"Laisse toi porter par tes rêves c'est c'que me dit une partie d'moi, ouais faut qu'tu marques l'histoire même si nos vies sont éphémères."

                                                                              Aladin 135 - Laisse toi porter.


 
 "Dans la nuit obscure rien ne bouge, tout est calme, la seule lumière dont dispose les quelques passant qui ose s’aventurer dans les lugubres ténèbres est la lumière de la lune et des étoiles.

La lune est pleine ce soir, et d’une brillance hors du commun, je ne sais ce qui la rend si belle se soir, mais la lune brille de mille feux, elle brille comme si toute les étoiles de l’univers s’étaient réunies pour er une enveloppe à cette dernière. 
Dans ces ténèbres ce trouvait un loup, un loup qui hurlait à la lune, personne ne savait ce qu’il lui voulait, c’est un peu comme si elle était son amour inavoué. Touts les soirs sans exception, qu’elle soit pleine, ou nouvelle, luisante ou absente, tout les soirs ce loup hurlait du haut de son rocher, et il hurlait si fort que tout le village l’entendait. 
Le loup parlait à la lune, il lui disait ses malheurs comme ses bonheurs, elle était un peu comme une amie, ou une psy, elle l’écoutait et lui répondait en brillant d’un feu eternel ; eternel comme l’amour qu’il y avait entre ces deux être pour tant si éloignés l’un de l’autre, pour tant si différent, mais c’est ce qu’ils leurs plaisaient, leurs différence faisaient leurs force, et ils ne pouvaient concevoir de vivre l’un sans l’autre.
Un jour où le loup se faisait vieux et sentit que ça fin arrivait, il dit au revoir à la lune et hurla une dernière fois avant ce se retirer une dernière fois.
Ce soir là on dit que le ciel ne brillait pas, qu’un épais nuages avait recouvert toute la galaxie et que pendant des jours et des jours nous pouvions entendre les éclaires gronder et la pluie tombé.
Le loup était mort, et la lune le pleurait. " ©opyright. 


« Les heures tournent, les gens passe et repasse, des fantômes sans âme errent dans les rues bondées de monde, des corps sans existence déambulent sans but. Ce sont des prisonnier de la société, des pantins de la consommation, ils sont tous pareille, ils se disent différent mais au fond eux même se ressemble, personne ne se détache de la société puisque c’est elle qui nous crée.
Nous vivons depuis trop longtemps en cage, plus personne ne connait le mot "Liberté", ne fait-il pas pour tant partie de notre devise ? "Liberté, Egalité, Fraternité". Le seul endroit où nous serons libres et égaux c’est dans la tombe, et encore… » ©opyright


                                                                                                                       Yuki's Creation.