières m'avaient avouer que je ne pourrais pas survivre, mais qu'il ne pouvait dire combien de temps il me resté. Aujourd'hui celà fais 5mois et deux semaines que je lute contre le cancer, ce n'est pas moi qui écrit, c'est ma cousine, mes visites sont limitée, mais elle vient me voir tous les jours, et m'aide, puisque je ne peux plus marcher, je peine à parler, je suis paralysé du côté droit, je maigris de plus en plus, j'arrive a compter mes côtes tellement je suis maigre. Mes cheveux n'ont toujours pas repoussés, mes sourcils non plus. Je ne sens plus ma force, on pourrait m'arracher le bras, je ne sentirais rien, les médicaments me fatigue tant, au point où je pourrais en mourrir. je prends 6médicaments par jour, qu'on me met en perfusion, car je ne peux plus rien avaler, et le mercredi j'ai 11médicaments sous perfusion. Dans mon sang, ne circule que de la drogue, de la morphine, qui ne me fais plus souffrir, certes mais me choute énormément. J'aimerais beaucoup que tout s'arrête pour moi, que ma vie s'arrête dès demain, mais quand je vois tous mes amis, ma famille, triste rien qu'à voir que je suis souffrante, je ne voudrais pas qu'ils soient triste suite à mon décès. 

29.11.13

aujourd'hui celà fait déjà 7mois que je lutte, mais mon cas ne s'est pas aggravée, au contraire j'ai repris consience, je me suis mit à la place de mon entourage quelques secondes, et ses quelques secondes ont suffis pour que ma force soit insurmontable, j'ai repris 5kilos en a peine 2mois, mes cheveux ont peu repoussée de 2centimètres, mais le cancer et toujours là. Tout à l'heure ma Maman est passée avec mon Papa qui est revenue de son déplacement, comme je ne suis plus en bulle, mais bien contrôlé j'ai eu le droit à un énorme câlin, mes parents s'en allaient faire les courses pour Noël avec mon petit frère et ma petite soeur, alors ils m'ont demandés ce que je voulais à Noël, et à vrai dire, je ne veux aucun argent, aucun cadeau, alors je leur est répondu la véritée, je leur est dit que pour Noël, je voulais retourner à la maison et ne plus avoir cette maladie dont je souffre, que notre ancien rythme se relance. Mes parents on pleuré, je leur est dit que je ne voulais pas les faire pleurer, il m'ont dit que ce n'est pas seulement à Noël qu'il voulaient que cette maladie s'en ayent mais maintenant, ils m'ont dit que chaque jour ils priaient pour que je résiste à cette horrible vie..

au point où j'en suis, autant faire de ma vie un conte de fée refée, en faire l'adolescante qui a peur de tout, qui plonge dans la drogue, qui profite pleinement, ***, drogue, c'est ça dont je rever.

7.12.13

Un moi m'ont ils lancés, un moi pour profitée, un moi pour leur dire 'adieu', un moi pour m'amuser, un moi pour réaliser tous mes rêves, un moi, oui, seulement un moi. Mon cancer c'est propagé, il a violament atteint mon foi, rien à faire, ils ont été si francs avec moi, ils m'ont tout avoués, me fixant dans les yeux, me fesant comprendre que cette fois-ci, il ne se trompaient pas, que c'était désormais la fin de cette souffrance. Ils m'ont laissés rentrer chez moi, puisque de toute façon j'était condamnée, je ne pouvais pas revenir en arrière. Je ne regrette rien, à vrai dire, c'est une magnifique experience, ça m'a fait comprendre la vie, je me suis découverte grâce à cette maladie, sans elle? Aujourd'hui, par des envies suicidaires, peut être ne serai-je plus là. Mais je me suis transfor.m ée, cette maladie m'a entièrement changée, je suis passée de la jeune adolescante voulant la mort, suicidaire, à la jeune adolescante se battant pour ne pas mourrir. Cette phrase m'est souvent revenu en tête pendant ses longs mois: "Certains veulent mourrir demain, alors que d'autres se battent pour ne pas mourrir demain" , cette phrase veut peut être rien à dire pour vous, mais pour moi, elle veut tout dire. J'ai du mal à croire que dans moins d'un moi, je ne serais plus là, cette fois ci je ne réalise vraiment pas, je suis complétement perdue, jamais je ne veux déprimée pendant ce moi, c'est le dernier, le seul qui me reste, mes jours sont comptés, je n'est surement pas une seule seconde à perdre, je dois vivre ce dernier moi, plainement, et je compte bien réaliser tous mes rêves.

ce matin une lettre m'a été adressée, c'est ma cousine qui me fait part de ses quelques mots:

Eden, part pas.. elle est longue la liste de toutes les choses qu'ont doit encore faire ensembles. je te connais par coeur, et je sais que tu peux te battre! j'me tuerais pour toi s'il le faut, et j'te donnerais une partie de mon corps pour te faire survivre. ma vie sans toi c'est horrible, c'est être dans le noir h24, 7j/7. aujourd'hui j'suis venue te voir, et tu m'as rien dit de tout ça, tu m'as tout caché sous un pu.tain d'sourire. tu peux y arriver, eden, et ça je le sais! tu ne peux même pas t'imaginer à quel point je t'aime, et de toute mon existence sur cette terre ou sous ma tombe, j'te l'dirais jamais assez. c'est pas finit, eden, NON! PAS MAINTENANT! tu peux pas m'laisser comme ça, c'est insurmontable. si tu meurs, tu auras de fortes chances de m'retrouver quelques jours après, auprès de toi. je ferais, et je vais faire tout pour que tu restes. parce que si tu as décidé que c'était fini pour toi, et bien moi j'ai pas décidé ça. et mer.de, je t'aime!* i love you so much!!

31.12.13

je ne passerai pas la nouvelle année, j'en suis certaine, je suis retournée a l'hopital hier soir, mon cas c'est agravé. Je suis branchée, c'est grâce à ça que je survis, mais ils vont être obligés de me débrancher. C'est définitivement la fin, mais je ne part pas triste, je part heureuse.

Chanael;

Mon amour, demain je pars pour un grand voyage, et même si je suis triste, je pars heureuse et sereine car j’ai appris avec toi à ne pas avoir peur de ce que nous réserve l’inconnu. J’ai appris que de montrer nos fragilités c’était nous rendre plus fort. J’ai appris à ne pas avoir peur d’aimer, avec toi Chanael, j’ai appris à vivre, tu vas tant me manquer et pourtant je sais, je sens en moi que nous allons nous retrouver alors peu importe le nombre de jours ou de semaines qui nous sépare de ce moment là puisque nous nous retrouverons pour longtemps. En attendant, je te laisse un peu de mon odeur et cette petite lumière pour que tu n’aies plus jamais peur du noir tant que tu seras toute seule, tant que je ne serai pas à côté de toi. Je t’aime et je t’attends. Ton étoile, Eden.       < href="http://www.youtube.com/watch?v=EPS4PEvbj0E">http://www.youtube.com/watch?v=EPS4PEvbj0E

Voilà, il fallait bien te débrancher, j'avais pourtant hurler pour pas qu'il te débranche, mais il le fallait, ma tante la mère d'eden est arrivée vers moi et ma dit d'allez te dire au revoir car c'était la fin, alors je suis en train dans ta chambre j'ai tout fait pour ne peux pas pleurée je te jure, mais c'était beaucoup trop dûr, comprends moi, c'était l'un.i.que et dernier moment que j'allais passer avec toi, alors j'ai pris ta main, et j'ai pris en main mon téléphone, puisque le film ma premiere fois était Notre film à nous deux, celui qu'on regardait en boucle sans s'en lasser, qu'on pleurait après l'avoir regarder plus de cent fois , j'ai pris mon téléphone portable et j'ai mit la musique, enfin noter musique 'feel like living' pour notre dernier moment elle corespondait parfaitement, ensemble on avait pleuré enième fois sur cette musique, pour des raisons complétement differente. J'ai mit en route la musique j'ai poser mon téléphone sur le lit je t'es prit les mains on a chantée la musique ensemble, ta voix été certes très tremblante et méconaissable à ta voix habituelle, je pleuré à ne plus pouvoir prendre mon souffle, mais je m'éfforçais de chanter la musique en me promettant de ne pas pleurée pourne pas te faire mal, je pensais que tu souffrais sufisament. Une fois la musique finit je t'es pris dans mes bras, et je t'es murmurer à l'oreille je t'aime, je ne pourrais jamais t'oublier, tu me complètes, ma vie sans toi ? ce n'est rien, sans toi je ne peux pas vivre. Une larme à parrue sur son visage et elle m'a promis que nous serions tout de même à jamais unis, par quoi ? je lui est demandé. Elle a repondue par notre amour. Je lui est pleurée dans les bras. Et ça petite soeur est arrivée, de seulement ses 4ans elle réalisait que sa grande soeur allait partir alors elle lui a fait un calin, Eden tenait à sa soeur par dessus tout, elle lui promettait la vie, et personne ne pouvait lui apporter autant d'amour qu'elle lui portait. Le moment crucial venue, toute ma famille est venue dans la chambre lui fesant un dernier calin, un dernier bisous, et un dernier mot. C'était tellement dur, tellement horrible de te voir pleurait à ce point nous disant à tous que tu nous aimer, que jamais tu ne pourrais nous oublier, malgrès que tu ne réagissais pas vraiment, puisque tu était pas net cause des médicaments et ton branchage qui te faisait survivre. Je suis repartie de la chambre en te regardant et tu m'a fait un sourrire. Quelques minutes plus tard des infirmières sont venues nous dire que tu étais définitivement partie, je crois que ça été le plus dur à entendre, toi qui nous avait toujours promis que tu t'en sortirais que ce cancer ne te faisait pas peur du tout, tu n'as pas été assez forte je sais très bien que tu étais capable de te battre beaucoup plus que ça, mais je ne t'en veux pas, je préfère que tu partes sans souffrire, qu'en souffrant. J'ai du rentrer  chez moi avec ma maman, mon papa et mon frère, ma tante la mère eden est réstée encore un peu, elle était troublée. Dans la voiture pour rentrer chez moi je ne faisais que pleurer mon père conduisé car ma mère n'était elle non plus pas bien, pendant les 45minutes de trajet pas un bruit n'est parru dans lavoiture apart des sanglots. 5 jours se sont écoulés, 5 jours de merde, où je n'est pas plus allez en cours tellement j'était male, ma maman à préférée qu'un psychologue viennent à la maison, car je reffusais de sortir de la maison, car chaque chose que je fait, chaque chose que je pense se rapporte à toi eden, on aura tout fait ensemble, ou presque. Alors il est venue mais je n'est pas voulue m'y confier, pourquoi? je ne sais pas, je pense que ça ne concernait qu'eden et moi. Après 5 jours, qu'elle soit décédée, il a fallu que je me rende à son enterment. La chose la plus horrible qui soit. On était très nombreux, c'était horrible voir tous ses gens pleuré, des amis à elle, de la famille, et Cameron son amoureux, avec qui elle était depuis 8mois, malgrès ses 15ans elle était persuadéeque que Cameron était l'homme de sa vie. Il est venu vers moi et m'a dit que jamais il ne retrouverais quelqu'un comme elle. La messe s'est déroulée, j'ai été parlée devant tout ce monde triste pour lui adresser ce que je pensais d'elle, j'avais écrit sur un papier ce que j'allais lui dire, mais je le conaissait par coeur; Eden, tu étais tout pour moi, ma vie, oui, on ne passait pas un jour sans s'appeler pour savoir comment l'une allait, on était h24 ensemble dès qu'on avait pas cour. Tu était ma perle rare, la soeur qui me manquait, tu étais toujours là quand il fallait une épaule sur la quelle je pouvais me reposer, et me conseiller, et je te promet que je suis désolée de ne pas avoir été assez là pour toi, oui je culpabilise car si j'aurais été assez là pour toi logiquement à la seconde que je parle tu seras là, enfin là avec moi en train de t'amuser, je t'aime. Chacun notre tour les proches d'eden sommes passez et lui avons dit nos mots. La fin de la cérémonie touche à sa fin, je suis restée un peu plus longtemps sur la tombe avec ma tante,Cameron, mon oncle, ma mère, ma grand mère, mon parrain, et le frère et la soeur d'eden et on est reparti vers 18h. Dans la voiture j'ai posée cette question à ma mère; pourquoi on était obligée de débrancher eden ? et elle m'a repondu que même si tu le montrais pas eden, tu souffrais de se branchement et que s'était invivable de vivre brancher. Quand je suis rentré chez moi ma mère à décidée de faire un "jeu" avec moi, mon père, ma mère et mon frère, elle nous a dit que ce jeu consistée à rigolée en se souvenant des choses marantes qu'eden faisait, car c'était la grande rigolotte de la famille, toujours une blague à sortir, touujours une co.nerie à sortir, et quand quelqu'un pleurée elle ne pouvait se retenir de le faire rire. Alors sur des petits bout de papiers chacun notre tour on écrivait un moment marrant, on en rigolait tellement qu'on en pleurait de joie, j'ai trouvée géniale l'initiative de ma mère pour ce jeu qui nous a fait du bien, car à vrai dire j'avais perdu mon rire depuis son décès. Ma mère à pris une vieille boite à chaussure toute noire et à marquer avec un blanco dessus ' souvenir d'Eden♥' et on a fait un gros coeur à côtée. On a scotchée l'ouverture de la boîte et on a fait avec un cuther une petite ouverture comme sur une boîte au lettres juste pour glisser les bouts de papiers. Je n'est pas pu allez en cours pendant 3 semaines. Mais j'ai repensée à Eden qui me disait lorsqu'elle était malade que si elle mourrait le pire à savoir ce serait qu'on pleure pour elle. Alors j'ai reprit confiance en moi. Chaque soir après les cours je me rends sur sa tombe avec Cameron et on pose une fleur. Le jour où je suis retournée en cours Cameron est venu me voir et il m'a dit que chaque soir il se rendait sur sa tombe et comme moi aussi, et on à décidé d'y allez ensemble. Et le premier soir où on y a été ensemble on s'est assis à côté de sa tombe et on y est restée plus d'uen heure. Et Cameron m'a touchée il s'est penché sur la tombe et lui à fait une promesse; jamais je ne pourrais avoir quelqu'un de mieux que toi, je te promet de t'aimer jusqu'à la fin de mes jours. 

Voilà deux mois, que tu es partis de ce monde, et les galères ne font qu'augmenter. Je suis en forte depression tellement tu me manques mon amour, je dois prendre des médicamments constament, je ne suis pas retournée en cours depuis deux semaines et demi car c'est vide la classe sans toi, je suis assise toute seule pratiquement dans tous les cours toutes seules. C'est immonde de m'assoir sur ma chaise en cours et de me souvenir de tes c.o.n.eries en cours. La mère d'Eden; Anne, est vraiment au plus bas et son père fait des tentatives de suicides, il est suivie à l'hopital, car il ne fait que vouloir se tuer. La soeur et le frère d'Eden sont gardés par la soeur de notre grand mère. Ma grand mere d'ailleurs est vraiment mal, elle est en arret maladif, enfain toute la famille n'as plus aucun sens, personne n'arrive à se sortir vivant de ta mort, c'est vraiment compliquée, car comme on en parlé tu étais la plus fusionel celle toujours là pour tout le monde. Sans oublier Cameron, lui celui avec qui tu partageais ta vie depuis huit mois, il t'aimais tellement, tellement qu'il à préféré mourrir à son tour pour te rejoindre, je suis éffondré mais heureuse pour toi, tu n'est maintenant plus seule, tu es avec l'homme de ta vie comme tu le disais si bien. C'est terrifiant car j'ai comme l'impression que c'est une succetion de suicide qui va se dérouler, car du côté de la famille à Cameron c'est aussi horrible que du notre. C'est horrible de ce dire que personne ne se sortira de ce merdier. Hier, j'ai reçu un message de Thomas, c'était un ami à nous que l'on avait rencontré en vacances à Corse, elle et moi. Il m'a envoyé ce message:  " Eden, est décédée ? :'(:'(" Alors, j'ai pris mon courage à deux mains et je l'est appelé. Je l'entendais pleuré, c'était atroce, j'ai du lui dire tout ce qu'il s'était passé, il était bien au courant de sa maladie, mais il était persuadé lui aussi, comme tout le monde d'ailleurs qu'elle s'en sortirais. J'ai passé a peine 15minutes avec lui au téléphone, et j'ai préféré raccrocher après pour ne pas me faire encore plus souffrir. La nuit d'avant ma mère est venue me voir avant de dormir, et elle m'a dit que c'était plus sur que j'ai un suivis psychologique, mais comme chaque fois qu'elle me pose cette question je lui est repondu que non, je ne voulais pas. Elle m'a demandée pourquoi? et je lui est répondu, que personne ne pourras jamais me refaire rire, personne ne pourra jamais me sortir de ce petrain. J'ai conscience qu'un jour ou l'autre je devrais me reprendre en main, et sauté par dessus cet échec, j'en est d'ailleurs parlée avec ma mère, mais je ne sais pas quand. Je ne vais plus en cours, mais Sophie, une amie à Eden et moi d'ailleurs, me ramene les devoirs chaque soir, elle me porte companie, et ça me fait du bien à vrai dire, Sophie à souffert aussi du décès d'Eden, et ça me fait mal de voir tous ses gens mal. Après que j'ai fini tous mes devoirs avec elle, j'ai décidée avec Sophie de se rendre sur sa tombe, on y à été à pieds. Arriver sur sa tombe j'ai déposée le bouquet de fleurs qu'on avait cueilli le ùatin même avec ma mère, c'était du muguet qui sentai très bon d'ailleurs. Je l'est délicatement posée sur sa tombe, et comme chaque fois que je pose quelques chose sur sa tombe j'ai un grand picement dans mon ventre, et je me met à pleurée, tellement tu me manques. Sophie pleurée discretement, mais au bout d'un moment elle s'est effondrée, elle m'a avouée, que c'était trop compliquée pour elle, et que ses parents ne la comprenais pas, et que chaque fois qu'elle sanglottais il l'engueulée. On s'est décalée de très peu pour se rendre sur la prochaine tombe de Cameron. Sophie m'a pris la main et elle m'a dit qu'il fallait se montrer forte, que demain ça n'allait pas encore être facile puisque c'était l'enterrement de Cameron, mais que tout allait bien se passer. 

[arrêter avec vos mp sans sens en disant, ouai c'est des ***ries ect, parce que vous ne savez sûrement pas ce que c'est de vivre ça, alors s'il vous plaît arrêtez ça car c'est très souffrant.]